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Plaisirs intenses

Ecrit par Sandratvtg
Parue le 30 juin 2007
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 7339 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15.6/20

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Plaisirs intenses,




Souhaitant vivre certains de mes fantasmes, je me rends chez Sylvia qui aime mettre en scène des jeux de rôles en s’inspirant des désirs de ses clients.
C’est une sulfureuse brune qui m’ouvre la porte. Son abondante chevelure jais tombe en cascade sur ses épaules. Des yeux bruns en amande et des lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel.

Son déshabillé s’ouvre sur un corset rose et noir qui contient difficilement ses seins magnifiques. Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas à couture qui sont tendus par quatre paires de jarretelles excitantes.
Perchée sur ses cuissardes noires à talons hauts, elle me fait rentrer dans son univers.
Après avoir échangé quelques mots, elle me dit :


- Décris-moi ton fantasme préféré pour que je m’en inspire lors de nos ébats.

Je lui confie alors que :

- J’aimerai pouvoir rentrer dans la peau d’une fille, porter d’excitants dessous, avoir une somptueuse poitrine, une croupe à damner un saint, un vagin, un clito pour pouvoir jouir de multiples façons.

Je poursuis en lui disant :

- J’imagine alors la scène suivante : Qu’une belle transsexuelle douée pour le plaisir anal me sodomise avec sa queue surdimensionnée pendant qu’une dominatrice plonge son gode ceinture dans mon vagin et qu’un travesti expert en fellation me suce divinement la queue.

- Beau programme, tu me donnes des idées. Eh bien, puisque tu es déjà entièrement épilée ma chérie, je te propose de devenir pour quelques heures cette femme fatale avec tous ses artifices.

Suis moi dans ma chambre pour que je te maquille et te fasse porter ma plus belle lingerie, me dit Sylvia en me prenant par la taille.


Au bout d’une demi heure, elle a achevé ma transformation et me met devant une glace pour que je puisse découvrir ma métamorphose.
Je porte une perruque blonde bouclée qui adoucit mon visage. Mes yeux maquillés portent des faux cils, mes lèvres sont peintes d’un rouge intense et un fond de teint renforce ma féminité.

Je porte une guêpière rouge et noire d’où jaillissent deux magnifiques seins siliconés. Le tout est recouvert d’une combinaison de même couleur qui s’arrête à mi cuisses. Un slip ouvert entoure ma queue d’un écrin de dentelle et de soie qui laisse ma croupe accessible à tout instant. De nombreuses jarretelles tendent mes bas noirs et mes cuisses sont cerclées de deux jarretières affriolantes.
J’admire ma taille élancée dans cette ravissante guêpière qui comprime ma poitrine 105c et j’ajuste mes jarretelles en caressant le voile de nylon tendu sur mes jambes. Je contemple leur galbe parfait mis en valeur par mes escarpins et je fais quelques pas pour sentir la tension de mes bas en les frottant l’un contre l’autre pour les entendre crisser.
Sylvia me ramène à la réalité en me faisant asseoir sur son lit. Elle me renverse sur le dos et sa main glisse sous ma combinaison en remontant lentement le long de mes cuisses pour se refermer voluptueusement sur mes bourses qu’elle masse avec douceur.

Puis, je sens son doigt ouvrir la fente de mon slip et s’enfoncer dans mes fesses en me donnant très vite une érection spectaculaire.

- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton œillet est déjà bien ouvert. Cela me montre que tu n’es pas une débutante et que tu aimes te faire prendre. Attends moi un instant, je vais choisir l’objet qui te convient.

Je la vois revenir avec un gode ceinture impressionnant qu’elle ajuste autour de sa taille en le laissant se balancer lourdement entre ses cuisses. Il a un gland très épais qui majore le plaisir et une hampe striée de grosses veines apparentes.

- J’ai choisi un calibre adapté à ton cas, il mesure six centimètres de diamètre et atteint presque les trente centimètres de long, me dit-t-elle avec un sourire pervers.

Elle le prend en main et le lubrifie longuement en me décochant un regard brûlant. Elle s’approche de moi en prenant l’attitude d’une maîtresse dominatrice

- Lève toi, je veux te prendre debout et de face mon ange, me dit-t-elle.
Elle me plaque contre le mur de sa chambre face à une glace et pousse son genou dans mon entrejambe pour m’obliger à écarter les cuisses. C’est avec fougue qu’elle force mon passage en me plantant son dard dans le ventre.


