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Grande fille fluette, une peau très blanche et très fine,les petites boules des seins haut placées, le long fuseau des cuisses. l´arrondi des hanches,le ventre plat, un visage aux traits fins, un air de vierge timide. Avec ses 22 ans, je me doutais qu´elle
n´était ni vierge ni timide. J´avais quinze ans de plus qu´elle.
Ce qui me rendait fou de désir, chez elle, était précisément cette apprence réserve qui cachait l´impudeur la plus provocante.
Elle m´a tout raconté de sa première aventure, vieille de deux ans seulement, avec son moniteur de sport. Un homme plus âgé qu´elle. Comme il s´était fait stériliser, ils n´avaient pa besoin de prendre des précautions. Elle était finalement tombée amoureuse.Mais il était marié et s´était lassé d´elle.
À l´époque où je l´ai rencontrée dans une soirée d´amis, elle se consolait avec de brèves aventures.Je correspondais bien à son type d´homme, mûr, pondéré, doux et chaud.
J´ai ramené un soir dans mon appartement une jeune-fille un peu éméchée mais qui savait parfaitement ce qui allait arriver.
On était en été, elle s´est débarassée en un tournemain de ses sandale, de la robe qui la moulait à mi-cuisses, du chemisier qui laissait deviner la pointe des seins et d´une culotte très sage de coton blanc.
Un triangle de poils dense recouvrait son pubbis, et il fallait descendre très bas pour parvenir aux petites lèvres serrées.
Elle était exigeante et réclamait une longue préparation, des caresses, des coups de langue, de douces succions d´un clitoris minuscule.
Je me souviens que la première fois j´étais fou de la pénétrer.
Mais elle m´a stopppé en saisisant ma verge.
- Doucement, chéri, va doucement.
J´ai donc dû m´appliquer en me retenant d´éjaculer. Ma patience a été récompensée. Un massage de plus en plus profond, une crispation des cuisses, un mouvement de hanches,sa chatte s´est ouverte, grande ouverte, luisante, une chatte accueillante aux plus gros calibres.
Elle était sur dos, position classique, les genoux relevés,écartés.
Elle m´a tout simplement saisi la verge et l´a enfoncée.
Mais elle a dû encore une fois me freiner en m´immobilisant les hanches de ses deux mains. J´y allais furieusement.
- Doucement, il faut m´attendre, je ne suis pas si rapide.
Et puis:
- vas-y, viens, baise-moi, mets-moi a fond! a-t-elle crié.
Et je lui ai mis à fond, j´ai explosé dans un océan de douceur humide et chaude.
J étais exténué, j´ai glissé le long de son corps, je l´ai embrassée.Je l´ai regardée. Dans la lumière de la lampe de chevet, le teint autrement si diaphane avait viré au rose, la sueur faisait briller son visage.
Les fois suivantes, elle m´ a fait la démonstration de ce que son amant lui avait enseigné.
Elle m´a aussi tranquillement expliqué qu´elle avait couché avec pas mal de copains de la Cité universitaire, mais que les jeunes étaient trop pressés de rentrer et de gicler.
Elle se défoulait. Elle avait été très fidèle avec son amant, mais elle avait mal supporté le manque de sexe. Elle se rattrapait à présent.
Un rapport ambigu s´est glissé dans nos relations. Elle était toujours là avec ses airs de vierge timide, mais elle avait deviné que je jouissais de son jeu de vierge pas farouche. Elle ne me cachit rien de ses aventures á la cité universitaire. Et jw crois même que ses provocations se sont amplifiées la fois oû elle s´est rendu compte que j´étais amoureux.
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Ecrit par balzace
Parue le 02 juillet 2021
