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Ca ne faisait pas très longtemps que la puberté avait marqué mon corps, mais de manière certaine, hélas! Les poils avaient envahis mon pubis, le dessous de mes bras et le bas de mes jambes (enfin pas tant que ça, mais deja beaucoup trop pour moi!!). Ma voix se cassait un peu et le “tout” s’allongeait chaque jour un peu plus.
Ce n’était pas les seuls changements. Soudain, mon intérêt pour mes copains se transforma en secret désir de les voir nus. Et la vision de leur corps dénudé me faisait un effet dans le creux des reins des plus agréables... outre la turgescence naissante, mais nette, érigée entre mes hanches.
D. attisait particulièrement mon intérêt. Il n’avait que quelques mois de moins que moi, et débutais à peine sa puberté. Gracile, brun, avec de longs cils, il avait beaucoup de charme. Très souriant, joueur et intelligent, j’aimais passer du temps avec lui.
Souvent nous dormions chez les uns, les autres.
Ce soir-là, en été, il était allongé non loin de moi, dans un sac de couchage. Il faisait nuit noir. il semblait dormir. Moi non. je bouillonnais sous mon drap d’une furieuse envie de voir de plus prés son intimité. Je bandais et ne savait plus quoi faire. Aussi, guidé par un instinct d’hormones en explosion, je me glissais hors de mes draps vers lui.
Sans bruit, je m’avançais. Je n’étais plus qu’à quelques centimètres de lui. J’entendais sa respiration régulière. La mienne était coupée sous l’effet de l’émotion. Je distinguais alors une ouverture dans le sac de couchage, située en bas, prés du ventre...
Mon coeur battant à tout rompre, ma main s’éleva dans sa direction.
Comme il ne faisait pas froid dans ma chambre, il n’avait pas fermé complètement son sac. Mon coeur palpitait à mes tempes. Ma main se glissa doucement entre les deux tissus. C’était doux. J’étais dedans.
Le plus doucement du monde, je tâtais du bout des doigts. J'effleurais alors un tissu cotonneux. Son caleçon... Une boule bloqua ma gorge. Je déglutissais avec difficulté. Mes doigts effleuraient ce tissu comme si c’était brûlant.
Je remontais alors le plus délicatement possible. Soudain, je sentis à travers le coton un renflement. Plutôt long et allongé, je compris que je tâtais son sexe... J’étais paralysé. Mais c’était grisant et excitant en même temps. mon propre pénis sortait de mon caleçon, droit un I tellement ça me faisait de l’effet. Je le carressais alors le plus doucement possible. Le coton était doux, bien sûr, mais j’avais l’impression de sentir sa peau, qui devait être plus douce encore... enfin je me l’imaginais.
A mesure que mes tâtonnements se poursuivaient, je sentis son sexe se raidir un peu. Mes palpations semblaient produire de l’effet. Surpris, je suspendais mes gestes... Et s’il se réveillait? Je ne savais plus quoi penser. Mais, grisé par l’excitation, je reposais doucement mes doigts. Si je faisais avec précaution, peut-être ne se réveillerai t’il pas? Aussi, enhardi, j’appuyais davantage sur cette masse raidissante et la caressais délicatement .
Soudain, il se tourna sur le coté, me faisant sursauter. Je restais paralysé quelques courtes, mais longues à mes yeux, secondes. Mon coeur battait à tout rompre. Mais sa respiration repris son rythme, paisible et régulier. Et je constatais que c’était de mon coté qu’il s'était tourné! Et, en plus, il était presque totalement sorti du sac! Son corps se révélait à moi dans la semi-obscurité à laquelle je m’habituait. Non seulement il dormais toujours, du moins le pensais-je, mais l'accès à mes fantasmes se trouvait grandement facilité!!!!
Je rapprochais fébrilement mes doigts de son sexe. Il était raide et bombé. Je le caressais avec délice. Me penchant davantage, je pouvais presque y poser ma bouche. L’idée m'effleura d’ailleurs...
En fait, D. était totalement cambré vers moi. Il semblait toujours dormir profondément mais il aurait voulu m’inviter à approfondir ma quête, il ne s’y serait pas pris autrement. Dans tous les cas, son sexe enflait de plus en plus, au point de distendre son caleçon qui était prêt à rendre les armes. Au point qu’un bout de peau émergea du tissu par l’espace boutonné permettant de faire pipi. Un tout petit bout, qui devait d’ailleurs être celui de son zizi si proche.
Tremblant un peu, un doigt caressa cette petite chose si délicate. Cette caresse donna une impulsion au petit bout qui sorti de lui-même un peu plus du caleçon. D. bandait vraiment!
