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Dans le quartier que j’habitais, il y avait un magasin de presse tenu par une femme que je connaissais de vue pour y aller régulièrement. Elle pouvait avoir dans les 60 ans et moi pas plus de trente. Pas vraiment belle mais elle avait du être attirante dans sa jeunesse: cheveux noirs, yeux noirs, elle avait quelque chose d’espagnol assez sensuel et surtout une poitrine avantageuse qu’elle savait mettre en valeur par des décolletés troublants. Je lui achetais des magasines tout à fait convenables en échangeant quelques banalités et, maintenant, avec le temps, j’ai l’impression qu’elle bavardait pour essayer de me retenir quelques instants dans son magasin. A cette époque, les revues légères n’étaient pas exposées comme aujourd’hui. Elles étaient, tout au moins chez elle, sur une étagère derrière la caisse. J’aurais bien voulu les voir de plus près, mais je n’osais pas lui demander et à chaque fois, je bavardais avec elle et réglais mes achats en louchant, de loin, sur les couvertures affriolantes.
Dejà dans ces années là, je prenais beaucoup de plaisir à me masturber, ce qui n’empêchait nullement d’autres jeux avec ma copine du moment. Mais je le faisais le plus souvent sans photos car elles étaient beaucoup plus difficiles à se procurer. Raison de plus pour fantasmer sur les revues de son magasin.
Un jour où je n’étais pas pressé, je suis resté dans le magasin un bon moment à discuter avec elle. (Elle s’appelait Violette, c’était inscrit sur sa porte). A cette heure, les rue étaient désertes et dans le magasin, il n’y avait que nous. Evidemment, tout en parlant, je louchais sur les revues à quelques mètres de moi. L’une avait sur la couverture une superbe brune qui offrait sa chatte à tous les regards. Mes yeux ne pouvaient pas s’en détacher. Et Violette suivait mon regard tout en parlant. Dans un silence de notre conversation, elle a fini par me demander : « C’est celle ci que vous regardez ? Elle est belle, non ? Vous voulez la voir ?….mais si, c’est normal, c’est de votre âge. Tenez, vous pouvez la feuilleter. » C’était dit avec un sourire complice, et un air de connivence dans ses yeux assez engageant. Et elle s’est tournée pour saisir la revue et me la tendre. J’étais honteux d’avoir été si bien deviné, surtout en cette matière, mais, finalement assez content de pouvoir me rincer l’œil sans rien demander et un peu troublé par la complicité et la compréhension de cette femme.
Elle a posé la revue sur le comptoir et l’a tournée vers moi, en ouvrant les pages elle-même. Quelques instants de silence où je regardais les photos étalées devant moi. Je commençais à me sentir excité et la présence de la dame me troublait encore d’avantage. Seulement, j’avais peur qu’un client entre dans le magasin et me surprenne dans cette contemplation que je trouvais un peu honteuse. Néanmoins, à un certain moment, j’ai arrêté son geste qui continuait à tourner les pages lentement. Je l’ai arrêté parce que la photo sous mes yeux me semblait extrêmement excitante : c’était une femme noire accroupie comme si elle pissait, sa jupe retroussée laissait voir sa fente ouverte. Ce qui m’excitait c’était cette fente rose sous les poils noirs et frisés de son pubis. La photo ne cachait aucun détail et c’était la première fois que je voyais le sexe d’une noire. Très émouvant !
« Elle vous plait celle là ? Vous aimez les noires ?
- - Non, pas particulièrement, je n’en ai jamais connue. C’est la première fois que j’en vois une dans cette position.
Avec un sourire et un regard appuyés, elle s’est penchée vers moi, de l’autre côté du comptoir et, en baissant la voix comme pour une confidence, elle m’a demandé : « Si vous étiez seul vous en feriez des folies hein ? Qu’est-ce que vous feriez ? Vous pouvez me le dire ? »
Là, vraiment , je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas avouer à cette femme presque inconnue que je me serais branlé en regardant la chatte offerte sur la photo. C’est pourtant bien ce que j’aurais fait, mais comment dire une chose pareille.
C’est elle qui a répondu : « Vous feriez des cochonneries hein petit coquin. Vous vous feriez guiliguili sur le dard je suis sûre. Mais c’est fait pour ça ces revues. Il y a beaucoup d’hommes qui en achètent, il y a même une femme qui m’en prend de temps en temps. Mais d’habitude, les hommes sont beaucoup plus vieux que vous. »
Je rougissais un peu de ces propos crus et tellement vrais. Devant ma gêne, elle a ajouté : « Moi, j’aime bien qu’un jeune homme comme vous m’en achète. Je trouve ça très bien, il ne faut pas avoir honte. J’aurai l’impression d’être un peu votre amie et votre confidente ».
