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Hélène sortait d´un grand chagrin d´amour. Elle m´a tout raconté, simplement. C´était il y a six mois, dixhuit-ans et encore vierge, elle avait confié a un homme mûr, son moniteur de sport, le soin de la dépuceler.
- Tu sais, j´avais très envie, mais aussi très peur d´avoir mal et un peu honte aussi. J´avais fleurté, bien sûr, je m´étais laissé caresser, mais sans plus. J´ai décidé que ce serait lui. Un soir qu´il me raccompagnait chez moi,il m´a embrassée, caressé les seins sous le tea-shirt. Et je l´ai laissé faire quand sa main a glissé sous ma robe, entre les cuisses.
- C´était la première fois?
- Oui.Il a été très doux, et je crois qu´il a été ému que je sois vierge. Il m´a tout fait. En plus, il était stérilisé, on n´avait pas besoin de prévention. Je suis tombée amoureuse, mais pas lui.
Hélène est une grande fille mince, deux petites seins, une courbe de hanches arrondie et un adorable petit cul.Exactement mon goût.Dans la pénombre d´une soirée entre amis, je danse avec elle. Elle a bu, elle se frotte contre moi, les bras passés autour de mon cou.Je presse contre moi ses hanches, je bande contre son ventre plat.
Hélène a un air de vierge timide, des cheveux blonds qui tombent sur ses épaules, des traits fins, un teint diaphane.
Elle se console avec moi, comme elle a dû déjà le faire avec d´autres depuis qu´elle est rendue à la solitude.
Je la ramène chez moi, ce soir-là. Mon Hélène se déshabille tranquillement, sans la moindre gêne. Une toison dense, bouclée, extrêmement fournie, recouvre son bas-ventre.
- Tu as des préservatifs? Sinon j´en ai dans mon sac.
Je la caresse longuement, elle se met sur le dos, remonte les genoux écartés avec un sourire.Ma main glisse sur la toison, entre les cuisses. La chatte est placée très bas les lèvres dessinent un trait fin, mon doigt s´insère prudemment.
- Vas-y doucement
Il me faudra la frotter de longues minutes pour que s´ouvrent les lèvres, grandes et petites, qu´elle prenne mon sexe, qu´elle l´habille d´un préservatif et qu´elle l´insère.
Je l´ai prise dans la position missionnaire.un lent roulis plaque nos ventres l´un contre l´autre, mais je vais trop vite. Elle sent que je vais venir, elle se raidit:
- Non attends, pas tout de suite.
Son visage diaphane rosit, une veine bat à sa tempe.
La voilà qui se covulse, qui gigote comme une folle, qui crie:
- Baise-moi, baise-moi.
Je la baise, j´explose, je me vide.
Elle sombre entre mes bras, alors que ma verge se dégage doucement et que des gouttelettes ruissellent. Elle est belle, Hélène, je l´embrasse, lui caresse le viage, les seins que j´avais à peine effleurés.
Elle est là, les cuisses écartées, m´offrant le spectacle d´une chatte grand´ouverte, trempée.
Il me faut la toucher, en éprouver la sensibilité, et elle frémit sous la caresse, et donne des coups de hanche quand je lui donne des coups de langue.
- Dis-moi, Hélène, tu as beaucoup baisé depuis ta rupture avec ton amoureux?
- Enfin, je sais pas. Depuis un mois et demi, oui.Avec Michel on couchait pratiquement tous les jours. Cela a fait un manque. J´avais le choix à la Cité Universitaire.
- Mais pourquoi moi alors? J´ai le double de ton âge!
- Michel aussi. Mais les copains, ils son pressés, un trop pressés.
- Comment pressés?
- Ben de rentrer, et de se vider.Je préfère un homme mûr.
- Il y a eu ton premier, et moi, mais d´autres aussi?
- Oui, j´ai couché avec un ami de Michel.Un homme d´affaires marié. On a été à l´hôtel plusieurs fois.
Hélène n´était qu´une aventure, mais une pointe de jalousie m´a étreint. Le paysage qu´elle m´offrait avec son corps gracile et ses bouts de seins, un visage d´une innocence folle. Elles avait offert à d´autres - combien, une, deux ou trois douzaines ? - le spectacle d´une chatte dévastée par une queue d´homme et, en même temps, celui d´un visage angélique.
La suite devait m´apprendre à composer avec les tourments de la jalousie et d´en faire un ferment de jouissance supplémentaire.
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