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Cette journée commence comme une journée de m....? ! Il y a eu une coupure d'électricité cette nuit, et malgré la pile de secours, le réveil n'a pas sonné, donc cavalcade, une toilette de chat, un café à peine chaud et direction le garage. Je mets en route et ..rien !! un sinistre son clik ! Plus de batterie, alors qu'hier tout allait bien, quelle plaie. Je décide de prendre le bus qui passe sur la nationale, et je cours afin de ne pas le rater. Je ne risque pas de le louper, vu la queue à l'arrêt. Je suis surpris et je demande à un passager le pourquoi de cette affluence :"Il y a eu attaque d'un contrôleur et certains chauffeurs ont exercé leur droit de retrait, c'est le cirque !" Décidément, quand je dis que c'est une journée de m..... c'est une journée de .......!!!!! Je suis comptable dans une maison médicalisée de Nîmes, j'appelle mon bureau afin de les mettre au courant de mes déboires matinaux et les prévenir que je serai en retard. Véronique, ma collègue, éclate de rire à mon récit et me dit d'aller me recoucher, que ce n'est pas mon jour !! Au lieu d'attendre un hypothétique bus, je décide de partir à pied en faisant du stop. J'ai à peine fait 100 m, qu'une voiture s'arrête à ma hauteur :
- "Vous allez à Nîmes ?
- Oui, ville active.
- Parfait, montez, je vais au même endroit."
Est ce que la chance viendrait enfin à ma rencontre ? Je m'installe et je salue mon sauveur, un homme d'une trentaine d'année à l'abord fort sympathique.
- Je m'appelle Sylvain et je vous remercie, j'étais en galère ce matin.
- Théo, pour te servir, me dit-il avec un beau sourire, on est a peu près du même âge, alors pas de chichis entre nous, on se tutoie, ok?
Que fais tu à ville active ?
- Je suis comptable dans une maison médicalisée et toi ?
- Je connais bien cette maison, moi je travaille à la pizzeria qui fait l'angle de la rue où se trouva cette maison.
- Le monde est petit.
- Tu finis à quelle heure ce soir ?
- à 17 h/17h30 suivant le boulot, et toi ?
- Moi à 17 h30 après c'est l'équipe du soir qui prend le relais. Si tu veux, ce soir je te ramène chez toi.
- Super ! c'est sympa de ta part, ça ne te dérange pas ?
- Pas du tout, au contraire, ça me fera du bien de changer de la routine.
- T'es marié ?
- Non, et toi ?
- Moi non plus. Quel âge as tu ?
- 28 ans et toi ?
- 26 le mois prochain. Tu fais du sport, tu as l'air en pleine forme ?
- Un peu de salle de muscu et beaucoup de natation, surtout en cette saison avec la mer à côté. Et toi ?
- Il y a une salle de gym dans mon village, j'en profite, et comme toi, je suis un fondu de la natation, surtout en mer !
- Encore un point commun, ça fait 2, super ! Pas de femme et du sport ! Je ne sais pas si vous avez déjà ressenti cela, j'ai l'impression de connaître Théo depuis des années, je suis bien avec lui et je me livre sans contrainte, c'est quand même bizarre non ? Si bien que le voyage passe vite et nous voilà arrivés à destination. Il me montre où il gare sa voiture, nous échangeons nos numéros de portables au cas où il y ai un empêchement de dernière minute. La journée se passe et je pense à Théo souvent. Je regarde l'heure, j'ai hâte de le revoir, je me demande ce qui se passe. Enfin 17/30 h, je me précipite dehors et je retrouve Théo appuyé contre sa voiture en train de fumer une cigarette. Il est vraiment beau mec, comment lui avouer que je suis homo ?
- Il y a longtemps que tu m'attends ?
- J'arrive à la seconde, je viens d'allumer ma sèche.
- Je vais en faire autant, en sortant du boulot, j'aime bien en griller une !
- Et de 3 !
- 3 quoi ?
- 3 points communs. Tiens, prends en une des miennes.
Il me tend son paquet, j'en prend une et il me l'allume avec son briquet en effleurant mes doigts, et ma main. Ce geste me trouble, et mon shorty commence à se remplir sérieusement, surtout qu'il en profite pour me fixer droit dans les yeux. On fume doucement, et j'en profite pour le regarder en détail, j'espère que je le fais discrètement. Maintenant, je bande et je suis obligé de me tourner afin de dissimuler la grosseur de mon entrejambe, accentuée par le jean's.
