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Rio de Janeiro
Préface
Au sol et de soleil sur le carte postale, Rio son carnaval et ses plages, sa musique le samba, sexe drogue et belles femmes, corps parfaits, bronzées, un rêve des touristes sous la protection du Christ Redempteur, un clime tropical très dur, três fort, la ville merveillée que fait le meilleur comme le pire du mytique Copacabana surnommé la princesse des mers à favela de la Rocinha. Tout le matin on découvrait des corps victimes du trafic de drogue dans les favelas. On mangeait des balles au petit déjeuner et pour le dîner.
Chaque matin dans son appartement près de la plage de Copacabana et Ipanema les deux plages plus célébres du monde. Mariza Fontes où elle passe beaucoup de temps à se bronzer. Pour elle la plage est sacré. Son mari entreprenneur Mauricio Fontes prouvait dire qu’elle était la plus belle. D’ailleurs, elle a toujours été la plus belle. Cette jeune femme était sexuellement disponible. Elle accentuait sa séduction en se maquillant, en détachant ses cheveux en dehors de la plage, en osant des mini robes sans soutien-gorge et même un jour sans slip, comme il s’en aperçut alors qu’elle était accroupie. Elle se masturbait le soir sur son lit de camp en pensant à la grosse queue d´un black. Elle imaginait un gros calibre noir qui la remplirait totalement. Le Jour suivant, portant sans complexe un maillot deux pièces dont elle détachait le soutien-gorge en bronzant sur le ventre. Um jeune black passe... Tournant la tête vers lui, ouvrant de grands yeux bleus, la blonde s’étonne: leurs regards se croisèrent et elle soutint le sien en relevant légèrement le torse, découvrant deux seins lourds.
- ?Tu es une figure obcène de la lacivité et la débauche, la luxure j´aime la libertinage de mon épouse et je fantasme de te voir faire l’amour avec un inconnu, je te l’ai déjà dit…
- Si tu juge utile je veux un black si possible. C’est vrai, tu m’en avait parlé au début de notre liaison. J’avais cru à une plaisanterie d’abord, mais il avait recommencé à avouer ce désir. J’avais choisi de faire la sourde oreille puis, peu à peu, tu n’avais plus évoqué son désir candauliste. Et ça m’allait très bien.
Un
La vie reprend son cours. Les jours se suivent et se ressemblent. L’été, depuis plusieurs années, s’installe très tôt chez eux et ils profitent de la mer dès qu´ils avaient un moment de libre. Ils allent se baigner dans la plage de Copacabana. Ils observaient ses gros seins qui ballottaient allègrement et elle sentait ses tétons qui durcissaient. Peut-être plusieurs années de vie commune, la sensualité partagée, les épreuves subies et les joies dispensées, entraînent-t-elles la similitude des corps et des attitudes. Ou l’amour se fait-il mimétisme physique autant qu’affectif? Allaient enfin à la libertinage tous les deux.
- ?Je suis ta pute, ta chose, je suis ce que tu veux…
- Je les regarde fasciné et envieux… je crève d’envie…
- ?Ben voilà ! Je savais bien que vous étiez excite.
-?J’ai le droit de rêver.
- ?Voulez-vous me suivre, derrière, vous serez plus à l’aise pour réparer ces petits dégâts… ?Mais je ne vais pas pouvoir le faire toute seule!
- ?Puis-je vous aider ?
Sa femme et lui c’était l’histoire d’amour parfaite. Elle aime ça, qu’elle voudrait toujours une grosse bite qui la défonce. En général il éjacule très vite en elle, le moment étant extrêmement jouissif. C’est ainsi que petit à petit, dans mon esprit, il imaginait sa femme s’exhibant devant d’autres hommes, se faisant désirer, puis caresser et finalement pénétrer par un autre que lui. Cela lui semblait complètement irréalisable mais après ce qui est arrivé l’été dernier, il pense que bientôt le moment viendra où elle se laissera tenter. Elle hésite parce qu’elle sait que sous cette magnifique robe qu’elle étrenne ce soir, elle est nue. Ni soutien-gorge, ni slip. Ce n’est pas qu’elle aime à se promener ainsi, mais ça a été l’une des exigences de Dominique, qui trouvait que tous les sous-vêtements marquaient sous la légèreté du tissu. Alors, il lui a offert la robe, avec cette exigence: qu’elle ne porte rien dessous.
En face d’elle, son mari attend son bon vouloir, non sans admirer as belle Femme, grande, svelte, des seins qui semblent fermes et plantés hauts, libres sous le bustier. Le ventre est plat. Et elle a, selon son époux, une figure d’ange, encadrée par de longues mèches noires qui entourent et balaient un visage long aux proportions parfaites, au nez droit et fin et surtout aux yeux bleus…
- ?Nous serons discrètes, il ne saura jamais rien. N’es-tu pas excitée en voyant ces beaux mâles, moi, je craque.
- ?Pourquoi? Veux-tu m´aider à sucer des grosses bites?