Elle me souriait avec insistance et ses yeux me scrutaient avec une sorte de sympathie. Moi, j’étais toujours aussi gêné de cette conversation, mais en même temps, je ne voulais surtout pas qu’elle s’arrête. Brusquement, j’ai pris conscience que je me tripotais de la main droite plongée dans la poche de ma gabardine. Je le faisais sans m’en rendre compte, mu par l’excitation qui montait. Evidemment, la dame s’en est immédiatement aperçue.
« Vous avez déjà commencé à ce que je vois. C’est bon ? »
J’étais rouge de confusion, honteux de ce geste inconscient, très mal à l’aise. J’ai ressorti ma main de ma poche et j’ai essayé de cacher mon trouble. Mais elle a repris :
- Continuez si vous trouvez ça bon. Vous savez, je suis plutôt votre amie, je ne sais pas vous interdire ce plaisir, moi aussi j’aime ça. Mais pas dans un magasin. Tenez, venez par là, vous serez plus à l’aise. »
Et dans un geste, elle a soulevé un rideau derrière sa caisse et m’a invité à faire le tour du comptoir. Petite hésitation, mais je ne pouvais et surtout, je ne voulais pas refuser. Je me suis donc dirigé de l’autre côté, vers le rideau soulevé. Et, comme j’avais laissé la revue sur le comptoir, elle a insisté : « Prenez donc les photos, je sais que vous les aimez. »
Un fois franchi le rideau, je me suis retrouvé dans un réduit minuscule, peut-être 3 ou 4 mètres carrés, éclairé d’un néon criard et couvert de rayonnages où s’empilaient livres, revues et papeterie. Elle m’a expliqué que c’était sa réserve et que même si ça n’était pas très grand, j’y serai très tranquille pour regarder les revues. Coincé contre elle dans ce placard, j’avais une vue plongeante dans son décolleté et, visiblement elle aimait ce regard. Dans cette promiscuité, je sentait son parfum, lourd et sucré, mélangé à quelques effluves animales de transpiration qui m’excitaient, elles aussi. Elle avait laissé retomber le rideau et nous étions, l’un contre l’autre, hors du monde, habités d’un désir violent et qui m’a saisi brutalement. Elle aussi, elle avait envie, je le sentais à son souffle, à la façon qu’elle avait de se frotter, à son sourire qui me disait « Vas y, sors la ta queue… ».
Sans réfléchir, j’ai posé ma main sur ses hanches, puis sur ses fesses en les massant pour mieux les sentir. Elle portait quelque chose de dur sous sa robe, une gaine qui empêchait le contact. Du bout des doigts, je cherchais une ouverture pour sentir mieux ses formes. Elle avait des hanches assez larges, des fesses très fortes mais bien formées et elle se dandinait sous ma main. Elle m’a chuchoté : « Tu ne peux pas par là, je porte une gaine. Attends… » Et glissant une main sous sa robe, elle a dégrafé quelque chose et m’a soufflé « Vas y par là. Touche moi. » A mon tour j’ai passé la main gauche sous sa robe et j’a remonté le long de ses cuisses. Elle portait des bas à élastique, sans porte-jarretelles. Elle avait des cuisses très fortes, tellement fortes qu’elle étaient trop serrées pour que j’atteigne sa chatte. Je pouvais juste effleurer ses poils . A nouveau, elle m’est venue en aide. Saisissant un escabeau derrière elle, elle a posé sa jambe droite sur une marche. Cette position a écarté ses cuisses et j’ai pu alors remonter main le long du bas, plus haut que le bas, sur sa peau et j’a atteint sa moule. Elle était très poilue, des poils drus et longs que je sentais du bout des doigts. Sa fente était béante et trempée. Je n’ai même pas cherché son bouton, mes doigts ont été aspirés par sa chatte et j’en ai plongé deux dans son vagin avec une sorte de violence. Elle a fermé les yeux et a murmuré : « Oui vas y comme ça cochon. Oh je les sens tes doigts… ?Oh tu mes les a mis profond. » Elle était tellement excitée que je sentais son liquide qui dégoulinait sur ma main. Tout en se laissant branler les yeux clos, elle me touchait la queue à travers mon pantalon. De ma main libre, j’ai ouvert la fermeture éclair de ma braguette et, j’ai sorti ma queue et mes couilles par l’ouverture. Quand elle a mis la main sur mon dard elle a eu une exclamation : « Oh qu’elle est grosse. Je la sens dans ma main. Tu bandes petit salaud, je t’excite hein ? Attends je vais te sucer. »
