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BONJOUIR
Le lendemain,j'ouvre les yeux,Antoine est assis sur le bord du lit,il me sourit et m'embrasse:
"Bonjour ma chérie,ça va?"
J'émerge,la soirée me revient,je lui tends les bras:
"J'ai très bien dormi"
Instinctivement,comme à tous mes réveils,je me touche la chatte,mes poils sont raidis par le sperme,je sens également des traces sur mon périnée,ma chatte endormie a dû en laisser partir entre mes cuisses.
Je me tourne vers Antoine,l'air sévère:
"Toi,tu as abusé de moi cette nuit,je pourrais porter plainte"
"Excusez moi madame,mais vous aviez les cuisses ouvertes,je n'ai ps pu résister..."
Il vient dans mes bras,on s'enlace,on s'embrasse,je me lève,je me sens sale,le foutre envahit mon entrejambe,j'en ai même dans la raie du cul:
"Tu es venu combien de fois?"
"Au moins deux"
Je me rappelle vaguement avoir reçu un corps étranger pendant mon sommeil,mais quand je dors,je dors..
Je bois mon thé,Antoine me propose de me laver chez lui,je préfère chez moi,j'ai tout sous la main,démaquillage,maquillage et tout le nécessaire pour redevenir une belle salope présentable,prête à se faire sauter....Antoine,lui est prêt,c'est un lève tôt,la vieille école.Il est est environ huit heures,c'est dimanche,le ciel est bleu,
le fond de l'air est frais,tout ce que j'aime...
On remonte chez moi,je vais à la chambre,Agnès dort entre ses deux amants,ça a du être chaud cette nuit pour que mon chéri dorme aussi profondément à cette heure là...
Je renonce à me laver,la salle de bains est contiguë à la chambre,et je risquerais de réveiller ce trio endormi,tant pis,ça attendra un moment.Antoine me suggère d'aller chercher des croissants:
"Bonne idée,on passera voir Gérad aux journaux,il y a longtemps qu'il n'a pas vu et touché mon trou du cul,cet obsédé de la sodomie.
Je vais ans notre chambre d'amis,j'ai une réserve de fringues dans mon placard.
Je mets des Dim up,ni culotte ni soutien gorge,je trouve une mini robe pull bleue,bien décolletée avec des volants,un élastique qui serre ma taille,elle est droite,moulante aux hanches,je crois ne l'avoir jamais portée,elle vient de la mère de Tristan.
J'enfile des bottines noires,à talons hauts,et nous partons comme deux amoureux.Antoine est fier d'être avec moi dans la rue,il me tient par la taille,je touche discrètement sa braguette,il bande...
On arrive chez Gérard,en nous voyant,un large sourire illumine son visage,il me serre contre luiet m'embrasse,sa main passe sous ma jupe:
"Tu as encore oublié de mettre une culotte por venir me voir,quelle distraite tu fais!!"
"C'est pour mieux satisfaire mon enculeur préféré"
"Salope!!!!"
Il va chercher un écriteau indiquant aux clients qu'il sera absent un moment plus ou moins long,il l'accroche à la poignée.
On sera tranquille un bon quart d'heure,la manière dont il me regarde
me dit que ça n'ira guère au delà.
Il nous emmène dans son arrière boutique,il passe derrière moi et me "force" à m'appuyer contre la table,il relève ma robe,j'écarte les jambes machinalement,en salope rompue à cet exercice,je suis prête à recevoir les hommages de sodomaniaque.
Il sort son engin qu'il amène à l'entrée de l'orifice tant désiré,il s'enfonce sans peine,puis me lime doucement en me tenant par la taille:
"Salope,je pense souvent à ton beau cul,tu m'excites trop,je me branle souvent en pensant à ton petit anneau et à celui de ta soeur aussi salope que toi.
De savoir que des hommes se branlent en pensant à moi,mon cul,mes seins ou autre partie de mon corps me rend folle de désir,je les imagine en train de s'astiquer le membre revoyant ma petite culotte
juste entrevue dans un mouvement de mes cuisses dans le métro,toutes ces éjaculations sur ma seule personne en rêve,je mouille comme une folle.J'aime être désirée et matée.
