Histoire erotique : Premiere rencontre avec Isa

Aujourd’hui j’ai décidé de vous raconter à sa demande ma première rencontre avec une femme formidable : Isabelle. Elle est ma nouvelle partenaire de jeux érotiques sur ce site formidable : Isa tu es ma Belle.

Première partie : Le TGV. Une beauté dévoilée

Tout débuta dans le TGV pour Paris. C’était le milieu d’après-midi et je me rendais à la capitale pour une rencontre avec d’autres collègues de la France entière. Mais j’étais seul encore à cet instant et mon train était programmé pour arriver en toute fin de journée. Confortablement installé à ma place (il s’agissait d’une place isolée en duo avec une autre place pour le moment encore vide en vis-à-vis). Je rêvassais tranquillement, attendant que le train se remplisse et qu’il parte, lorsqu’une arrivée me sorti de ma torpeur.

Tu étais là, à l’entrée du compartiment, très belle femme aux cheveux blonds très longs jusqu’au milieu de ton dos. Tu attiras tout de suite mon attention. Tes adorables jambes rehaussées de très jolis petits escarpins étaient exquises. Tu mesurais 1m64, plutôt fine (55 kg), mais tu étais nettement plus grande avec tes 10 cm de talons pointus, ce qui mettait d’autant plus en valeur la partie basse de ton corps : des bas noirs coutures galbant délicieusement tes fins mollets et remontant sur tes cuisses, à peine couvertes d’une petite jupe courte noire plissée délicieuse… Plus haut, tu portais un chemisier assorti style guêpière très élégant et très prés du corps. Ce dernier était fermé devant par une glissière et ses manches longues étaient en dentelle transparente. Il bénéficiait également d’un grand décolleté en V, laissant apparaître le sillon et la naissance de tes deux beaux seins (un très charmant 90c). Il me semblait à mieux t’observer que tu ne portais aucun soutien gorge.

Tu arrives à ma hauteur, et il s’avère que par chance, c’est toi qui va occuper la place en face de la mienne. Tu te mets sur la pointe des pieds et te hisse vers le haut afin de déposer tes affaires dans le porte bagage au dessus de notre tête. Ta jupe se relève alors et je découvre émerveillé la lisière de tes bas noirs auto-fixant. Tu t’installes ensuite au fond de ton fauteuil en croisant les jambes. Ta mini jupe remonte alors sur tes cuisses, et la vision précédente se répète alors mais sous un autre angle cette fois-ci. Je me délecte de cette image délicieuse, m’interrogeant grandement sur la présence ou non d’une petite culotte dans le prolongement de ces très jolies jambes. Je suis très troublé mais j’essaie de ne rien paraître, et tente de me calmer en me plongeant dans la lecture du magazine posé sur la tablette.

Tu as sorti un livre, et commences à bouquiner. Te voyant alors très occupée dans ta lecture, j’en profite pour mieux te dévisager, maintenant que tu es si proche de moi. Ton visage et tes traits sont très beaux. Tu as de magnifiques yeux verts assortis à tes longs cheveux dorés. Ta peau est bronzée et ce teint va parfaitement avec la couleur de ta longue chevelure. Ta bouche est fine et délicate, tes baisers doivent être très doux et tu dois sucer divinement……Je ne sais pas te donner d’âge. Je dirai 40 ans mais je sais maintenant que tu en as 10 de plus….

Plus bas ta poitrine me trouble également, ton chemisier au style bustier et au col en V est terriblement suggestif. Il galbe joliment tes seins et le sillon situé entre ces derniers me nargue fortement. J’éprouve une attirance réelle pour toi belle Amazone. J’ai envie de mieux te connaître, mais je ne sais comment t’aborder.