Aussi, défaisant, un à un les petits boutons fermant le caleçon, je sortis délicatement le précieux appendice de sa cachette.
Malgré la pénombre, je m’habituais peu à peu à l’obscurité. Je voyais ce bout de chair, fier, droit un i, semblable à la mienne, bien qu’il ait un peu plus de poils que moi sur le pubis. Pas beaucoup néanmoins vu que nous débutions tout juste la puberté. Je la prenais dans la main, avec moins d’appréhension. La peau était d’une extraordinaire douceur. De mon autre main, je lâchais ma propre tige et tâtais délicatement ses petites boules, elles encore imberbes. J’adorais!
Je me mis à faire monter ma main sur son pénis et la faire descendre. D. se cambra davantage, se rapprochant encore de moi. Sa respiration s’accéléra. Mais il ne montra rien de plus. Peut-être dormais t’il vraiment très profondément. Dans tous les cas, mes hésitations du début fondaient comme neige au soleil! Je le masturbais avec délectation tout en glissant ma main gauche sous ses boules, m'aventurant vers le début de ses fesses.
Géné par le tissu, une idée m'effleura l’esprit. Folle, complètement! mais je décidais à tenter l’impossible!! Ramenant mes mains de chaque coté du caleçon, je le faisait glisser le plus doucement possible vers le bas de ses jambes. J’eus l’impression qu’il se cambra légèrement pour me faciliter l’opération, mais ce fut imperceptible, et l’essentiel pour moi était que ce tissu gênant disparaisse avec la fin de mes dernières inhibitions!!!!
Quelques secondes après, j’avais sous mon regard, désormais habitué à l’obscurité, un sexe dressé, des boules toutes jolies et des jambes étendues, un peu écartées, m’offrant l'accès au reste de mes fantasmes.
Un peu étourdi par la rapidité de tout cela et en même temps grisé par l’excitation, je restais immobile quelques instants. J’admirais...
Puis, automatiquement, ma main droite s’éleva à nouveau et vint tout naturellement se poser sur sa tige, si douce et si attirante. Je le masturbais à nouveau. Et, comme nous commencions sans doute à avoir un peu chaud tous les deux, une odeur de transpiration se fit sentir. Mais étrangement, elle n’avait rien de désagréable. Bien au contraire. Je sentais de prés son odeur intime, ce qui fit exploser mes hormones!
J’approchais alors mon nez de son sexe, et me laissait enivrer par cette odeur forte mais bouleversante pour ma puberté. tant et si bien que ma bouche ne fut qu’à quelques centimètres de son pénis.... Je n’hésitais que de brèves millisecondes et ma langue se déposa délicatement sur la chair diaphane distendue. La sensation était... inattendue de délice. C’était une explosion d'excitation et d’intensité en moi. Ce simple contact m’électrisa!
Guidant le sexe de ma main, je commençais de longs coups de langue sur sa tige, de haut en bas, ne me souciant plus désormais d’un éventuel sommeil ou pas. De toute façon, je ne pouvais plus reculer et mon cerveau, totalement centré sur cette nouvelle jouissance, ne me laissait pas d’autre choix. A mesure que les secondes passaient, mon rythme s’accentuait, et très vite, c’est directement dans ma bouche que fut enfournée avec une quasi frénésie le pénis de mon ami.
D. exprima alors un bref mais audible soupir accompagné d’un mouvement de rein trahissant son propre plaisir. Ne me posant plus de questions et encouragé par cette réaction, je poursuivais ma fellation avec délectation.
Ma main gauche vint se joindre à la fête en venant caresser la base des bourses, puis venant titiller l’orifice si proche. D. réagit par un sursaut de rein, mais il se détendis rapidement, et écartant un peu plus ses jambes, il m’encouragea à continuer mon jeu...
Suçant avidement ce sexe tel un cornet en été, je jouais avec son petit trou qui était encore totalement imberbe. Ma langue s’attardait sur la partie dure puis montais vers le petit trou du gland que j’approfondissais comme si je voulais y entrer. C’était terrible d’émotion pour moi. Je jouais, prenais du plaisir, et en même temps en donnais. D. était très réceptif à mes jeux, aussi bien aux coups de langue qu’au doigt dans son petit trou, car il se cambrais juste ce qu’il fallait pour que sa raie soit totalement à ma merci.