- Serais le Paradise.
- Un jour qui sait.
-?Mariza? J’aimerais te voir faire l’amour avec un autre homme.
-?Tu es sérieux, mon amour? Et si je te prenais au mot, si je te trompais?
-?Tu ne me tromperais pas puisque c’est moi qui te l’aurai demandé. Et puis je serai là à vous regarder.
-?Tu es vraiment tordu, mais je t’aime. Je ne vais pas y aller par quatre chemins: je ne veux pas mourir idiote, cela fait des années que j’attends de connaître d’autres queues.
-?Je te remercie pour ta franchise, ?Oh que oui! Qu’une fois dans sa vie, elle sache ce qu’est un véritable plaisir sexuel. Qu’est-ce que tu es belle! Des seins qui ne me laissent pas de glace, crois-moi, une taille, des hanches et cette chatte splendide, cette chatte…?
-?Ce que tu m’as fait est fabuleux, je n’aurais jamais cru qu’un tel plaisir soit possible.
-?Et tu n’as pas résisté !
- ?Non, ses paroles me faisaient fondre de désir!
Mariza, quant à elle, évolue dans une ample robe légère et courte. Elle dont les mouvements font vivre avec sensualité sa généreuse poitrine. La blonde souhait provoquer des désirs masculins. La blonde regarde à son tour le décor et c’est vrai que c’est enchanteur.
-?Le soleil est puissant aujourd’hui, il faut bien se protéger.
-?C’est un endroit extraordinaire ici chérie, Il y a donc la plage qui est totalement privée.
Le soleil était bas sur l’horizon. Les couleurs devenaient dorées. La plage n’est pas déserte, mais elle s’est quelque peu vidée, ilss sont donc relativement tranquille, assez éloignés des autres personnes et surtout tout enfant a disparu de l’horizon. Elle a l’habitude de bronzer seins nus, le vent salue ma nudité. Son époux cocu concentant est ravi de la voir ainsi libérée de tout, Marize et lui avaient décidé d’occuper agréablement cette journée en escapades libertines, partagées avec le sourire et le plaisir de notre complicité. Marize voir un jeune black qu´elle trouve beau mater avec insistance ses gros seins et elle éclata de rire. Son époux sent qu’elle ne va pas tarder à aller voir ailleurs. Marize sens le plaisir monter, à sa respiration qui s’accélère. La blonde fait comme si de rien n’était. Le jeune homme black est maintenant assis il se retourne vers elle. Son sexe lui paraît différent dans cette position. Plus long que lorsqu’il reposait sur le ventre, alangui, légèrement penché vers un côté et regarde leur partie avec assiduité, ou plutôt regardait le corps de sa femme, Elle lui regarde, mutine, coquine, provocatrice, mettant tout son talent exhibe. C´est tout qu´elle voulait. Il est vrai que c’est un bel black manifestement bien plus jeune que son époux. Cela semble l’amuser, car son époux lui fait un clin d’œil. La situation est nouvelle pour moi. Eux semblent très à l’aise.
Cette nuit, je suis resté longuement encore éveillé à ressasser ces sombres images. J’avais beau essayer de chasser ces pensées, elles revenaient, obsédantes, avec ces insupportables visions obscènes du corps de ma femme soumis aux caprices de son amant. Pourtant, dans le fond de mon coeur, percait une folle inquiétude.
- Qu’importe! Il bande. La tige se déploie. Je sens dans ma bouche le bout se dégager. Je découvre la douceur du gland. Il est dur come j´aime.
-?C’est tout le sel de la situation…
- Je crois que votre femme est bien dans son rôle… Faites-lui un geste de la main.
- ?Pourquoi?
-?Pour lui donner votre bénédiction. Croyez-moi.
- Cela peut être agréable à um mari voyeur regarder. N’est-ce pas?
- Son sexe noir est tendu, son gland gonfle devant cette scène.
- ?Je le veux, lui dit-elle dans un souffle.
- ?Prens-le alors, mon amour, regarde par là.
-?Oh! Quelle idée géniale tu as eue! Dit-elle.
- ?Non, pas de problème, mets-toi à l’aise.?Tout ce que tu veux, ma belle.
Elle se lève et traversait du parking pour atteindre la voiture fut une épreuve. Elle sentait le regard d´un jeune black fixé sur ses fesses qui se balançaient. Il lui vint même l’idée, un brin perverse, d’accentuer le déhanchement pour les rendre encore plus mobiles. Elle résistait cependant à une tentation trop provocatrice dont elle risquait de ne pas maîtriser les conséquences. La scène ne lui laissait pas indifférente. Elle sentait son clitoris qui gonflait et ses lèvres s’imbiber d’une impudique humidité venue de son vagin lubrifié.
- ?Oooh et… Tu as aimé ce que tu as vu? Demande Marize à le black.
- ?Han han, c’était très… hard si je peux dire. Et très excitant. ?Ça m’a rendu fou.