Les minutes passent, puis les heures et toujours rien. Il me vient alors une idée. Je décide de me lever pour aller m’acheter à boire à la voiture bar. J’ose alors t’aborder et te demande, si je peux t’offrir quelque chose à boire. Tu me regardes alors étonnée, tes beaux yeux verts découvrant alors mes beaux yeux bleus. Tu hésites un instant puis finalement me réponds avec un très large sourire : « oui, je veux bien une bouteille d’eau. Merci ». Je suis aux anges, ayant enfin réussi à attirer ton attention. A mon retour, je te rapporte également quelques petits gâteaux que nous partageons en faisant connaissance et en discutant.

Je te demande pour commencer « Venez-vous souvent à Paris ». « Non, c’est assez rare. »
En discutant, je découvre que tu es prof de musique et que tu as un séminaire de deux jours dans la capitale. Je te donne mon prénom, et tu me donnes le tien « moi, c’est Isabelle ». « Quel joli prénom assorti à une aussi belle femme ».
Tu me souris. Je suis conquis….Je te dis aussi pourquoi je suis ici. Nous discutons ainsi longuement une bonne heure puis la voix du contrôleur annonce notre arrivée imminente en gare. Déjà ! Nous n’avions pas vu le temps passer, tellement nous étions occupés à discuter. Tu me dis alors « Je suis seule ce soir sur Paris ». Je te réponds « Venez alors dîner avec moi, je suis exactement dans la même situation que vous». « Oh oui, j’en serais ravie, c’est une très bonne idée. Nous pourrons continuer notre discussion et mieux faire connaissance ».
Nous nous levons, et je t’aide à descendre tes affaires du porte bagage. Tu me remercies et passes devant moi pour sortir du train. Après t’avoir tant vu de face, c’est ton postérieur qui maintenant me régale….tes jambes vues de ce côté-ci sont encore plus désirables, cela d’autant plus que la fine pointe de tes talons se poursuit sur la couture de tes bas jusqu’en haut de tes cuisses. Ta petite jupe plissée remue avec le mouvement de tes fesses, et cela provoque en moi de douces sensations. Par intermittence, je découvre à nouveau la lisière de tes bas. C’est exquis…

Nous voilà désormais sur le quai et nous allons vers le métro pour rejoindre nos hôtels respectifs. Par chance, ils ne sont pas très éloignés l’un et l’autre de la gare et nous convenons de nous retrouver quelques instants après devant un petit restaurant du coin….

Partie II – Restaurant et ballade romantique : faisons plus amples connaissance

J’arrive avant toi. Te voilà…toujours aussi belle avec ta petite jupe et ton chemisier assorti. Nous nous installons, commandons nos plats et poursuivons notre discussion entamée dans le train. Tu me parles de ton métier la musique. Je te réponds alors « Je suis malheureusement dépourvu de tout talent musical, à ma plus grande déception. Mais j’admire beaucoup celles et ceux qui ont ce talent en eux, et j’aime beaucoup écouter de la musique et de douces mélodies. J’ai suivi des cours de musique dans ma jeunesse, mais j’ai désespéré tous mes professeurs. Peut-être n’avais je pas trouvé encore le prof idéal ? » A cet instant je te regarde avec insistance. Tu souris suite à ma remarque, ayant compris exactement quelle était ma pensée. Ensuite tu me parles de ta deuxième passion : les chevaux. « Nous en avons deux avec mon mari (et oui, j’apprends aussi que tu es mariée…). Nous nous promenons souvent ensemble à deux à cheval le week-end ». Je te dis, « votre mari a beaucoup de chance de vous avoir. Vous êtes une très belle femme, pleine de charmes, de talent, de sensibilité et de tendresse ». « Oui, nous nous aimons beaucoup tous les deux ». Tu veux alors en savoir un peu plus sur moi. Je te sens aussi intéressée de me connaître que je le suis à ton encontre…je te parle donc de mon métier, « les chiffres : un univers très différent, plein de rigueur et de sérieux, mais manquant cruellement d’imagination et de fantaisies. Mon métier, m’occupe pleinement, et de ce fait je n’ai personne actuellement pour partager ma vie et mes plaisirs. J’avoue avoir découvert la joie des rencontres virtuelles sur le net et que cela me procure un immense plaisir. Derrière mon écran, je ne ressens ainsi plus aucune timidité et les mots sortent alors naturellement sur mon clavier et semble-t-il au plus grand plaisir de celle qui les découvre. » Tu sembles surprise et intriguée. Alors que notre repas se poursuit, la discussion s’oriente alors de plus en plus sur un sujet plus léger et coquin. « Je trouve votre bronzage parfait, il fait très bien ressortir la couleur de vos beaux yeux verts ». Tu semble rougir et touchée. Tu me parles alors de tes vacances au bord de la plage cet été. « Nous pratiquons le naturisme ce qui explique mon bronzage parfait sur l’ensemble de son corps ». Cela aiguise ma curiosité, mais je me garde de te dire que je rêve fortement de pouvoir vérifier cela dans les moindres détails. J’apprends alors que tu as découvert depuis cet été la pratique de l’échangisme, et tu m’avoues « Avec mon mari Philippe, nous sommes un couple très libre et tolérant, il nous arrive avec le consentement de l’autre d’avoir d’autres partenaires sexuels, à condition bien sur d’un respect d’hygiène parfait ». M’en voilà ravi, serait-ce un appel du pied ?