La bouche ouverte, la poitrine palpitante, je me laisse sodomisée sans résister. Sylvia ne me quitte pas des yeux pendant qu’elle me pénètre lentement par petites poussées successives en associant d’amples mouvements du bassin qui me font défaillir de plaisir. Voulant s’enfoncer plus profondément en moi, elle me soulève la jambe et la plaque contre sa taille en me demandant de pousser pour lui faciliter la tâche. Je ne tiens plus en équilibre que sur un talon aiguille et je dois mettre mes bras autour de son cou pour me stabiliser.
L’image que me renvoie le miroir est très excitante.

Je suis debout, une jambe relevée sur la hanche de Sylvia. Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse laisse apparaître mes jarretières qui maintiennent la couture de mes bas bien alignée.

Sylvia se fait plus pressante et m’empale avec ardeur. Je la vois à travers la glace me donner de puissants coups de reins qui font tressauter mon corps en cadence.

J’ai le sentiment d’être devenue une fille désirable à laquelle on ne peut résister et que l’on baise contre un mur à la hussarde pour satisfaire ses pulsions. Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Sylvia par la pensée de m’avoir fait vivre ce fantasme.
Malgré tous ses efforts étant d’une taille plus petite que moi, elle ne parvient pas à introduire le gode à fond dans mes reins.

- Je vais te finir sur le lit, me dit-t-elle avec un sourire carnassier.

Elle m’allonge sur le dos en plaçant deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qu’elle me destine.

- Lève les jambes et prend tes chevilles en main pour rester bien ouverte, me dit-t-elle d’une voix rauque.


Debout face à moi, elle découvre ma rosette qui s’ouvre comme une fleur quand j’écarte les cuisses. Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut plus attendre. Ses yeux rivés aux miens, elle prend plaisir à voir l’expression de mon visage lorsqu’elle m’enfile le gode avec une lenteur calculée.
Je sens une douleur fugace quand mes sphincters cèdent sous la pression de ce pal démesuré.
Sylvia poursuit sa progression jusqu’à ce qu’il soit presque rentré dans ma grotte. Puis, elle me décalotte le gland et me masturbe d’une main habile en regardant avec fascination ce sexe de trente centimètres rentrer et sortir de mon corps. Poursuivant son œuvre, elle m’écarte les fesses pour pouvoir s’enfoncer de quelques centimètres supplémentaires avant de se laisser tomber brutalement sur moi. Son dard me transperce alors jusqu’à la garde.

- Ce n’est pas tous les jours que tu prends un sexe de sept cent grammes dans le ventre, me chuchote-t-elle à l’oreille.

En réponse, je croise mes jambes dans son dos en m’offrant totalement à elle.
Satisfaite, elle me baise un long moment en comprimant régulièrement la racine de mon sexe pour m’empêcher d’éjaculer trop vite. Mais, je finis par succomber à ses assauts. Quand Sylvia voit mes cuisses trembler qui témoignent des efforts que je fais pour retenir mon sperme et qu’elle entend mes gémissements se rapprocher de plus en plus, elle me dit :

- C’est le moment de jouir ma belle laisse toi aller.

Savourant l’instant, j’essaye de résister le plus possible en contractant mes fesses pour retenir la sève qui monte dans mes reins.

- Tu ne vas pas tenir bien longtemps, m’assure-t-elle.

En effet, j’explose lorsqu’elle gratte lentement avec son ongle mon frein sur toute sa longueur.

Quand elle voit mon corps s’agiter de spasmes, elle remue frénétiquement son bassin contre moi pour m’achever. Mon sperme trop longtemps contenu gicle avec une puissance inhabituelle et fuse dans sa main avant de retomber en longues traînées blanchâtres sur mes bas noirs.

Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi clos et en extase en la laissant pomper mes dernières gouttes de sève.


Elle sort de ma grotte, heureuse de m’avoir fait jouir avec une telle intensité.
Elle s’allonge sur moi en me couvrant de son corps et m’embrasse à pleine bouche pendant que je presse dans mes mains ses seins volumineux et lourds. Elle me prodigue longuement des caresses qui font monter peu à peu mon désir. Au bout d’une demi heure, ma queue est à nouveau gorgée de sang.

- Je vais te faire découvrir une de mes spécialités, me dit-t-elle en arborant un sourire coquin.

Elle se lève et sort d’un tiroir une seringue remplie de lubrifiant. Elle enfonce la canule dans ma grotte et pousse lentement le piston pour que le produit tapisse bien ma muqueuse.
- Te voilà prête ma chérie.

Elle me fait m’asseoir, le dos appuyé contre la tête de lit.