- Mon mari est voyeur laisse-le nous assister.
- Pas de problème.
-??Viens sur moi, je veux voir tes talents d´étalon. Il était si gros en moi chéri… Reprend-elle.
Sur ce dans la voiture, il reprend sa bouche et ses langues entament un ballet fougueux. Sa main gauche continue à jouer avec son sein gauche tandis que sa droite descend vers le bas de son maillot. Il la passe dessus pour sentir son pubis et ses grandes lèvres. Marize semble électrisée à ce contact. La blonde est face à son époux les regardant elle est dans une position indécente, le sexe offert. Elle ferme les yeux, tenant son sexe encore plus fermement, au rythme des à-coups qui s’accélèrent. Elle halète, ses lèvres entrouvertes. Les soubresauts deviennent des secousses et ses va-et-vient vers elle de plus en plus amples.
-?Aaahhh chéri… Ooohhh c’est bon…
-?Hmm, c’était si intense… Merci mon amour.
-?Mais de rien ma belle, te voir aussi comblée est un vrai plaisir.
- ?Mhhh… Tu ne perds rien pour attendre tu sais,
Ses gémissements augmentent au fur et à mesure que l’invisible amant la pilonne de plus en plus fort. Elle est secouée, ses gros seins balançant d’avant en arrière sous ses yeux, et dans un martèlement devenant frénétique elle jouit violemment, au son d’un cri rauque et profond. Son pubis rasé est désormais couvert de son sperme. Comme elle l’a déjà fait, elle récolte à l’aide de ses doigts cette substance chaude et visqueuse et son mari l’avale, un sourire mutin au coin des lèvres. Elle renouvelle son geste pour ne pas laisser de trace.
- Je veux continuer à faire l’amour, jouir.
-?Tu es pleine de sperme, cochonne!
- ?Oui et j’ai honte! J’ai écarté ses mains.
- ?Laisses moi te sentir.
-?Ça t’excite?
-?Oui ! Dis-moi, il t’a bien baisée?
-?Oui, c’était merveilleux et puis il a une si grosse queue!
-?Énorme?
-?Oui, énorme.
-?Tu l’as bien sucée?
-?Je n’ai pas arrêté de la pomper.
-?Tu as besoin d’une autre bite, salope!
-?Oui.
- Ca t’excite que je sois une salope?
- Oui. J´adore ça!
- Mon cocu de mari sait parfaitement ce que ça signifie.
Le mari de Mariza découvre très vite son besoin de montrer sa femme dont il est très amoureux et subjugué par sa beauté. Ils sortent de la plage Marize a mis une jolie petite robe bleue assez courte, mais relativement sage avec son sac et se diriger vers un bar de plage avec un magnifique sourire et des yeux pétillants devant où y avait beaucoup des clientes. Marize semblait discrètement épier les clients alentour. Un truc de fou… La voilà pris au piège de ce couple pervers! Mais comment résister aux charmes d’une si séduisante femme tombant comme par magie. Mais la curiosité tout comme l’excitation qui montait systématiquement. La blonde marriée est agréablement surprise en arrivant sur place, effectivement les lieux sont magnifiques, la musique est sympa, mais surtout elle peut constater qu’il y a bien une grande hétérogénéité dans les participants, bien plus que ce qu’elle a l’habitude de voir. Table basse ovale ornée de jolies bougies, banquette de cuir rouge agencée en demi-cercle, lumières tamisées, le tout à bonne distance de la piste de danse.
- Je découvre cette boîte de nuit où de centaines de couples, de femmes, mais aussi d’hommes qui cherchent des rencontres sexuelles, ici.
- Ton plus beau vêtement, c’est celui provenant des regards des hommes parant ta nudité. Ton visage tour à tour lumineux et sévère à l’image de ta jolie bouche à la sensualité contenue par le dessin de tes lèvres aux contours parfaits.
- Tu n’avais pas confiance en toi, mais bien sûr tu savais que j´étais belle.
-?Qu’en penses-tu, est-il à ton goût?? Je vais avouer mon fantasme d´être cocu. lui demandé-je, la bouche contre son oreille.
--?Ce n’est pas un secret. Pas mal, pas mal! lui répond-elle dans un sourire coquin.
- ?Ta robe plaît beaucoup au serveur.
-?Ah! Pourquoi?
- ?Tu n’as pas remarqué comme il a regardé dans ton décolleté?
- ?Non, je… Tu vois, je t’avais dit que c’était trop.
- ?Toi aussi tu as été très bonne, coquine, tu t’es vite enflammée.
- ?Un jeu un peu pervers.
- ?Si tu veux. Mais s’il te plaît…?Regarde. Il est jeune. Il est beau. Il doit avoir toutes les filles qu’il veut. Tu ne le laisses pas indifférent.
- ?J’ai envie. Tu m’as excitée. Tu ne perds rien pour attendre.
-?Ça peut peut-être s’arranger.
-?Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux.
