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En plein été, en Provence, il peut faire vraiment chaud. C'etait le cas de ce jour de juillet où j'avais accepté l'invitation de ces paroissiens. Lorsque j'entrai dans la salle de séjour j'appreciai la fraîcheur relative. Elle excusa l'absence de son mari, quî était retenu par un rendez-vous professionnel inopiné. J'etais un peu gêné par la situation, d'autant plus que sa tenue était un peu légère et son décolleté laissait entrevoir une poitrine avanrageuse. J'ai beau préférer les hommes, cela me troublait un peu. Elle m'invita à prendre l'apéro au bord de la piscine. Un jeune homme splendide y nageait. Elle le pria - c'etait son fils - de venir me saluer. Il s'avança vers moi, avec un sourire éclatant. Il était en string et je bandai instantanément. Elle lui dit : pendant que je vais chercher le dessert à la pâtisserie, vois si tu trouves un maillot pour le père Sylvain. Vous avez bien une demi-heure pour vous baigner avant l'arrivée d'Hervé. Elle partit et il m'invita à le suivre dans une chambre. Le boxer était visiblement trop grand. Le mini slip trop petit. Il ne restait qu'un string. Je n'imaginais pas me balader ainsi cul nu, mais il m'assura que personne dans la famille ne serait choqué. J'etais à la fois gêné et excité de me déshabiller totalement sous ses yeux pour mettre le string : je prenais juste soin de ne pas lui montrer mon erection. Nous redescendions vers la piscine : tous deux en string. Je me sentais très bien et excité. Nous avons nagé quelque temps, puis un mec très viril apparut, en boxer moulant laissant deviner une belle queue en erection. C'etait le fameux Hervé et leur relation semblait intime car ils s'embrasserent à pleine bouche, sans se cacher de moi : j'avais même l'impression qu'ils savaient qu'ils me faisaient bander et qu'ils s'y employaient. J'etais revenu sur le bord de la piscine et j'essayais de repositionner ma queue dans mon string bien gonflé. Hervé massait son copain allongé sur le ventre et j'enviais celui-ci. À un moment où le regard d'Hervé croisa le mien il me sourit d'une manière lubrique et retira son string à son copain. Il était devenu inutile de faire semblant de regarder ailleurs. Ils prenaient du plaisir à se montrer à moi et je prenais du plaisir à les regarder. Hervé le doigtait maintenant en me regardant avec insistance comme pour me dire : ce sera bientôt ton tour. Sans le préméditer j'avais glissé ma main dans mon string pour me toucher en les matant. Hervé retirait son boxer : ils étaient complètement à poils l'un et l'autre et Hervé lui mettait deux doigts, puis le retourna vers lui et lui donna sa queue à sucer. J'avais sorti ma queue pour mieux me branler. Je n'avais plus de pudeur ni d'inhibition tant ils m'excitaient. Hervé le mit à 4 pattes et l'encula en me disant : voilà Père Sylvain ce qui arrive aux salopes. Je comprenais qu'il me calculait comme sa prochaine salope à baiser. J'etais à la fois terrifié et ivre de désir. Je retirai mon slring et me dirigeai vers lui : sans cesser d'enculer son copain il prit ma queue dans sa bouche et commença à me doigter, à me préparer. Il me dit : tu es prête, petite salope ? Je n'osais pas répondre : il me donna une bonne claque sur le cul et instinctivement je me mis à 4 pattes. Son copain avait pris ma place sur le transat comme j'avais pris la sienne à 4 pattes. Était-il en train de téléphoner avec son portable ou de nous prendre en photo. Hervé me pénétra, me ramona. Elle arriva avec son dessert : j'etais mort de honte et super excité d'etre enculé sous ses yeux. Elle ne semblait ni étonnée ni choquée. Je comprenais que tout avait été préparé, que j'avais été piégé et que si je refusais désormais mon cul à Hervé ils avaient des photos pour me compromettre. De temps en temps je reçus des SMS invitant le Père S. à déjeuner, précisant qu'Hervé souhaitait me voir. Je savais que S. pouvait se lire aussi bien comme Sylvain que comme Salope, et c'est sous ce deuxième nom que j'etais prié, dès le seuil de la maison de me mettre à poil, y compris devant des invités. L'été fut vraiment très chaud...
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