Le repas s’achève et je ne l’ai pas vu passé. J’insiste pour t’inviter, mais tu me dis que ce n’est pas la peine, car tes frais de déplacement sont pris en charge par ton école. Nous sortons et je te propose une petite promenade au bord d’un canal tout proche avant de rejoindre nos hôtels respectifs. Tu acceptes avec un grand plaisir et ton plus beau sourire. Nous voilà côte à côte tous les deux, je suis tout émoustillé par le déroulé de cette journée et par la fin de notre conversation au restaurant. En est-il de même pour toi ? Je tente alors une approche des plus osée auprès de toi, ma belle Isabelle. Très lentement ma main vient frôler la tienne, qui semble se laisser faire…et l’instant d’après, nous nous retrouvons tous les deux mains dans la main dans une charmante promenade romantique au bord de l’eau. Mon cœur s’accélère et mon ventre se noue à ce contact doux et divinement tendre. Qu’en est-il pour toi Isabelle ?

Je décide alors, d’être encore plus hardi et je passe ma main sur ton épaule, tu viens alors te blottir tout contre moi. Nous nous arrêtons à ce instant, tu te retournes face à moi, nos visages tout prés l’un de l’autre, le regard plongé dans celui ou celle qui nous fait face. Je passe ma main dans tes cheveux dorés, puis prenant ton visage entre mes deux mains, j’avance ma bouche vers la tienne. Tu te laisses faire, c’est bon signe et je continue tout doucement de me rapprocher. Cette fois, nous y sommes, nos bouches se rejoignent, nos lèvres s’entrouvrent, ton doux parfum naturel me fait planer et ma langue vient se mêler à la tienne dans une danse tendre et délicieuse. Puis mes mains descendent le long de ton corps et viennent terminer leur parcours sur ton petit cul ferme et rebondi. Je suis très bien à cet instant avec toi, et voudrait qu’il dure une éternité. Et toi ? Nous restons ainsi tendrement enlacer un long moment puis tu me glisses à l’oreille : « rentrons à ton hôtel, je veux passer la nuit à tes côtés…. ». Nous rebroussons alors chemin, nous dirigeant tendrement enlacés, vers mon hôtel pour une nuit, désormais inoubliable….

Partie III – L’hôtel, une nuit d’Amour inoubliable

A l’approche de l’hôtel, mon cœur s’emballe à l’idée d’imaginer ce qui va bientôt nous arriver. Je récupère fébrilement ma clé à l’accueil, et nous montons alors tous les deux dans l’ascenseur. Il est tout petit et nous nous retrouvons à notre plus grand plaisir obligés de nous coller l’un à l’autre. Nos bouches continuent leur fusion, pendant que nos mains caressent le corps de l’être désiré(e). Ma queue se dresse déjà et tu dois la sentir collée contre ton ventre tout chaud….

