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Comme tu me l’a demandé, je me dirige maintenant hors de l'ascenceur, nue sous ma robe, vulve encore toute trempée.
La pensée que j’allais être offerte à plusieurs hommes m’ébranlait.
Tu me laisses derrière la porte, que tu refermes.
J’entends les voix joviales… je suis troublée, si pétrifiée, me souviens même plus combien ils sont, là, à m’attendre.
La porte s’ouvre enfin.
Sans que ne n’aie le temps de faire quoique ce soit, je perds connaissance.
Je suis alors ramenée à moi avec une sorte de liquide sous le nez. Je ne peux rien voir.
Une voix très masculine m’explique qu’ils avaient décidé, après ce que tu leur avait dit sur moi, qu’il était préférable de m’endormir de suite avec de l’éther.
Peu à peu, je recouvre mes esprits et réalise soudainement que ce n’est plus ma robe qui est sur mon corps. Je sens que je suis très serrée à plusieurs endroits.
En plus je suis étirée, bras maintenus en hauteur.
Je demande pourquoi je ne vois pas.
Soudainement une main me m’enserre fortement la base de mon sein alors que des doigts pincent le mamelon.. Comme est-ce possible ?
Suis-je nue ?
Je suis transportée. Je ne vois toujours rien.
Une sorte de chaise ? Oui, une large chaise.
J’y suis déposée délicatement.
Je sens mes pieds être saisis et posés sur une sorte d’étriers
Toujours ces mains, ces doigts tirant maintenant sur mes deux seins lourds.
Je sens que l’on touche mes cheveux… mon cou… Ma nuque déposée de baisers …
Mon masque est ôté.
C’est alors que je vois :
Je suis exposée à la vue de 8 hommes sur une chaise, jambes écartées, seins à l’air, sous un fort spot.
Cet habit fait en filet à grosses mailles est entièrement découpé en bas pour exposer la chatte à souhait;
Trou d'amour, fesses sont également à l'air.
Quant aux seins, le principe est simple…. pour en faire jaillir un, ou deux, il suffit de les tirer à travers l'une des mailles du filet, ce qu’ils ont dû faire lorsque j’étais endormie.
Mes bas sont en fines dentelles noires.
Pieds et mollets sont alors saisis fermement.
6 hommes m'installent dans la position de la grenouille, cuisses écartées au maximum. Mes pieds sont fixés sur un genre « d’étriers » très proche mais passablement espacés, ce qui m'oblige à plier les genoux et être ainsi totalement ouverte.
Dans cette position, le dossier étant réglé exprès un peu plus penché qu'à la verticale, je ne peux tendre mon buste, mes seins pendent …
Je suis gênée, tous m’observent. Les commentaires fusent.
Mon sexe, entièrement rasé jusqu'à l'anus, expose le clitoris, ainsi que mes petites lèvres inégales et foncées, l'une plus étirée et longue, dépassant passablement les grosses...
Les hommes se rapprochent.
Tu t’approches aussi, me regardant de tes beaux yeux.
J’ai remarqué ce regard particulier qui brille d’envie.
Mes lèvres sont alors toutes saisies ummmmm, délicieusement et habilement largement écartées.
Aux plus petites, je ressens de délicieuses pressions par saccades alternées, les étirant en V, de plus en plus fortement.
Les succions maintenant……….. oooooooooohhhhhhhh
C’est trop fort. Je supplie de cesser.
Mon clitoris est alors libéré, gonflé comme jamais.
Dans cette position, mes seins subissant l'attraction terrestre, sont toujours exposés.
C’est alors que l’un des hommes les plus virils sort un flacon d’huiles essentielles et que quelques gouttent tombent le long de mes seins.
Chacun d’eux est alors très très intensément massé. Soulevés par les mamelons, tenus ainsi pendant quelques secondes, puis relâchés; pressés, tapotés.
L’homme me prodigue des pressions très intenses depuis le dessus de la rosace jusqu’au téton, lentement, mais de plus en plus fortes. Sous ces délicieux supplices, mes seins ne forment plus que de énormes grosses rosaces. Serrant encore plus, rapprochant les deux grosses boules afin qu’elles se touchent, l’homme viril me regarde, me sourit.
On me relève je suis maintenant debout, exposée en pleine lumière, tétons dressés, toujours enresserrés par les mailles du filet.
Un jeune homme est appelé et place son visage tout près de mon sein; bouche ouverte, il attend une dernière pression de l’homme viril.
Je vois bien, mon mamelon délivre maintenant un peu de son nectar.
C’est alors instantanément que le jeune plaque sa bouche et aspire entièrement ma grosse aréole. Il tète, tète ...., suce tout le liquide.
Alors mon plaisir s'accroît.
Maintenant, deux autres hommes me tapotent en tythme ce sein encore scuintant. Je le vois se balancer, entraîné par la lourde aréole toute gonflée de sang.
