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Ohé matelot!

Ecrit par bipassif
Parue le 08 09 2013
Il y a 9 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 5985 fois | Cette histoire erotique a une note de : 13.6667/20

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Il est 6h, samedi matin. J’ai rendez-vous avec Bertrand, au port de plaisance, emplacement 154. Bertrand est un ami rencontré il y a peu lors d’un dîner chez des amis. La cinquantaine, bien fait, cheveux bruns parsemés de gris, 1m80 environ. Avec ma femme, nous avions tout de suite accroché avec lui, car il est sympa, drôle, avec un humour à la fois coquin, voir cochon, mais jamais vulgaire.
Et Bertrand a aussi la chance de posséder un bateau, dans lequel il a promis de m’emmener faire un tour, et c’est pourquoi je suis là si tôt. Ma femme n’a pas voulu venir, du coup ça va être journée entre mecs. Au programme : promenade en mer, pique-nique dans une crique ou sur une plage, selon notre position.
Le voilà qui arrive, tel le parfait plaisancier ; un short rouge court, un débardeur et des chaussures bateau. Le bonjour de circonstance, la discussion sur la nuit qui a été abrégée par un réveil si matinal, et nous voilà qui nous dirigeons vers son bateau, qu’il me fait visiter dès que nous mettons le pied à bord. C’est un grand monocoque de 20 mètres environ, avec un petit espace cuisine et une chambre dans laquelle un immense matelas est installé.
Et nous voilà partis, je le laisse faire les manoeuvre de sortie du port, un peu admiraitf, puis l’océan s’offre à nous. Il fait beau, la mer est calme, bref la journée s’annonce prometteuse.
Nous discuttons de tout, de rien, il me raconte ses petites anecdotes de couple, je lui raconte les miennes... Même si la discussion est sympa, nous restons dans la banalité.
En milieu de matinée, me voyant bailler, Betrand me propose d’aller faire une sieste.
-« C’est sympa, mais je vais pas te laisser tout seul » lui dis-je.
-« T’inquiètes pas, ça me gêne pas, et s’il faut je jette l’ancre et je vais dormir aussi ! »
La situation commence à me plaire. C’est le genre de moment ou il faut manoeuvrer correctement pour en arriver où on veut...
-Euh... Mais il n’y a qu’un lit, et j’ai l’habitude de dormir à poil, ça va pas le faire ! » J’avais dit ça sur le ton de la plaisanterie, mais en espérant bien sûr qu’il allait me répondre comme j’en avais envie... Il éclata de rire et rajouta « OK, on verra ça, bonne sieste ! »
Je me suis donc dirigé vers la chambre, me suis déshabillé, (et malgré ce que j’avais dit, je suis resté en boxer, n’osant pas me metre nu intégralement...) et me suis installé sur le lit.
Mais à peine 5 minutes plus tard, la petite porte de la chambre s’est ouverte sur Bertrand.
« -J’ai eu envie de dormir aussi. Mais je croyais que tu dormais à poil ? »
Un peu gêné, je lui ai répondu que je n’avais pas osé.
-« Oh la grande gueule ! Tu es timide ? On s’en fout , on est entre nous ! J’ai déjà vu d’autres bites ! » dit-il en rigolant. « Allez, je me lance comme ça t’auras qu’à suivre ! »
Puis il enleva son débardeur, fit glisser son short. Il ne portait rien dessous, et sa queue m’apparut, encore molle, mais plutôt grosse et relativement longue, et visiblement entretenue car les poils autour étaient peu nombreux et très courts.
« -T’as vu c’est pas compliqué ! » Puis il s’installa sur le lit, à côté de moi. La situation devenait coquine et ambigue comme je les aime. Fallait-il franchir le pas ?
Je me déc idais donc, et fis glisser mon boxer.
« -Ben voilà, c’était pas compliqué ! »
Puis je me rallonge sur le lit. La situation m’excite beaucoup, et je sens ma queue qui commence à durcir. Je lui tourne donc le dos pour la lui cacher, car je ne connais pasencore les intentions de Bertrand, et cette position lui offre également une vue sur mon cul, que je sais ferme et bien musclé. Je me dis que comme ça, si ses intentions sont coquines, il n’aura qu’à se lancer...
Et ça ne tarde pas. Quelques instants plus tard, feignant de tirer sur le drap je sens sa main me frôler le cul.
« -Pardon ! Je voulais juste récupérer le drap... Mais toujours est-il que t’as la peau du cul douce ! » dit-il en riant.
Je n’en attendais pas moins.