L’un de mes doigt vint donc tout naturellement s’aventurer vers son intimité exquise et la titiller du bout de la phalange. L’effet fut presque aussi électrisant sur moi que sur lui! Je suçait donc d’autant plus cette tige dure et si douce à la fois. Je jouais avec l’anus de mon pote et je lui suçais la bite! Rien qu’à m’en rendre compte, je devenais fou d’excitation totale!!! Et son excitation à lui se devinait par le léger jus que son sexe me donnait; le goût en était un peu acide, mais pas tant que ça, et passé la surprise, je le mélangeais à ma salive à grand coups de langue. Je me donnais complètement à ma fellation, mon propre corps se tortillant, mon sexe demandant à ce que l’on s’occupe de lui, mais j’étais trop bien occupé pour m’attarder sur ce que je connaissais déjà par coeur!
Forcément, à force de le caresser, mon doigt finit par se coincer dans le petit trou d’amour de D. Il sursauta à peine et aussitôt écarta complètement les jambes, chassant définitivement le sac qui dissimulait non sans mal l’effet physique de nos ébats. D. était totalement cambré, la tête en arrière et le corps orienté vers moi dans une position aussi indécente qu'excitante. Et moi je léchais tel un fou son sexe, dégoulinant de ma salive et de ses propres sécrétions, glissant mon doigt dans sa partie le plus intime, suscitant de petits gémissements à chaque centimètre gagné...
Je commençais un lent manège d’aller et retour, rentrant à peine au début, puis approfondissant progressivement. Mon doigt, d’abord serré, trouvait une voie de plus en plus acceuillante. Et, tout en léchant son sexe, je regardait mon doigt à moitié rentré dans ses fesses. Mes fantasmes les plus fous étaient largement surpassés!! Pour un coup d’essai, c’était un coup de maître!
Je reprenais aussitôt son pénis dans ma bouche, l’aspirant goulûment et utilisant ma langue avec une réelle frénésie. Aucun centimètre ne m’échappait.
D. bougeait de plus en plus, son ventre ondulant en rythme avec mes coups de langue.
Soudain, ses reins eurent un violent mouvement vers le haut et je sentis une sorte de liquide visqueux dans ma bouche se déverser à longs jets. Je fut forcément surpris mais le souvenir du sperme s’écoulant de mon propre outil lors de mes séances solitaires me rassura sur la nature de cette chose épaisse envahissant ma gorge.
N’ayant que peu de choix, j’avalais le produit de ses entrailles, d’abord avec un peu de réticence, mais très rapidement avec une certaine excitation qui, plus tard, deviendrait un réel plaisir.
Je finissais par lécher son gland, encore un peu dur, tout en astiquant ma propre tige. Ma jouissance ne tarda guère. Sauf que ma semence finit quand à elle épongée par un mouchoir, en connaissant déjà le goût et ne voulant pas remplacer celui de D., un peu acide mais relativement suave au final.
Prudemment, comme si je craignais de le réveiller (!), j’utilisais un autre mouchoir pour effacer au maximum les traces de nos plaisir sur le sexe de D. Mon ouvrage approximativement effectué, je tentais une remontée plutôt maladroite du caleçon laissé sur le coté. D. sembla coopérer, toujours aussi discrètement, et dés que le coton fut remis à sa place, il se tourna sur le coté comme pour me signifier mon congé. Un long soupir et une respiration régulière semblant clore le chapitre de son coté.
Un peu surpris et en même temps rassuré de ne pas l’avoir “réveillé”, je retournais le plus silencieusement possible sous mes propre draps.
Mais les hormones mâles d’un adolescent étant ce qu’elles sont, il me fallut à nouveau vider mes bourses avant de pouvoir retrouver un sommeil ponctué de rêve où un sexe géant me courrait après pour s’enfoncer dans ma bouche et un autre qui en voulait à mon p’tit trou...!!
Le lendemain matin, D. se réveilla tout guilleret, et fidèle à sa bonne humeur, commença à jouer comme nous le fîmes toujours. Rien ne trahissait ce qu’il s’était passé la nuit. Ce qui me rassurait un peu et en même temps me laissait un peu sceptique. Mais après tout.. tant pis!!
Ce n’est qu’en fin d'après midi, alors que sa mère venait les chercher, lui et son frère, qu’il se tourna vers elle et lui demanda le plus angéliquement du monde:
“Maman, Q. peut venir dormir à la maison?”
“Heu.. je ne sais pas, il y un manque de place!! Je ne saurais pas ou le faire dormir!”
“C’est pas grave, il n’a qu’à dormir à coté de moi dans mon lit!!” rétorqua t’il avec un petit sourire...
“Si tu veux, mais ne faites pas trop de bruit!!! Je vous veux couchés pas tard!!”
“Ne t’inquiètes pas Maman, je suis fatigué et je pense que l’on se couchera tôt!”
Et d’un clin d’oeil vers moi, il leva les yeux avec un air coquin...Est-ce que je me fais des idées? En tout cas, je pense que la nuit sera longue... mais pas reposante!!
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