- Allez, en route !
Je le guide pour aller chez moi, et arrivé sur place, Théo me demande à voir ma voiture. Je lui donne les clés, et le sinistre clik de ce matin se fait entendre.
- C'est la batterie qui est naze, Sylvain, il faut la changer. Donne moi un jeu de clés à pipe, je vais la démonter et on ira en acheter une neuve. En moins de deux, la batterie est retirée. Je regarde ce gars que je ne connaissais pas ce matin et qui est là, avec moi, en train de réparer ma bagnole.
- On va aller chez mon garagiste, comme ça, si il y a un ennui, je sais que je peux compter sur lui.
Marco, le garagiste est un jeune célibataire qui s'est installé depuis 3 ans et qui s'est taillé une solide réputation, aussi bien en réparation, qu'en conquêtes féminines. Nous avons sympathisé dès son arrivée dans le village et je lui ai avoué mon homosexualité, notre amitié est totale, on se raconte nos histoire de cul, et nous sortons souvent ensemble.
- Quel bon vent t'amène Sylvain ?
- Ma batterie a rendu l'âme, il m'en faudrait une neuve. Je te présente Théo, un bon samaritain qui me vient en aide depuis ce matin.
- Salut Théo.
Et ils se serrent la main. Marco me fait un clin d'œil, comme pour me dire pas mal le mec ! Marco teste ma batterie, et le verdict est sans appel : naze de chez naze. Il va m'en chercher une neuve dans son magasin, me fait la facture, je paie et on quitte le garage.
Revenus à la maison, Théo remonte la batterie neuve et hop, tout baigne, le moteur tourne comme une horloge. Théo regarde sa montre, il est 19 h.
- Bon, et bien je vais rentré chez moi.
- Tu es pressé Théo ?
- Non, personne ne m'attend.
- Pour te remercier, je t'invite chez Henriette, un petit resto super sympa dans le village, Ok ?
- Avec plaisir, j'aime bien ta compagnie.
- Outre ta gentillesse, je dois dire que je me sens bien avec toi.
Je me sens rougir jusqu'à la pointe des cheveux en réalisant ce que je viens de dire. Théo ne répond pas, mais un léger sourire apparait sur son visage, et mon shorty est de nouveau trop petit.
Le resto d'Henriette, c'est ce genre de guinguette où les conserves n'ont pas le droit de cité. Les légumes sont du jardin ou de ceux des voisins, la volaille est celle d'Henriette, poules, poulet, canards, lapins sont élevés dans le champ derrière le resto et mangent tous les restes, quand aux œufs, c'est un des rares resto qui peut servir des œufs coques. On se régale ! Le soir très peu de monde, des gens seuls qui ne veulent pas faire à manger, comme moi.
- Bonjour Henriette, comment vas tu ?
- Bonjour Sylvain, tu viens diner ?
- Oui, on est 2, c'est possible ?
- Pas de soucis, mais je vais être à court de pain, fonce chez Mimile et achète 2 baguettes, je les paierai demain.
- Théo, commande l'apéro, je vais à la boulangerie.
10 minutes plus tard, nous sommes devant du taureau en daube qui embaume tout le resto, du fromage de chèvre de chez Odette, une bonne bouteille de Costières de Nîmes et une macédoine de fruits de saison avec un vrai kirsch alsacien, la café et nous pouvons renter à pied pour faire la digestion.
- Ecoute Sylvain, ce resto est super et Henriette est du tonnerre.
- Je suis content que cela t'ai plu.
Nous allumons une cigarette, et nous marchons tranquillement jusque chez moi. Nous sommes devant la maison :
- Théo, je t'offre un dernier verre pour finir cette journée mieux qu'elle a commencé"?
- Ok, mais juste un car on a bien vécu chez Henriette !
Nous rentrons, la soirée est douce, c'est le meilleur moment de la journée.
- Que veux tu boire ?
- Si tu as une cartagène, je veux bien.
- Pas de souci, et je reviens avec 2 verres bien remplis.
On trinque, assis près l'un de l'autre sur le canapé du salon.. On parle de chose et d'autre, vacances, un peu boulot, etc... Si bien que le temps passe vite, trop vite à mon goût.