« -Tu peux continuer à le carresser si tu veux... »
Il ne se fit pas prier. Je sentais ses mains me carresser d’abord très doucement les fesses. Puis il commença à me saisir une fesse, puis l’autre. Il se fit plus insistant, et je sentis un de ses doigts commencer à me titiller mon petit trou. Je me cambre pour lui en laisser l’accès. Il tourne autour de mon anus, m’en chattouille les bords. Puis tout en continuant, je le sens qui se colle à moi. Je respire de plus en plus fort. Je sens son souffle dans mon dos. Sa main passe par dessus et vient chercher ma queue déjà dure, et commence à me branler. Je fais de même : alors qu’il est toujours dans mon dos, ma main saisit sa bite. Je la sens bien grosse, et il commence des mouvements de bassin pour se branler dans ma main.
Ce petit manège dure bien 5 minutes, mais ça ne me convient plus, j’en veux plus. Je me retourne, pousse Bertrand pour qu’il se mette sur le dos. Je descends vers sa queue, que je saisis de ma bouche. Elle me la remplit presque entièrement. Je m’affaire à pomper cette bite comme un affamé, je la lèche, la suce, lui gobe les couilles. Bertrand a la tête révulsée vers l’arrière. Visiblement il apprécie beaucoup le traitement que je lui réserve, ce qui m’excite encore plus, et je m’acharne de plus belle sur sa tige.
Mais il finit par m’atraper la tête, la lève vers la sienne, en me regarde droit dans les yeux :
« Depuis le début je le savais qu’un jour on baiserait ensemble. Mais je pensais pas que tu suçais aussi bien. Alors pour te récompenser maintenant je vais bien te baiser. Tu aimes te faire enfiler je suis sûr ! »
Il avait mis dans le mille. Et cette façon de me parler me rendait encore plus excité.
« Mets toi à 4 pattes, je reviens, je vais chercher une capote. Quand je reviens je veux voir ton cul prêt à me recevoir.
Je m’exécute donc, m’installe à 4 pattes, le cul tourné vers la porte.
Quand il arrive, quelques instants plus tard, je suis offert. Je cambre mon dos au maximum pour qu’il puisse en profiter le mieux possible.
« -Ah voilà, ça c’est un cul comme j’aime ! je vais te baiser comme tu le mérites ! Petite salope ! Tu aimes qu’on te traite de salope ? »
Je réponds d’un timide oui.
-« OK, ben me voilà, allez salope, ouvre moi ton cul ! »
De mes mains j’écarte mes fesses. Je le sens présenter sa queue à l’entrée de mon trou. Puis il introduit son gland. Je pousse un petit cri.
« -Tu peux gueuler ! Ici personne t’entendra ! Alors laisse-toi aller ! »
Puis d’un coup je le sens qui me colle sa queue entière. Je hurle, car il n’a pas fait semblant et ça fait mal...
« Ah voila ! crie comme ça salope ! Maintenant ça va être que du bonheur ! » Il commence de longs mouvements de vas et viens dans mon fourreau anal. La douleur a laissé place à cette superbe sensation qu’elle celle de la sodomie. Betrand baise super bien. Je sens ses couilles venir cogner à chauqe fois qu’il me pénetre. Moi je crie de jouissance.
-« Alors, tu regrettes pas d’être venu ? J’étais sûr que je finirais par ‘avoir au bout de ma queue ! Je sens ces trucs-là !Et regarde toi, je suis en train de t’enculer comme une salope ! Tu aimes te faire fourrer comme ça hein ! »
Je lance de grands « oui » au rythme de ses coups de queue. Il me pilonne presque maintenant. Ses râles rauques ponctuent mes cris. Cette baise dure presque 30 minutes. Puis il finit par s’arreter.
-« Putain tu m’excites trop ! Je vais jouir... Je vais t’innonder ton cul ! Laisse moi jouir sur tes fesses salope ! »
Mais je ne veux pas. Il m’a trop bien enculé pour que je le laisse gâcher son foutre. Je me retourne, lui enlève sa capote, prends sa queue dans ma bouche et commence à le branler.
-« Putain t’es une vraie salope ! Tu veux mon jus hein ! Alors tiens ! »
Je sens de longs jets chauds m’innonder la bouche, que je m’empresse d’avaler. Après m’être assuré qu’il avait tout craché, je me suis allongé à côté de lui.
Il m’a branlé jusqu’à ce que je jouisse, et nous avons fait la sieste.
Inutile de vous dire que le reste de la journée a été placé sous le signe du cul...
Maintenant j’habite dans l’est de la France, et si un monsieur du même genre est intéressé ,me faire signe...



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