- ?Deux minutes, je change de place. Je veux voir le reste maintenant.
-?Regarde bien, je vais prendre du plaisir rien que pour toi.
-?Mon ange, nos précédentes expériences prouvent que j’adore te voir jouir. Je voyais avec délice un torrent de cyprine couler de ses lèvres intimes, qui laissaient pointer son petit clito luisant.
- Qu´est-ce que tu veux que le fais, alors?
- Tu vas aux toilettes, tu retires ton string et ton soutien-gorge et tu me les apportes…
Devant le défi alors, d’être à l´hauteur de cette aventure exceptionnelle, la cohabitation se révèle beaucoup plus difficile que prévu. Pourtant ses regards brillants de désir qu´il surprenait à longueur de soirée ont fini par lui troubler. Cette soirée avait mis le feu à sa libido. Mais leur respect et leur tendresse réciproques arrivent progressivement à rétablir l’harmonie entre eux.
- ?T’as pas envie de t’amuser toi aussi?
- ?Si, bien sûr! Regarde ce type, c´est comme tu plaît, je vais te laisser avec lui.
- Il me veut c´est sur... Il me désabillait des yeux.
- Je suis un mari voyeur, tu sais...
- Il peut me baiser? À quoi pense-tu?
- Il doit... Baiser avec un noir nm´est pas un crime.
- Pas encore.
- Vous êtes libre ce soir.
- C´était formidable, laisses le avec moi.
- Quand tu veux quelque chose, pas desiste.
- Tout allait bien, tu vas voir.
- J´ai de la chance, Que dire de plus. Fais-moi plaisir.
Alors, Mauricio allait aux toilettes. Il lui sourit. Elle répondit à son sourire. Sans se démonter, le type descendit de son tabouret de bar et se dirigea vers elle. Il était très athlétique, avait une démarche de félin un peu inquiétante ce qu’elle n’avait pas bien vu alors qu’il était assis. Mais cela ne fit pour elle qu’accroître l’attirance qu’elle ressentait pour l’inconnu. Il la toisa avec un sourire à la fois charmeur et carnassie:
- ?Je peux m’asseoir?
- ?Si vous voulez.
- Vous êtes est un bijou de sensualité, vous dégagez un érotisme incroyable, vous avez un corps exceptionnel.
- Ma libido est de jouer au mari voyeur.
Il prit place sur le fauteuil à côté du sien.
- ?Je vous offre un verre?
- ?Merci, j’en ai déjà un!
-?Ta robe est vraiment magnifique. Elle te fait une silhouette torride. Tchin! Pour ta robe et pour ta beauté!
-?Merci pour tes compliments. Tchin! Tu es celibataire?
- Oui... Mon metier je n´avais pas vraiment le tempps de penser à ce genre de jeu.
- Je ne crois pas que le tempps soit la chose essentielle qui amèna les gens à s´investir pleinement dans une relation.
- Je veux vous aimer, la y est, être son amant pour tous jours.
- Qui est vous, alors?
- Un romantique de grosse bite qu´aime faire sexe avec les blondes.
La belle blonde Mariza avec ses cheveux blonds comme les rayons de soleil et ses yeux bleus, profonds comme un ciel d’été, elle a toujours eu un côté rêveur et romantique. Sa silhouette commence à prendre des formes délicates et féminines, des courbes douces qui se dessinent sous ses vêtements simples mais élégants. Elle ’aime porter des robes légères qui flottent autour de ses jambes ou des jeans bien coupés qui épousent ses hanches avec grâce. Sa peau claire, parfois rosée par les émotions, reflète la pureté de ses pensées et la chaleur de ses désirs secrets. Apprécie son allure de femme élégante et toujours svelte, mise en valeur par sa robe qui s’arrête opportunément au niveau des genoux, laissant apparaître ses mollets galbés qui glissent vers des bottines, qui soulignent ses chevilles fines. Son buste, légèrement marqué par sa grosse poitrine, suffit à laisser imaginer des seins encore sensibles aux caresses et, surtout, à l’épanchement de ses amants de passage. Le regard des hommes en disait long sur leurs pensées à la vue de son décolleté profond, de son dos-nu et de ses longues jambes bronzées par le soleil des plages. Pourquoi ne pas profiter de l’occasion, des occasions? Elle ne cherche pas, elle se contente de saisir ce qui peut se présenter à porter de ses mains agiles… Dans un sourire complice qu’elle s’adresse, elle tourne sur elle-même et se prépare à sortir en ville pour y faire quelques courses, en cette fin d’après-midi du début du printemps.
- J´aimerais faire une rencontre amoureuse avoir le coup de foudre, le truc que vous paralyse, que vous laisse muet, la bouche bée. Celui que vous rendrre brûllant, celui pour lequel votre coeurbe s´arrête plus de battre la chamade.
- Vas-y tu peux même taper, si tu veux. Tu as peur de taper? Vas-y n´aie pas peur.
- Cela me rend folle de joie.