Tu es occupé à faire couler l’autre sein. Tu l’as pris d’une main et de l’autre, tes doigts exercent les pressions. Oh comme tu tires fort jusqu’au mamelon ! Un homme est déjà là, il veut téter lors que le liquide sera là. Alors, pressant très fort le milieu du sein afin de faire encore mieux ressortir les aréoles, il lape l’extrémité du téton à petits coup de langue.
Puis c’est au tour d’un homme plus âgé.
Il me les saisit fermement la base de mes deux seins et les maintient ainsi pressés l'un contre l'autre longuement, sans bouger, regardant mes rosaces exploser, jaillirent comme des obus. Oh, les veines apparaissent. Je rougis… très gênée car je sais qu’un homme filme tout.
Je suis près de l'orgasme, lorsqu’il les relâche.
Mes tétons ont disparu tant les aréoles sont tendues.
C’est alors que le vieil homme se ressaisit de mes mamelons et y applique des espèces de tubes. 4 hommes sont déjà en train de l'aider l'aider pour installer des pompes.
Alors l'homme commence à pomper. Plus il pompe, plus je vois mes tétons être aspirés, Mes rosaces aussi !! Elles sont violettes et mes mamelons étirés comme jamais.
Une pompe est placée également sur mon clitoris. Les trois sont alors actionnées pendant de longues minutes.
L’on me laisse ainsi bien exposée en plein spot. Le caméraman filme.
Criant sous les sussions trop fortes et trop longues, les hommes décident de me libérer, léchant tendrement les pourtours de mes tétons qui mesuraient maintenant au moins 2cm.
Quant à ma vulve, des hommmes me la maintiennent bien écartée. Le clitoris est énorme, liquide... La caméra est à quelques centimètres.
Comme tu me l’ordonnes, je chausse maintenant de superbes chaussures noires à talons, incrustée de zircons.
Me baissant ainsi, mes fesses, ma vulve encore très secouée, mon dos, ma chute de reins sont ainsi exposées à tous.
Je suis alors soulevée, transportée et déposée sur le lit, le dos droit cette fois; vous êtes tous autour de moi.
Jambes sont allongées, torse bien tendu.
Le pourtour gonflé de mes mamelons est tâté à tour de rôle. Je reçois aussi de délicieuses carresses digitales et bucales partout sur mon corps.
Mes jambes sont alors écartées brusquement.
Je dois ouvrir. Je m’exécute – j’écarte, écarte encore. L’on me place un gros coussin sous les fesses.
Je relève alors mes genoux et reste ainsi, comme demandé.
Je ne tiens plus. C’est trop excitant : ta langue lèche maintenant partout mon sexe du haut du clitoris jusqu’à mon pt trou d’amour, les 7 autres hommes regardent, s’excitent.
Tu reviens te positionner juste devant le fruit tout gonflé.
Je tire bien le haut de mes lèvres : il n’y a que lui en vue maintenant.
Une succion soudaine… si intense …. m’est alors prodiguée.
Tu aspires fortement mon clitoris
Tu le relâches pour bien faire voir sa réaction. Je regarde ébahie.
Avant d’entamer la deuxième succion, des mains pressent alors en cadences mes seins …
La façon dont mon clitoris est alors aspiré est cette fois indescriptible.
Je regarde bien.
C’est le vieil homme qui l’a pris en ventouse …
Oooooooooooooo il me regarde en aspirant
JE CRIE. Plus je crie, plus je suis aspirée … plus les hommes me pincent et tirent mes tétons.
Mon orgasme dure, dure… Je t’embrasse.
Je reste secouée par des spasmes pendant quelques minutes.
C’est mon tour de faire jouir.
Je dois offrir ma croupe maintenant.
Ma rosace doit être travaillée car elle est vierge.
Mon petit trou est regardé d’abord, puis titillé par des langues tendues, un peu plus enfoncé, un peu plus écarté.
Ooooooooo
Une bouche alors collée, elle l’aspire
Quelques tapes sont alors prodiguées sur mes fesses offertes.. cela me fait cambrer encore plus ..oh.
Je suis alors bien tenue par la taille
Je retourne mon visage pour voir, un sexe tendu juste à l’entrée.
Oh… je le sens entrer doucement, tout doucement.
Je n’ai pas mal
C’est alors je que suis pénétrée, d’un coup sec,
bijoux cognant contre ma vulve, contre mes fesses,
Je ne peux m’échapper
La caméraman est là, son flash éclaire mes parties, si intimes jusqu’ici.
Tous les hommes vont maintenant assoupir leurs envies, me prodiguer des sensations jamais connues.
Alors, je suis maintenue par plusieurs et soulevée.
Croupe bien en l’air, ils étirent ma vulve, écartent mon anus … je suis prête.
- fin partie N° 1 -
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