Ecartant la fente de mon slip, elle plonge trois doigts dans mon fourreau et tourne son poignet de droite à gauche pour faire rentrer les autres.
Elle localise très vite mon point G qu’elle presse avec la pulpe de ses doigts en m’arrachant des râles de bonheur. Un moment plus tard, Sylvia me soulève avec sa main qui m’empale en bloquant son coude contre le matelas pour que je finisse de m’embrocher moi-même par le poids de mon corps.
Avec excitation, elle voit s’enfoncer son poignet peu à peu dans mes entrailles.
Puis, elle me suce un long moment la queue en gobant mes bourses en alternance. Quand elle la voit frémir de désir, elle mordille mon gland et lèche mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge. Elle s’étrangle un instant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres avant de l’avaler rapidement.
Lorsqu’elle se retire de mes fesses, une coulée de gel glisse à l’intérieur de mes cuisses et s’infiltre dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma belle, me dit-t-elle en m’épongeant l’œillet. Je te propose maintenant de faire une pause au cours de laquelle tu pourras changer ta lingerie un peu défraîchie.

Ayant remarqué mon goût immodéré pour les dessous féminin, elle me laisse choisir dans son armoire ma nouvelle tenue d’alcôve.


Après une longue période d’hésitation, j’opte pour une charmante nuisette à balconnets noire en satin sur l’avant et en voile à l’arrière, rehaussée de fines bretelles roses. Devant le miroir, je plaque avec émotion sur mon ventre un porte jarretelles / serre taille de couleur rose qui à l’apparence d’un corset et qui me couvre le ventre. J’accroche mes bas à résille aux jarretelles et j’enfile de longs gants en satin qui me couvrent presque entièrement les bras.
Une robe bustier en voile transparent ouverte sur le devant met en valeur ma lingerie.

Enfin, je change ma perruque bouclée blonde pour une autre coupée au carré de couleur cuivre pendant que Sylvia me glisse les pieds dans des mules à talons aiguilles noirs.

Elle me laisse m’admirer devant la glace pendant qu’elle place mes seins dans les balconnets de ma nuisette. Je me trouve à la fois plus glamour mais également plus salope que dans la tenue précédente.

Sylvia se colle contre moi et m’embrasse à pleine bouche en me pressant les bourses d’une main sournoise. Entre deux baisers, elle me murmure à l’oreille :

- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de confiner une si belle queue qui ne demande qu’à s’exprimer.

La séance d’essayage m’a fortement excitée et j’ai la verge tendue contre mon ventre jusqu’à la hauteur de mon nombril. Elle pointe avec insolence à travers mon déshabillé transparent.

- Je vais devoir te vider les couilles sinon tu ne résisteras pas une minute au traitement que je te réserve, me dit Sylvia en utilisant volontairement un langage vulgaire pour augmenter ma libido.


Elle me culbute sur le lit et relève ma nuisette et mon déshabillé sur mes seins. Son majeur se glisse dans ma rosette et masse ma prostate avec insistance pendant que son autre main sort de dessous l’oreiller un vibro. Avec précision, elle le pose sur mon frein en le déplaçant lentement sur sa longueur jusqu’à ce que les vibrations fassent couler un liquide clair à la surface de mon gland.

- Tu vois ma chérie, tu as aussi un clito qui te donne du plaisir, me dit-t-elle avec malice.

A ces mots, je me rends compte qu’elle suit à merveille mon scénario du départ. Je porte une lingerie très érotique en ayant des seins somptueux, une croupe attirante, une queue superbe et un clito sensible.

De plus, Sylvia interprète avec brio la maîtresse dominatrice qui empale son mâle en lui donnant une exceptionnelle jouissance et remplace avantageusement le travesti en me suçant la queue à la perfection.

- Le plaisir anal est ma spécialité, je vais te faire jouir du cul mon ange, me dit-t-elle d’une voix déterminée.
Elle continue à m’exciter le clito en soulevant le vibro de mon frein dés qu’une goutte de sève perle à la surface de ma queue et le repose quelques secondes plus tard jusqu’à l’apparition de la suivante. En même temps, elle masse avec habilité ma glande intime avec son doigt. Mon plaisir est tel, que Sylvia sent mon anneau se contracter de plus en plus souvent sur son majeur. Puis, mon sperme se met à couler lentement en un mince filet blanchâtre dessinant des arabesques sur mon serre taille.
Cette éjaculation longue et continue qui est spécifique de l’orgasme anal, me provoque un bonheur intense et durable.


Je reste tétanisée par cette superbe créature qui sait si bien me faire vibrer.

- Enlève ton déshabillé et laisse moi te bander les yeux, m’intime-t-elle.