D’un pas vif, elle parcourt les rues du centre en quête de quelques articles de mode pour se préparer à la nouvelle saison, s’arrêtant par-ci par-là au gré des vitrines de fringues et autres colifichets. Absorbée dans l’examen des vêtements, elle ne porte pas attention à ce qui l’entoure et ignore les passants qui la dépassent sur le trottoir. Le centre comercial désertique
Elle marchait dans la rue dans un pas décidé avec son mari cocu concentant cherchant une occasion inédite de faire sexe au hasard. Pour l´énième fois ils étaient persuadés qu´ils fallaient absolument faire quelque chose. La situation ne pouvait plus durer. Cela pourrait en faire certains, pas elle. Bon qu´au dernier moment qu´elle se fasse piquer sous le nez la place de parking. Tiens, une petite soudaine averse. Il lui semblait la metéo n´avait pas annoncé de pluie pour aujourd´hui. Toujours ce sacré índice de condiance. Elle n´a pas de parapluie, et maintenant? Mais, une puissante rafale célérate s´engouffre par en-dessous et le retour sans menagement. La pluie redouble d´intensité. Une maison abandonnée lá au moins ils ne prendent la pluie sur la tête, através de la lumière du cellulaire ils avancent dans l´intérrieur quand ils voient un énorme black avec une prostitué qui le suce intensement.
- Enfin nous arrivons à destination.
La blonde entend les gémissements à côtés qui indiquent que les choses sérieuses ont commencé. Il est aux anges et elle aussi. Surprise et amusée par l’opportunité, alors qu’elle est encore un peu émue par ses pensées érotiques de tout à l’heure. Depuis quelques minutes, mais le temps semble interminable, Elle ressent un mélange de fébrilité et d’excitation extrême comme jamais. Il est aux anges et bientôt approche le moment où elle ’en a plus envie que lui. Mariza le veut, et maintenant.
- Ouah... Une belle erection, mais j’ai envie de vivre ça.
- ?C´est normal, ça detend, et ça fait du bien. Tu t’es déjà tapé un black? ?Vas-y, si ça te fait plaisir, dit le mari.
- ?J´étais en train de prendre mon pied. Non, pourquoi pas. Tu veux que… Je le suce?
-?Si tu en as envie, ça ne me dérange pas.
- Bien sûr que non répond Marize en s’esclaffant.
-?Tu veux essayer? tu vas voir, Félix va te faire découvrir d’autres horizons.? Il est à toi et ça va te faire vriller.
- ?Euh! t’as vu son sexe? il va m’exploser!
- ?Ce pourrait être sympa, Qu’est-ce que tu en penses? ?Et vous avez-fait quoi??Tu en meurs d’envie?! c’est évident. Il est beau mec, profite! Alors, vas-y, L´époux lui demande.
- ?Si tu veux, mon ange, pourquoi pas! Tu veux jouer les voyeurs?
- ?Tu vas goûter et après tu ne pourras pas dire que ce ne sera pas exceptionnel. Je vous veux tous les deux… ensemble.
- ?Laissez-moi déguster. Hummm, ce fut très bon! Tu avais raison, j’avais besoin d’une bonne baise…
- ?Humm! Splendide, en effet! soupire Mariza. Je peux toucher?
- ?Apparemment, oui, s’amuse le black, et se penchant pour mieux distinguer l’intrus, il ajoute… et il semble apprécier le spectacle, si tu vois ce que je veux dire!
-?On fait comme tu veux, ?Approche-toi. Passe ta main sur ma grosse bite noire, lui répond courtoisement Afonso.
- Ta femme est un bijou de sensualité, elle dégage un érotisme incroyable, elle a un corps exceptionnel.
-?Tout autant que je lui offrirais un bijou dont elle rêve. ?Je ne vais tout de même pas vous priver du plaisir d’effeuiller le reste.
-?Tu veux mon cul? Mon cul de quoi?
- ?Votre cul de pute, Madame. Il va dégouliner sur mon visage.
- ?J’adore ça, sois pervers!
- ?C’est vous qui êtes perverse, dépêchez-vous.
-?Tire la langue autant que tu peux!
-?Fais-moi jouir comme une pute!
- ?Tu sembles savoir ce que tu veux… Fais-toi plaisir ma belle… J’aime la chaleur de ta bouche et la douceur de ta langue… Montre-moi ce que tu sais faire…
- ?… Fais-toi plaisir ma belle… Tu vas te régaler…
Marize a le diable au corps avec son visage d´ange, elle trompe tout le monde. Au passage, elle se débarrasse de son string trempé et chiffonné, puis attend d’être rejointe par son nouvel amant. La robe ouverte sur ses seins tendus, les cuisses écartées et chaudes, la bouche offerte ainsi que son sexe, elle est décidée à se donner du plaisir comme elle aime le faire quand elle se lâche.