Je suis en travers de la table,Antoine approche sa bite,je le pompe,il caresse mes cheveux:
"C'est bon ma belle,suce moi bien,tu l'aimes ma queue hein?"
C'est vrai que je l'aime son beau chibre toujurs en érection,il me fait tremper la culotte parfois juste en croisant Antoine dans la rue ou dans l'immeuble.
Gérard s'excite tout seul dans mon cul,il me baise bien,je pense à Laurent,mon beau rugbyman,comme à chaque fois que je "passe à table",
il fut le premier à me prendre ainsi et j'en garde un souvenir ému.
Je sens Gérard se crisper,il ne bouge plus,la queue figée au fon de moi,il vide ses couilles en râlant que c'est bon de jouir dans un trou du cul de salope.
Je continue de sucer Antoine pendant que mon enculeur essuie ses dernières gouttes sur mes fesseset dans ma raie,me voila propre,un peu plus ou un peu moins....
Avant de rouvrir,Gérard me demande des nouvelles d ma soeur Brigitte,il a un faible pour elle..
"Ca va,tu vas peutêtre la voir plus souvent,elle va déménager bientôt,prépare toi,ça va être la fête à ta bite.."
On le quitte,on passe devant la boucherie d'Amar,je colle mon nez à la vitrine,il y a du monde,il me voit,je soulève ma robe et lui montre mon minou poilu,je sais que ça l'excite,il continue néanmoins à servir ses clients,je passe un doigt dans ma fente,Antoine dans mon dos caresse mes gros seins libres sous ma robe,je mouille comme une dingue,des gens arrivent,on range tout...
Arrivée à la boulangerie,le patron rêve de me sauter,la patronne de me trucider,elle est tellement jalouse,il faut dire que je fais tout pour l'allumer le pauvre quand il est là,j'ouvre mon corsage,je fais tomber quelque chose par terre et le ramasse en écartant les cuisses
pour lui montrer ma culotte ou ma chatte,il est fou quand il me voit,je me le taperais volontiers,mais son dragon est toujours là,je préviens Antoine:
"Quand on sera à l'intérieur,touche moi de partout pour exciter son mari et pour la faire chier cette salope"
On entre,elle est seule,dommage,il y a un peu de monde,Antoine me pelote le cul en passant la main sous ma robe,elle rougit pour nous,elle doit avoir un problème avec le sexe,on achète du pain et des viennoiseries,tout ses produits sont de grande qualité,c'est pour cela que j'y vais aussi...
Dans la rue,je sens Antoine chaud comme la braise,il me touchele cul,à un feu,il passe derrière moi et frotte sa queue contre mes fesses en caressant mes seins,je suis trempée...Un peu plus loin,il m'embrasse,je sens ma chatte s'ouvrir,mes lèvres se gonfler de désir,je caresse sa queue et sors sa bite,l'endroit est peu fréquenté à cette heure là un dimanche,il y a un recoin contre une palissadequi camoufle un futur chantier où je ferais plus d'un heureux un peu plus tard...
En attendant,je me place à sa droite,et le branle d'abord lentement,
puis à sa demande de plus en plus vite,j'aime qu'un homme m'indique la cadence à suivre lors d'une pipe ou d'une branlette,on ne sait pas toujours ce que vous préférez messieurs,n'hésitez pas à nous guider,ça n'en sera que meilleur pour vous...
Je suis en folie,sa bite est dure,j'aime branler un mec en public,lui
aussi apprécie et jouit en longues saccades contre les planches,j'en prends un peu sur les doigts,je me les pourlèche,j'ai la chatte et le cul en feu...Antoine se réajuste,et on rentre chez moi.
Tout le monde dort encore,on se fait un petit déjeuner en amoureux,Antoine apprécie ce tête à tête,il nage en plein bonheur:
"Tu reviendras dormir chez moi?"
"Bien sur,c'était bien,à part un vilain satyre qui a abusé de moi pendant la nuit à deux reprises"
"Pardon madame,mais le satyre est venu trois fois....."
A BIENTOT CHANTAL LA PUTE CARESSES A TOUS
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Ecrit par CHANTALOUETTE
Parue le 08 février 2012