La porte s’entrouvre à l’étage et nous entrons dans la chambre….dont je referme le verrou à double tour. Nous sommes désormais, l’un face à l’autre, toi dans cette tenue qui te rend si désirable et moi avec mon costume noir, ma chemise blanche et ma cravate bleu pale à fine rayure noire. Tu me glisses alors avec un charmant pincement de lèvres « Déshabilles moi mon Chéri ! ». Le tutoiement est désormais de rigueur…tandis que tu passes tes mains sous ma veste, en remontant sur mes épaules pour la faire ensuite glisser à mes pieds. De mon côté, je m’attaque à la glissière de ton chemisier que je fais glisser très lentement vers le bas, ouvrant ainsi le passage vers ton ventre chaud et bronzé et laissant éclore à l’air libre tes beaux seins fermes. Pendant ce temps, tu défais un à un les boutons de ma chemise, découvrant alors mon torse légèrement musclé. En ayant terminé avec la glissière, je passe alors mes mains sous ton chemisier, prenant dans celles-ci tes deux seins, sur lesquels se portent alors ma bouche gourmande. Je distingue les deux bouts de tes nichons qui pointent, cela m’excite autant que toi, et je suce alors ces tétons saillants l’un après l’autre à pleine bouche. C’est délicieux….

Tu en as terminé avec ma chemise et tout en caressant mon corps et mes épaules tu la fait glisser le long de mes bras et de mon côté j’en fais de même avec ton chemisier. Je caresse ton corps au passage et viens voler de doux baisers sur ta bouche en guise de récompense.

Nous voilà, désormais tous les deux à moitié nus. La chaleur monte dans cette chambre et la tension sexuelle dans mon petit slip est de plus en plus forte…je te désire fortement ma belle Isabelle. Tu passes alors ta main sur ma braguette pour t’assurer de la chose. Pas de doute, te voilà à la fois pleinement rassurée mais également de plus en plus excitée. Ta moule s’humidifie de plaisir….

Je passe alors mes mains sous ta jupe plissée et découvre ravi tes petites fesses fermes et rondelettes. J’ai d’abord cru que tu ne portais pas de culotte avant de toucher la ficelle de ton petit string. La peau de ton petit cul est douce et je prends un énorme plaisir à ainsi te caresser les fesses. Je joue aussi avec la ficèle de ton string trempée entre tes fesses par ton désir ascendant.

Pendant ce temps, tu déboucles ma ceinture, déboutonne mon pantalon, puis fait glisser la braguette de ce dernier vers le bas. Me voilà, le pantalon en tire bouchon sur les chevilles, il ne reste plus qu’un petit slip blanc pour protéger mon sexe, que tu discernes tendu et gonflé de désir derrière ce petit bout de tissu. Ta main me caresse alors la queue, et cette dernière remue de plaisir sous ce geste attentionné. Je fais à mon tour glisser ta jupe sur tes chevilles, et découvre ton string noir et tes bas coutures auto fixés dans leur intégralité…

Nous enlevons tous les deux nos chaussures, et nous allongeons alors sur le lit pour poursuivre délicatement notre effeuillage. Tu es allongée sur le dos, et je promène ma bouche et mes mains dans tes cheveux et sur les parties dénudées de ton corps : ton cou, tes seins, tes bras, ton ventre, tes hanches, le haut de tes cuisses. Puis, l’une après l’autre, je dénude tes longues jambes, les débarrassant de leur bas couture pourtant si délicieux. Je profite maintenant de ce nouvel espace de nudité pour te caresser et te couvrir de baisers. La peau intérieure de tes cuisses est particulièrement douce, j’en raffole !!! Je m’attaque alors à ton petit string, que j’effleure pour faire vibrer ton délicieux abricot. A deux mains, je le retire et le fait délicatement glisser le long de tes cuisses, que j’effleure à nouveau au passage. Te voilà nue, si belle et si désirable, m’offrant ce corps délicieux dont je souhaite profiter au maximum….Je découvre ainsi enfin ta jolie petite chatte lisse, cet abricot délicieux auquel je vais donner toute ma douceur puis toute ma vigueur….