-?Putain t’es trop bonne… Quelle suceuse! T’arrête pas! Continue ma belle… Allez régale-toi… T’arrête-pas… Suce-moi encore… Tu l’aimes sa queue…
-?Baise-moi, lui dit-elle alors, sa voix résonnant de ces mots que Mauricio aime tant entendre.
-?T’en mourrais d’envie, hein?
-?Tu sais bien que oui.
- Enfonce-toi, encore plus profondement en moi. J´ai envie de t´avoir entier en moi. ?Mmmh… moi aussi… répond-elle entre deux coups de langue sur son membre.
- ?Voilà, regarde ton homme pendant que je te baise, d’accord?
Le mari ne devait jamais oublier cette image: Mariza, face à lui, ses yeux emplis de plaisir, plantés dans les miens, tandis que son amant la possédait violemment en levrette. Ils se concentraient sur le plaisir de l´autre, le couple se mit à gemir ensemble, lourdement, il n´était plus possible dissocier la voix de l´un qui se confondait dans une gemissement, elle emit un long cri de plaisir, au de l´autre, une goutte de sueur coula sur sa joue Le black jouissait alors de longues giclées qu’elle recevait sur ses lèvres amoureusement ouvertes. L’homme est de couleur, il a un sexe énorme qui l’ouvre le ventre et lui fait jouir à en perdre connaissance.
-?Elle est bonne à baiser ta femme, un vrai régal!
-?Tu es toute mouillée! Et il baise bien? il t’a bien fourrée? T’as pris ton pied, j’espère. Il t’a fait du bien, j’espère?
- Il vient de me donner um orgasme vaginal c´est la première fois que j´en ai un. ?Ne sois pas scabreux, tu sais que je t’aime, mon amour. - Tu as l’air d’avoir aussi apprécié que moi, dis-moi…
- ?Oui… J’ai aimé…
- Comment es-tu belle, hein?Il me faut une belle come toi.
- Si mon mari laisser j ele veux comme mon amant. Tu as la meilleure bite, tu es um black de chance.
- Je vais te faire vivre des trucs que tu vas adorer… Il me tendit alors un bout de papier. C’est son numéro. Il t’appartient avec ou sans moi. Je t’aime. Il est déjà son amant.
- ?Et ça te dérange pas?
-?Non, je sais que t’es à moi, comme je suis à toi. Alors ça va.
Marize a eu la meilleure idée de demander d´avoir un amant black. Ces jets chauds qui tapissent son vagin les rendent dingue. Il s´agnouille et commence sucer le sperme du black avec plaisir. Il nettoye tout et suce aussi la grosse bite du baiseur. Ils savaient qu´ils venaient donc de vivre érotisme, sexualité et pornographie comme on ne le vit qu’une seule fois dans une vie. Il admets qu´il avait certains penchants candaulistes et qu´ il l’excitais très souvent en imaginant sa belle avoir une relation très sexuelle, torride et passionnée avec un jeune amant black vigoureux.
Ses réactions semblaient être un mélange d’étonnement, de curiosité sur cet étrange fantasme à ses yeux.
-?Si jamais tu as une envie, une occasion, je t’en prie, ne te frustre pas… fais ce dont tu as envie, tu sais que la seule chose que je veux, c’est le savoir, le vivre, avec toi…
- Ta femme et belle, osée, intelligente, sensuelle, sexy mais rigide et possessive. ?Madame, vous ne pouvez demeurer souillée: votre petit cocu va nous nettoyer tout ça.
-?Lèche tout ce qui est devant toi, allez continue, arrête pas.
-?T’as une bonne bouche de suceuse. ?Madame, votre lopette de mari va vous ramener chez vous, mais je demeure à votre disposition…
Marize pouvait le constater maintenant. Son époux passait sa langue le long de son sexe, et sur ses bourses du black. Il la plaquait de plus en plus proche, en poussant de légers râles, jusqu’à ce qu’il la prenne en bouche. D’abord le gland, jouant avec, le faisant aller et venir sur sa langue. C’était le début.
Mariza est là, debout à côté de la voiture, lui tendant son sac à dos. Elle n’arrive toujours pas à comprendre comment il a réussi à séduire une femme comme elle. La belle. Un mètre soixante-quinze, cinquante-cinq kilos. La beauté italienne par excellence, le charme à l’état pur, la grande nana au teint hâlé. Ses longs cheveux blonds caressent sa cambrure de déesse et sa taille de guêpe. Et ces jambes, mon Dieu, ces jambes! Interminables, fines et sexy au teint caramel. Elle lui regarde avec cet air coquin qui ne la quitte jamais, ses grands yeux verts pétillent de malice. Elle a choisi une robe courte, légère, blanche, laissant apparaître la moitié de ses cuisses bronzées. Elle a mis des talons «?espadrilles?» qui lui font quasiment dépasser le mètre quatre-vingt et qui galbent ses mollets d’une manière presque indécente. Elle est sublime, elle sourit, elle sent bon. Comment ai-elle fait? Il l’aime. Il espère qu’elle aussi. Cette tenue est très légère, très agréable à porter.