Elle a dégagé ma main doucement de sa chatte et s’est agenouillée devant moi, avec des contorsions dues à son embonpoint et au manque de place. Je me suis retrouvé appuyé à un rayonnage qui me cassait les reins et elle est restée quelques instants à regarder mon sexe. « Elle est belle ta queue, je le savais. Depuis que tu viens chez moi, j’ai envie de la voir… » Puis elle l’a engloutie dans sa bouche et m’a sucé avec beaucoup de savoir faire. J’avais les mains sur sa tête pour guider ses mouvements à mon rythme et je sentais une de ses mains qui me massait les boules. De l’autre, elle se branlait à genoux et elle a joui deux ou trois fois très rapprochées en gémissant, sans lâcher ma bitte. A un moment, je l’a arrêtée car je sentais monter mon orgasme et je ne savais pas si elle voulait que je décharge dans sa bouche. . M’abandonnant un instant, elle m’a soufflé : « Laisse moi faire, abandonne toi, mais retiens toi. Avant de jouir tu vas me la mettre dans mon trou. » Et elle a repris sa pipe, divinement bonne, à tel point que je l’ai arrêtée une seconde fois.
« Ca vient on dirait . je te suces bien hein ? Tu vas t’en souvenir de Violette. Mais qu’est ce qu’elle est bonne ta bitte. Elle est grosse et chaude et j’aime son goût. Maintenant baise moi. »
Elle s’est relevée assez difficilement et a essayé de se pencher en avant pour que je la prenne par derrière. Mais dans ce petit espace, avec ses fesses énormes, je n’a pas réussi à la pénétrer. Ma queue errait entre ses fesses, cherchait l’ouverture de sa moule, sentait ses rondeurs et sa chaleur. Après quelques tentatives infructueuse, malgré nos efforts et l’aide sa main, nous avons renoncé. Le temps passait et j’avais toujours peur qu’un client entre dans le magasin, et elle aussi sans doute. Même s’il ne pouvait pas nous voir, il pouvait nous entendre et elle n’était pas en état de le servir.
« Tu vas jouir comme ça petit salaud. Maintenant que j’ai goûté ta queue, je vais la voir juter. » Elle a pris mon dard et s’est mise à me décalotter avec force, pendant que ma main gauche était repartie sous sa jupe pour tâter sa chatte. Elle était tellement mouillée que je pouvais entrer trois doigts sans peine et elle dégoulinait de jouissance. Elle me branlait trop fort et me faisait mal. J’ai essayé de guider sa main mais elle ne suivait pas. Alors je lui ai dit : « Laisse moi, je vais le faire et tu vas regarder. »
- Oui branle toi cochon. Fais moi voir comment tu fais. Laisse moi tes couilles. Là, je les sens bien elles sont pleines de foutre. Tu vas me le donner ton foutre. Vas y. … »
J’avais entré 4 doigts dans sa fente et elle semblait aimer ça, Mon pouce titillait son bouton que j’appuyais avec force et elle se dandinait sous cette caresse pour me sentir mieux. Sa moule était dégoulinante de liqueur, et le bruit de mes doigts emplissait le minuscule espace. Mon éjaculation est arrivée très vite, violente, abondante, giclant sur les livres en face de moi, sur sa main qui massait mes couilles , sur sa robe, et elle commentait à chaque jet « Oh le salaud, il jouit, fort. Eh bien tu en avais. Vas y vide toi donne moi tout, donne moi ton jus d’homme. J’aime son odeur. Quel petit salaud tu es… »
Ca n’a pas duré plus de 10 minutes. Mais c’était brutal et violent et cette violence a multiplié mon plaisir et le sien aussi sans doute.
Quand nous sommes ressortis de son réduit, après avoir mis un peu d’ordre , j’avais envie de partir très vite. Elle ne m’a pas retenu et s’est contentée de m’offrir la revue sue laquelle je louchais en me disant : « garde la, tu vas te toucher en regardant la noire. Tu vas penser à moi en le faisant , et moi quand je me toucherai je penserai à toi aussi. On se fait une bise ? »
Nous nous sommes fait une bise et je l’ai quittée.
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