Tu es sur le dos les jambes écartées et les genoux repliés, les pieds posés sur le lit. Je m’approche de ta chounette tant désirée et viens la laper avec ma langue gourmande et polissonne. Tu frémis de plaisir sous mes caresses diaboliques. Je sens ton jus féminin qui s’écoule de ton corps, et je me délecte de ce breuvage divin. Ton petit clito se dresse et je l’avale goulument, les mains agrippées à tes cuisses généreuses.

Tu me glisses alors « viens par ici mon chéri, je veux pouvoir profiter de ta jolie queue pendant que tu t’occupes aussi bien de ma chatte ». Je passe alors au dessus de ton corps, mon petit slip désormais à portée de tes mains et de ta bouche. Pas pour très longtemps d’ailleurs, car ce dernier se retrouve, rapidement évacué, laissant jaillir à l’air libre une petite queue raide de désir pour toi et deux belles bourses gonflées d’envie. Tel un caméléon, tu l’attrapes, la lèche, et la suce, tandis que tes mains se promènent sur mon petit cul légèrement velu, ferme et musclé. Tu me lèches divinement bien, m’aspirant la hampe avec délicatesse et me massant les couilles avec volupté. Je frissonne de plaisir, tandis que tu me lapes, me suces, ou me titilles le gland avec ta langue. Tu mets ma petite bite dans ta bouche et tu t'actives dessus en me pompant toute excitée. Je ne suis pas en reste non plus, te léchant la fente, te suçant, t’aspirant le clitoris et glissant ma langue dans ton vagin humide.

Nous sommes ainsi restés plus d’une heure à nous savourer et à nous procurer un plaisir intense. Mais après cette mise en appétit, tu m’invites à venir te prendre en t’allongeant sur le dos les cuisses béantes, désireuse de te faire prendre par ce dard luisant au combien astiqué….

Ma petite bite te pénètre, tandis que tes fines jambes s'enroulent autour de mes reins et que tes mains s'agrippent à mon cul...ma bouche se rapproche de la tienne et fiévreusement te dévore de baisers... tu sens ma bichette qui entre en toi très lentement et tu dégustes ce moment. « Oh ! Oui coulisse en moi doucement comme cela mon Chéri ». Tu contractes alors tes parois pour mieux serrer ma queue qui te pénètre.

Je te serre fortement contre moi, tes seins gonflés sont collés à ma poitrine, et je coulisse dans ton vagin humide de ta mouille adorée...tes mains se crispent sur mes fesses musclées.... Je ressens les parois de ton sexe qui m'enveloppent et qui se contractent à mon passage, voulant à chaque fois mieux me retenir en toi, si excitée que tu es par mes assauts doux et pénétrant...

Le plaisir monte progressivement en toi, tu gémis de plaisir et cela me procure un bonheur intense. Ma queue te pilonne te plus en plus fort et de plus en plus vite, je sens ton corps qui vibre et qui tremble sous l'effet de mes pénétrations successives. La jouissance monte en toi, tandis que tes cris m'attirent à chaque fois de plus en plus vers toi. Puis c’est l’explosion finale, une vague terrible te submerge, ton corps se contracte et tes cris de plaisir provoquent instantanément mon éjaculation au fond de ton vagin. Ce jet puissant et abondant de sperme accentue encore ton plaisir, ce qui par effet de contagion, se répercute à nouveau sur mois, par un deuxième jet tout aussi délicieux que le premier. Nous restons enlacés tous les deux tandis que la tension retombe et que ma queue se ramolli dans ta choune délicieuse.

Tu viens te blottir sur mon épaule et tu me dis « Mon chéri tu m'a super fais jouir ! J'aime ta jolie bite elle sait être coquine dans ma chounette et ailleurs… humm ! Merci amour » « Oui Isabelle, toi aussi tu m’as bien vidé, et j’ai joui comme jamais grâce à toi… ». Nous restons tendrement enlacés, reprenant un peu d’énergie pour la suite de cette nuit qui n’est pas terminée….

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