Je la laisse me guider vers la pièce voisine où elle m’aide à monter deux marches et à m’étendre sur une table. Quand elle me fait écarter les cuisses pour placer mes talons aiguilles dans les étriers, je devine que je suis allongée sur une table médicale. Elle finit par me retirer mon bandeau et ce que je vois me laisse sidérée.

Un moteur est placé entre mes jambes, mais je vois surtout une longue tige métallique tournée vers moi sur laquelle est embroché un gode épais de trente centimètres.

- C’est une fucking machine dernier cri que je vais avoir le plaisir d’inaugurer avec toi, jubile Sylvia.

- Tous les hommes qui viennent me voir adorent que je les sodomise. C’est pour leur donner plus de sensations fortes que je l’ai achetée. De plus, cela me laisse la possibilité de leur offrir d’autres caresses ou de les baiser pendant qu’ils se font empalés.
Cette petite merveille a plusieurs programmes que je peux modifier à tous moment, notamment la course du gode, sa vitesse et ses vibrations, me dit-t-elle avec enthousiasme.

- Je vais commencer dans un instant ma belle, me susurre-t-elle les yeux brillants d’excitation.

Puis, elle m’attache les chevilles et relève ma nuisette pour me passer une sangle sous les seins et une autre sous l’abdomen.

- C’est pour t’empêcher de bouger quand tu jouiras afin d’éviter que la machine te blesse ma chérie.
S’apercevant que je ne bande toujours pas, elle rentre ma verge dans un long tube en verre prolongé par un tuyau en plastique au bout duquel est fixée une pompe.


C’est un vacum, appareil qui fait le vide d’air en gonflant rapidement la queue qui est à l’intérieur.

Sylvia s’arrête d’actionner la pompe lorsque mon sexe atteint la taille de vingt deux centimètres sur la graduation du verre. Elle me met aussitôt un anneau pénien pour que je garde mon érection.
Puis, elle règle la hauteur de la machine pour que le gland soit en contact avec ma rosette.

- Je vais commencer par le programme d’initiation, ta sodomie sera lente est progressive me dit-t-elle pour me rassurer.

Elle appuie sur la télé commande et le gland se met à coulisser lentement en s’enfonçant au départ de trois centimètres dans mes chairs. Sylvia en profite pour l’arroser copieusement de lubrifiant.

Puis, elle grimpe sur la table et s’enfonce ma verge dans les reins. Insatiable maîtresse, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.

Elle s’arrête régulièrement pour faire tournoyer ses fesses en prenant ma queue comme pivot.
Je sens également le sexe mécanique s’enfoncer toujours plus loin en moi et je crie de plaisir quand Sylvia monte progressivement les vibrations à leur plus haut niveau. En même temps, elle me donne du plaisir en contractant ses sphincters qui me compriment fortement la queue.

Ayant les mains libres, je lui masse la poitrine en faisant rouler ses tétons entre mes doigts. Puis, j’applique un vibro sur son clito. Quelques minutes plus tard, je la vois s’agiter et soulever sa poitrine en cadence me montrant ainsi son émoi. Soudain, ne pouvant plus résister aux vibrations de l’engin, elle jouit longuement en poussant un cri libérateur qui soulage sa tension, relayé ensuite par ses gémissements de bonheur.

- Eh bien ma salope, tu m’as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore essoufflée

Elle reprend très vite le dessus et m’amène rapidement au bord de l’orgasme.


Quand elle sent que ma résistance commence à s’émousser elle me dit :
- Je vais te donner le coup de grâce ma belle.
Elle règle le gode pour qu’il m’embroche sur une longueur de vingt cinq centimètres en alternant les vitesses lentes et rapides.

Mes sensations sont prodigieuses, je me cambre autant que les sangles me le permettent dans l’attente du fabuleux orgasme qui monte en moi. Je suis à la limite de la syncope quand ma sève gicle avec force dans les fesses de Sylvia qui me chevauche telle une Messaline.

Elle serre ma verge en mobilisant ses muscles intimes pour que je me vide complètement en elle et stoppe la course du gode qui reste fiché au plus profond de mes entrailles. Je reste sonnée un moment et Sylvia en profite pour sortir ce pieu de mon ventre qui laisse mon œillet largement ouvert. Au bout d’un moment, elle me détache en remettant de l’ordre dans ma lingerie.
Je la quitte peu de temps après en la remerciant pour cet après midi exceptionnel et me promet de la revoir dés que possible.
Sandra.



Je vous remercie de me donner vos impressions ou vos idées sur ce texte à :
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