- Putain il est minuit dit Théo, il faut que je rentre.
- Avec ce que l'on a bu, cela n'est pas prudent, reste couché ici, tu partiras demain matin.
- Mains je n'ai pas de vêtements de change.
- Pas grave, on se ressemble comme corpulence, je vais trouver ce qu'il te faut. Je règle le réveil. Ca ne te dérange pas si on couche ensemble ?
- Non, je vais garder mon slip ! (et il éclate de rire)
On passe à la salle d'eau, j'ai du mal à ne pas avoir d'érection, je sors de la douche avec la serviette autour de la taille et c'est au tour de Théo. Il est à poil devant moi, et je suis content de voir qu'il a un début d'érection qu'il masque avec le gant de toilette.
On se retrouve dans le lit, lui avec son slip, moi à poil comme dab.
- Bonsoir Sylvain et bonne nuit.
- Bonne nuit à toi aussi Théo, fais de beaux rêves.
Je bande à mort, je ne sais pas de quel côté me mettre, je décide de rester sur le dos. Théo est sur le côté, son cul tourné vers moi. Je ne bouge plus, je ne dors pas, je me caresse la bite, je mouille. Et puis, Théo se retourne vers moi avec un grand soupir.
- Ca va Théo ?
- J'ai du mal à m'endormir, et toi ?
- Je ne dors pas....
- Tu penses à quoi ?
- A qui, je pense à toi........j'ai envie de te faire l'amour depuis que je t'ai vu !
- Alors, qu'est ce que tu attends ? Moi aussi, j'ai envie de toi ! J'ai une trique d'enfer, tient regarde !
Théo retire son slip. J'allume et nos deux bites sont raides, agitées de soubressauts, je me penche tout de suite et j'engloutis la bite de Théo jusqu'aux couilles. Il gémit de plaisir, à son tour, il se met en position et c'est ma queue qui disparait dans la bouche de Théo. On se fait un 69 en essayant de contenir le désir de l'autre afin de se faire une bonne pipe. Théo commence à gémir de plus en plus fort, j'arrête de le sucer, je lui bouffe les couilles et je descend vers son cul, raie poilue, ma langue s'active sur sa rondelle, je le baise avec ma langue que j'enfonce profondément dans son cul dilaté, je continue avec mes doigts, ma langue, Théo gémit.
- Putain, encule moi Sylvain, remplis moi le cul, défonce moi, j'ai envie de ta grosse bite, je veux tes couilles sur mon cul, prends moi comme un pute, baise moi mec !
- Mets toi sur le dos ma salope, relève les jambes, je vais t'enculer à fond, tu veux de la bite ma pute, tu vas en avoir plein le cul !!
Je le prends sans ménagement, j'enfonce ma bite rapidement dans son cul, et je commence un va et vient d'enfer.
- Tu sens bien ma queue dans ton cul de salope ? T'aime ça les grosses bites ! Je vais te remplir le cul de foutre, je vais me vider les couilles jusqu'à la dernière goutte.
Théo pousse de petits cris de plaisirs qui m'excitent de plus en plus.
- Tiens salope, prends ça dans ton cul de pute.........
Et je me vide les couilles en jets chauds et puissants dans le cul de Thèo. Je reste un moment, ma bite entièrement dans Théo. Quand je me retire, un filet de sperme coule du cul de Théo.
Je m'essuie la bite, et je reprends la queue de Théo dans la bouche et je le suce doucement pour faire durer son plaisir.
- Vas-y Sylvain, bouffe la bite jusqu'aux couilles, je vais te remplir la gueule de sperme salaud, tu m'en a mis plein le cul, je vais t'en mettre plein la gueule, aller suce ton homme, vide moi les couilles, suce salaud !!!
Il me tient la tête et me pilonne avec sa queue, ses couilles balottent contre ma figure, et puis un râle, Théo se vident les couilles dans ma bouche, à chaque jet, j'avale son foutre chaud !
- Tu l'aimes mon foutre, nettoie moi la bite avec ta langue ! Putain que c'est bon, tu suces comme un chef ! Quelle pipe mec !!
La nuit fut agitée, je me fis enculé par Théo, sucé, et réciproquement ! Le lever du matin fut pénible, mais depuis j'ai un nouveau copain de natation et de baise.
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