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Lorsqu’Annick est venue chez moi pour la première fois, j’étais loin de me douter de ce qui allait se passer. Annick est une voisine que je connais depuis pas mal d'années, je connais également son mari qui depuis qu'il est à la retraite est devenu je ne trouve pas d'autres mot que "CON", aigri et presque méchant même avec elle qui est une femme douce et gentille....nous nous étions donc trouvés par hasard, dans une réunion associative. Vu la peine qu'elle me faisait ,je lui ai proposé de prendre un café chez moi. Elle est venue le lendemain matin. Nous avons évoqué divers souvenirs. Elle m’a raconté le cours qu’avait pris sa vie, sa famille, ses activités, ses problèmes de santé : elle m’a avoué avoir mal, de façon presque chronique, aux cervicales depuis que son mari pris de boissons lui avait envoyé une gifle sévère.
Depuis des années Annick m'attire, sans le vouloir, vers ses formes que je devines sous ses habits, et rêve depuis longtemps de lui faire l'amour, l'aubaine était trop bonne.....Pour la soulager, je lui ai proposé un massage de la nuque. Je me suis assis sur le canapé derrière elle, et j’ai doucement massé son cou, le haut de ses épaules. Son pull à large col roulé entravait un peu mes mouvements. Je lui ai demandé de le passer par-dessus tête pendant que j’allais chercher de l’huile d’amande douce. Lorsque je suis revenu, elle était penchée en avant, le dos rond, le pull sur les genoux. Elle m’attendait sagement.Les mains enduites d’huile, j’ai repris mon massage.
A présent, c’était le soutien-gorge en dentelle blanc qui me posait ses limites. À force de faire, je me sentais fébrile, bizarre. Nous ne parlions plus. J’ai ressenti quelque chose d’étrange, une émotion que je n’avais pas éprouvée depuis longtemps. Timidement, je lui ai proposé de dégrafer son soutien-gorge. Elle a accepté malgré quelques hésitation. J’ai donc ôté l’agrafe, et elle a fait glisser les bretelles sur ses épaules nues, pour le retirer complètement. Mon massage a repris, mes gestes étaient un peu plus amples. Mes mains huilées ont effleuré la base de ses seins lourds, sont descendues sur ses flancs, remontées le long de sa colonne…Incapable de résister j’ai fait passer mes mains au-devant d’elle pour envelopper sa poitrine avec une délicatesse qu'elle m'a avouée plus tardn'avoir pas ressenti depuis des années..........
Tout tremblant, j’ai apprécié leur élasticité, leur volume, leur douceur, leur souplesse et leur douceu presque comme de la soie.......... avec mes paumes, avant de caresser les tétons dressés. Je me suis penché en avant pour l’embrasser dans le cou, elle s’est reculée au même moment, dégageant ainsi sa gorge que j’ai malaxée sans retenue. Nos bouches se sont unies dans un fougueux baiser. Au début elle hésitait et se desserrait pas les dents mais ma patiente su la convaincre e m'offrir la joie et l'honneur de lui rouler une pelle nerveuse. Elle a alors passé ses bras au-dessus de sa tête, et m’a attiré tout contre elle. Nos langues s’enroulaient, virevoltaient, se titillaient. On s’est dévorés. Nos bouches semblaient ne pas vouloir se séparer, nos langues entortillées entres-elles faisaient comme une danse sensuelle et terriblement envoutante, nos souffles semblaient aussi nous interdires de nous séparer.....
Ca respiration s’est faite très saccadée. Je me suis interrompu pour venir la rejoindre sur le canapé. Elle a soufflé qu’elle en avait très envie, et que j’embrassais bien. Je me suis à nouveau jeté sur elle, j’étais en admiration devant ses seins de femme mature, galbés, de taille imposante, lourds, blancs, flasques mais au combien envoutants. Ses tétons pointaient au centre de ses aréoles rosés . Je les ai pris dans ma bouche pour les agacer, les suçoter. Elle s’est complètement abandonnée à mes caresses tout en lui pelotant les mamelles de mes mains enconre pleines d'huile.
Enhardie, ma main est descendue entre ses cuisses légèrement ouvertes, pour s’attarder sur son entrejambe à travers son jean. J’ai fait aller et venir ma main sur le bombé de son sexe. Elle l’a retirée en m’expliquant qu’elle avait peur de tromper son mari. J’ai continué à lui taquiner les seins et à l’embrasser. Mais mon sexe, prisonnier de mon pantalon, me faisait un mal fou. Je bandais comme un dingue, tout son corps m'appelait à l'amour, je sus la convaincre de me suivre dans ma chambre et là entiètement nus l'une et l'autre je lui faisais l'amour comme je l'ai fait à peu de femmes.
Nous en sommes restés là pour cette première fois, après avoir jouis une bonne partie de la matinée, heureux de nous être trouvés. C’est seulement quelques jours plus tard que nous avons décidé d'un commun accord que je serais son amant et elle ma maitresse et de jouir ensemble tous les week-end. Je sais qu’elle lit les histoires publiées sur votre site et qu’elle se reconnaîtra. Joyeux (Annick) versaire ! Je l’aime, et rien ne compte plus que toi dans ma vie aujourd’hui. Ton Christian
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