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BONJOUR
Je vais en ville,il pleut,le temps est maussade,il est difficile de de marcher dans la multitude de parapluies,je ne vais pas faire longtemps les magasins..
Je vais dans une boutique africaine et achète deux perruques pour mon chéri,une brune longue bouclée et l'autre rousse,plus courte et également bbien ondulée,puis dans vendeur de chaussures,je lui prend une paire de talons hauts noirs classiques de taille 42,la vendeuse est étonnée,je lui confie que c'est pour mettre avec des collants en laine,je les essaie,je nage dedans avec mon 38,mais ils sont magnifiques,j'achète également pour mon amour,une paire de mule que j'essaie également,la vendeuse à mes genoux ironise en voyant certainement ma culotte:
"Les mules aussi c'est pour des collants en laine!!"
Petite salope,elle doit être un peu gouine,en enlevant mes chaussures
je trouve qu'elle s'attarde un peu sur mes jambes,avec un regard de vicieuse,je note ,je reviendrai la voir,ils ne sont pas chers en plus..
Je me promène un peu,il est un peu plus de 17heures,j'ai rendez vous chez Tristan à 19 heures,je ne suis pas loin de son immeuble,je vais aller voir,s'il est là...je sonne à l'interphone:
"Vas y monte,6ème gauche"
Dans l'ascenseur,je réajuste ma culotte,dégageant ma chatte du bout de tissu qui l'envahissait,faisant cela,je me did que s'il y avait une caméra espionne,on en verrait de belles,personnellement,si je suis seule dans la cabine,j'ai toujours un slip à règler,une jarretelle à agrafer ou un sein à caler,je ne dois pas être la seule à agir ainsi...
Tristan,souriant,radieux,m'accueille,il n'est pas seul,je veux repartir(pour la forme,car les petits jeunes m'excitent beaucoup),
il me retient(tant mieux)et me présente ses trois copains,il y a là
Tom,Olive et Sam,trois beaux mâles de seize à dix huit ans,déjà bien excités de voir arriver une belle salope,la belle salope en question sent comme un humidité au niveau de sa culotte,ils sont tous les trois superbes dans leur innocence et leur envie...
Des trois,celui qui m'interpelle le plus est Sam,un beau black plus grand que moi sur mes talons avec un regard de taureau lubrique,il doit m'imaginer à poil au bout de sa queue,il n'a pas tort,je pense à la même chose...
Trois puceaux et demi pour moi,dont une queue black,la première pour moi,et ce sera celle d'un gamin de seize ans,quel plaisir,je ne veux plus partir,eux non plus,grand moment de doute,que faire??
Tristan m'installe dans le canapé,il est profond,mes genoux sont très haut laissent voir sans doute ma culotte,il va chercher un café,
je reste seule avec tois jeunes,avides de sexe et ayant sous la main ce qu'il faut sans savoir comment s'y prendre,je vais devoir être maline avec eux.
J'ouvre un peu la veste de mon tailleur,mes seins,tous tétons dressés, soutenus par mon soutien gorge noir sous mon chemisier rose
apparaissent,ils n'en peuvent déjà plus,que mater?sa culotte ou ses nichons,et je ne suis là que depuis cinq minutes à peine.....
Tristan revient,je bois mon café,il m'explique qu'ils jouaient à un jeu de dés à base de nombre de un sanctionné par un gage au perdant,il me propose de participer,pourquoi pas?j'y vois là un bon moyen de parvenir à mes fins.Je ne comprends pas toutes les subtilités de ce jeu,mais je jette mon dé quand c'est mon tour,les gages sont anodins jusque au moment où je suis la perdante et que le donneur de gage est Tristan,je connais bien ce petit pervers:
"Chantal,tu vas quitter ta veste et ton chemisier!!"
Je fais la jeunette outrée,je minaude:
"Non pas ça tu comprends,gna gna gna gna..."
Mais au fond de moi je n'ai qu'une envie;montrer ma fierté,mes si beaux seins pour les faire bander ces petits mecs pleins de bonne sève à extraire...
Tristan est très sévère:
"Tu as perdu,tu dois t'éxécuter"
"Bon d'accord"
La salope a repris le dessus la minaudeuse,je quitte ma veste de tailleur,puis lentement ,je défais les boutons de mon chemisier un par un comme une stripteaseuse,j'écarte progressivement les pans de mon chemisier pour laisser voir mes fabuleux seins,je me lève et me retourne et tortillant mon cul,je quitte mon chemisier,je me retourne doucement vers mes mateurs,plus de doute,ils sont tombés sur une belle salope,j'ai les mains croisées sur mes seins.
A BIENTOT CHANTAL
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Ecrit par CHANTALOUETTE
Parue le 01 décembre 2010