- Mon grand plaisir, c’est de voir ma femme prendre du plaisir.
- Tu es vraiment un gros cochon. Tu ne pouvais pas me laisser dormir? Maintenant que tu as commencé, baise-moi. Et bien, sinon je te pourris.?Oui, et tu n’as encore rien vu!
- Je vais finir par m’en inspirer. ?J’ai déjà essayé. C’est assez jouissif.
- ?Je veux que tu saches que je n’ai pas hésité à me donner à un mec bien viril et que c’était bon.?Comme c’était bon de me comporter ainsi devant toi, mais c’est toi que j’attends!
- ?Petite garce…
? - J’étais en manque, il m’a draguée, j’ai dit oui sans hésiter, et puis tu es excité, je le sens.?Ma chatte ouverte, trempée, sa mouille blanche partout, et sa bite qui avait rentré et sortiit qui me remplit.
Finalement, ses cornes s’avéraient bien plus supportables qu´il ne le craignait. Le soir même, elle use de tous ses charmes pour convaincre Mauricio son mari, ce qui n’est pas vraiment difficile. Au début, leur vie ne change guère, si ce n’est que Mariza s’habille de plus en plus sexy, se maquille davantage et rentre de plus en plus tard. ouvre la perspective de nouvelles fantaisies sexuelles, il ne va pas s’en plaindre. Il n’est pas vraiment jaloux, et même plutôt fier de voir sa femme susciter le désir des hommes. Lors des soirées, elle sait d’ailleurs parfaitement jouer de ses charmes, par des décolletés plongeants sur sa poitrine nue ou en écartant négligemment les jambes pour dévoiler le haut de ses bas. Cela lui vaut d’ailleurs d’être toujours très entourée en fin de soirée, quand l’alcool désinhibe, attise les désirs et rend plus tactile. Mauricio comprend la métamorphose de son épouse et s’en réjouit, mais il ne veut pas rentrer dans les détails avec elle pour ne pas la perturber. L’aventure ne fait que commencer… Après plusieurs semaines de séparation géographique, sinon conjugale, une idée bizarre d´être enculé par l´amant de son épouse avait germé dans le cerveau de Mauricio.
- J’ai toujours eu envie de ça. Personne ne doit le savoir.
- ?Si je m’attendais à ça aujourd’hui…
- ?C’était incroyable…
- ?Je pourrais faire ça toute la nuit.
- ?Moi aussi. Tu me connais bien mal, dans des moments pareils, je me transforme en la pire des chiennes.
- ?C’est vrai, et j’apprécie.
-?Je vois avec plaisir que je ne vous laisse plus indifférents.
-?Mariza, tu es une magicienne! dit il.
- ?Peut-être, mais j’apprécie que les instruments de mon plaisir soient en parfait état de marche.
-?J’aimerais tant que l’on soit plus intime.
- ?Ma petite Colombine, comme tu es belle! Tu es doublement le fruit de l’amour. Tout compte fait, un peu de candaulisme me plairait bien.
- ?Ainsi, tu m’obliges à prendre un amant que je ne connais même pas.
-?Pourquoi pas? - Mariza, tu es insatiable! C’est bon… Continue!
- ?Ça y est, le moment de vérité est arrivé.
- Tu ne veux vraiment pas essayer?
- ?Tu es sûr?
- ?Oui, ça m’exciterait beaucoup!
Alors elle prend le porrtable et allait passer un coup de fil à son amant black. C´est comme ça que Mariza a rencontré Jeff.
- Salut chérie.Salut bébé.
- Tu penses à moi?
- Toujours. L´amour est une vrai drogue.
- On se voit ce soir?
- Oui, je serai peut-être en avance. Tu es une jolie poupée.
- C´est vrai? D´accord à bientôt alors, mon coquin de lapin.
- Je crois que c´était plutôt reciproque à ce moment.
La blonde décidait d’aller jusqu’au bout de cette folie sexuelle. Il s’inspirait d’une scène d’un vieux film de Pasolini, le Décaméron, qui lui avait beaucoup plu. Elle vient de vivre un instant sexuel des plus intenses… Elle est encore toute excitée rien que d’y penser. Après cette longue séance où tous les trois ils étaient laissé aller à la réalisation de ses pulsions et désirs les plus fous, Mariza semblait sur un nuage, tout alanguie, les yeux fermés, sourire aux lèvres. Elle était sublime. Une robe de soirée noire en tissu léger, ouverte sur la poitrine, mais fermée au cou, laissant apparaître le bord de ses seins, montrait à tout le monde qu’elle ne portait rien en dessous. Ses hanches étaient gracieusement moulées par la robe, laissant apparaître une jambe un peu plus que l’autre, simplifiant les mouvements. Sa chevelure blonde tombait sur ses épaules, renforçant le rouge de ses lèvres justement maquillées. Il ne pouvait pas lui résister quand il la voyait comme ça.
Et, tranquillement, elle se mit à ouvrir son pantalon, puis y glissa une main pour venir caresser son sexe. Son amant black est un amant fabuleux et il lui connaît par cœur,elle a avec lui trois à quatre orgasmes par rapport, et depuis quelques mois, ils faisent l’amour quasi tous les jours. Il lui fait parfois tomber dans les pommes ou même juter comme une fontaine.
Pendant que Marize fait couler le bain, elle va dans leur chambre, elle ouvre la penderie et choisis une robe beige très simple, très chic, longueur mi cuisses, avec un décolleté qui peut être très sage si on laisse tous les boutons fermés, et qui peut être ravageur si l’on ouvre les susdits boutons, la blonde trouve les escarpins beiges assortis. Elle ouvre ensuite le tiroir à lingerie. C’est toujours merveilleux d’ouvrir ce tiroir, toutes ces dentelles, ce tulle léger, ces froufrous vaporeux, ces agrafes, les bas de différentes nuances, et par-dessus tout, ce nuage léger de parfums, l’odeur d’épouse, c’est un avant-goût de paradis, c’est un ensemble de souvenirs merveilleux, c’est un concentré de plaisirs visuels et olfactifs. Marize finit par choisir un porte-jarretelles crème en soie et dentelles avec le soutien-gorge assorti et des bas fumés. Elle dépose l’ensemble sur le lit, quitte la chambre.
Mariza savait pertinemment qu’en l’invitant à ce dîner d’été à la maison, il pouvait se passer des choses! Mais n’était-ce pas ce qui luii faisait fantasmer après tout? Elle avait sorti sa robe légère qui me plaît tant, celle qui se boutonne ou se déboutonne complètement par-devant. Elle a mis son soutien-gorge en dentelle blanche transparente qui tout en maintenant ses seins lourds, les laisse apparaître sous le délicat tissu. Et pour le bas, un classique string assorti au haut. Il entend le cliquetis de ses talons aiguilles venir à lui. En la voyant se présenter à lui dans sa tenue du soir, il s’exclame aussitôt:
- ?Waouh, pour être sexy, c’est sexy! Afonso va se régaler! Et tu crois que tu seras sage comme une image?
- ?Euh… Je ne sais pas…
-?Tu te sens prête?
- Un peu nerveuse, mais prête, mon amour…
-?Vous êtes belle, Marize. Sexy même, dans cette robe.
Marize avait invité son amant black, toujours célibataire, à venir manger à la maison. 18 h 30: Afonso arrive comme convenu avec un bouquet de fleurs. La discussion s’instaure, elle lui fait visiter la maison. Au moment où il franchit le seuil, à la vue de la tenue sexy de Marize, il est plutôt surpris, mais visiblement ravi.
-?Humm… C’est pour moi tout ça?
- Je suis ravie que ça te plaise, par contre.
-?Tu as aimé qu’il joue avec tes nichons?
-?Oh que oui, mais ça ne faisait que commencer. ?Baise-moi dans la bouche, s’il te plaît.
- Il faut dire que j’adore une chose: c’est sucer les bites, dit le mari.
-?Sucer n’est pas tromper, dit Marize.
- Je crois qu’une petite pipe ne serait pas de refus.?Je vais t’honorer comme tu le mérites.
-?Viens, on va sur le lit, tu seras mieux. Oh oui ! Suce-le !!! Vas-y !!!
Mauricio étais excité comme tout, et il se mis à sucer Afonso du mieux qu´il pouvait. Puis elle prit une noisette de vaseline et en mit sur l’anus de Thierry qui se laissait faire. Puis doucement, elle prit mon sexe en main et l’approcha du cul de Thierry. Il se posait sur lui et, doucement, il poussait. Ce fut un peu difficile au début, car son mari était un peu contracté, mais doucement, le premier obstacle franchi, la grosse bite rentrait entièrement dans son époux. L´époux restait un peu sans bouger, pour qu’il s’habitue, et ce fut lui qui donna le signal en se mettant tout seul à remuer. Alors j’entamai des va-et-vient, doucement au début, puis plus fort. Sa main descendit vers son sexe et elle eut deux surprises: d’abord, son mari bandait toujours; deuxièmement, il sentit son épouse qui le suçait à son tour. Quand ses lèvres entraient en contact avec sa main, elle en profitait pour lui faire des petits bisous. À un moment, elle lui dit d’arrêter de branler Mauricio et elle arrêta de le sucer, car elle avait une autre idée. Pendant ce temps-là, son plaisir montait, montait, et lui aussi, dans un grand râle, Afonso se mit à jouir longuement dans son époux. Il se mit à jouir dans son cul et Afonso partit lui-même dans une grande jouissance. On resta quelque temps comme cela sans bouger, puis doucement il se retirait de son mari.
- Mon amour, pas oublie notre coktail demain, d´accord? Je veux que tu sois la Femme parfaite.
- Mon chou je suis la meilleure. Ciau mon amour.
- On ne peut plus vivre sans l´autre.
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