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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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Je m’appelle Nadège et j’ai actuellement 68 ans. Je mesure 1,70 mètre pour 67 kilos et j’ai une belle poitrine (bonnet C). Je suis très bien conservée, aidée en cela par une pratique régulière mais sans excès du sport (salle de fitness, pour le vélo et la marche et la course sur le tapis) et la pratiques du tennis avec des amis de ma tranche d’âge.
En juillet 2006, une petite vague de canicule a embelli nos jours durant une quinzaine de jours et ces quelques jours de chaleur ont donné a ma vie un tour nouveau.
A cette époque j’étais veuve depuis quelques années, mon mari étant décédé lors d’un arrêt cardiaque foudroyant.
Mon travail de cadre dans une importante société belge m’avait contrainte, par la force des choses, à affronter l’avenir avec courage et à réagir le mieux possible à ce vide que mon défunt mari laissait derrière lui, aidée aussi par l’affection de mes enfants, mes frères et sœurs et aussi mes belles-sœurs et beaux-frères avec lesquels j’entretiens toujours de formidables relations.
Bien sûr, la solitude me pesait, bien des fois, surtout le soir quand je me retrouvais seule dans ma maison, et évidemment seule dans mon lit. Avec Charles mon mari, nous avions une très grosse activité sexuelle. Il aimait le sexe, moi aussi et nous faisions énormément l’amour, toujours à deux, sans jamais avoir tenté un trio, ou une séance avec un autre couple. Nous en avions parlé, l’idée nous trottait dans la tête et il y a fort à parier que nous aurions tenté l’expérience. Ou pas. Son décès n’a pas permis d’en avoir la réponse. Nos pratiques englobaient tout ce qu’un couple peut faire et espérer : fellation, cunnilingus, feuilles de rose mutuelles, sodomie (lui sur moi, moi sur lui) sex-toys, lingerie érotique. La seule audace que l’on pratiquait, c’était de faire de l’exhibitionnisme en faisant l’amour dans les dunes, en Belgique ou ailleurs où des voyeurs ne manquaient pas de s’attarder pour nous regarder et se branler devant nous.
Ma chambre à coucher se trouve à l’arrière de ma maison. Elle donne sur une cour et au bout de la cour, il y a un bâtiment avec plusieurs pièces qui était autrefois un atelier. Je l’ai aménagé en bureau privé. De là, on peut aller dans le jardin. La fenêtre de ma chambre donne aussi sur la cour de mes voisins.
Un jour, il était environ 14 heures, je passe dans ma chambre et je jette un regard distrait dans la cour. Oh ! surprise… Mon jeune voisin est en train de bronzer en maillot.
Il a 21 ans et est joli garçon. Assez grand et bien bâti, il fait des études de droit. Très bien éduqué, li me salue toujours avec un grand sourire et parfois échange quelques mots avec moi.
Je fais un peu de bruit dans ma chambre, histoire de lui faire savoir que je suis là, puis, l’air de rien, je vais pulvériser un spray et je nettoie la fenêtre. Je fais comme si je ne savais pas qu’il était là. Je tourne ensuite la tête et je fais l’étonnée.
- Oh ! Thibaut, je ne t’avais pas vu. Bonjour.
- Bonjou madame.
- Je vois que tu profites du soleil pour bronzer un peu. Cela fait du bien d’être au soleil, c’est bon pour le moral.
- Oui, je profite de ces températures exceptionnelles.
- C’est vrai qu’il fait très chaud, on ne sait comment s’habiller.
- Tellement chaud que même un maillot c’est encore trop, me dit-il.
Je ne sais pas ce qui me prend mais je réponds immédiatement :
- Tu sais… Pour moi tu peux enlever ton maillot… Je n’y vois aucun inconvénient, et je ne vais certes pas le dire à ta mère.
Il me regarde, bouche bée et rougit.
Je le laisse mariner un moment et je quitte la fenêtre tout en faisant du bruit pour qu’il comprenne que je suis toujours là.
Je retourne à la fenêtre, il est toujours là, avec son maillot. Je le regarde en souriant, il me regarde, pas trop à l’aise. Je pense qu’il se demande ce qu’il doit faire, enlever ou non son maillot.
- Vrai que vous ne direz rien à ma mère ?
- Et pourquoi devrais-je lui dire quoi que ce soit. Tu es chez toi, tu fais ce que tu veux.
- A vrai dire, j’avais envie d’être nu mais je pensais que vous me verriez et je ne voulais pas être indélicat et risquer de vous choquer.
- Je ne serais pas choquée pour si peu, à mon âge j’ai déjà vu des hommes nus.
Il me regarde… et descend son maillot…
Le voilà nu comme un ver, il a une très belle queue, ni trop longue, ni trop courte, je dirais 16 centimètres. Il est épilé intégralement. J’adore ce spectacle.
- Waouuuu. Vraiment pas mal… La vieille mature que je suis apprécie grandement ce qu’elle voit. Tu as un très beau sexe. Et je dois t’avouer que j’adore voir un sexe masculin intégralement épilé.
Je fixe sa queue et je me rends compte que je suis en train de passer ma langue sur mes lèvres.
Je ne rêve pas, sa queue est en train de gonfler. Elle se dresse lentement mais inexorablement. La voilà toute dressée et prête à l’emploi.
- Magnifique, Thibaut… Tu es très beau et bien bâti. Tu veux me faire plaisir ?
- Euhhh…
- Sors le gland…
Il tire la peau et fait apparaître le gland rose-rouge de son sexe.
- Oh oui !!!! C’est comme cela que les queues sont les plus belles. Merci pour ce spectacle excitant. Elle a de la chance ta copine de pouvoir la prendre en bouche.
- Il rougit de plus belle. Je n’ai pas de copine dit-il tout penaud.
- Non ? Personne pour déguster une si belle queue appétissante ? Comme c’est dommage. J’aurais volontiers continué à te regarder bander mais je dois partir. J’espère revoir ce beau sexe un autre jour. Bonne fin de journée Thibaut.
Le soir, je me masturbe furieusement en pensant à cette bite désirable qui m’a mis le feu au cul.
J’ai hâte d’être le lendemain, histoire de voir si Thibaut sera là.
Le lendemain après-midi, Thibaut est là… en maillot. Il lit un roman.
- Bonjour Thibaut.
- Bonjour madame.
Il dépose son livre, et directement, sans que le lui demande, il enlève son maillot. Je suis vêtue d’une robe légère. Je l’enlève et me retrouve avec soutien et un string blancs transparents.
La queue de Thibaut se dresse rapidement.
- Tu apprécies le spectacle ?
- Vous êtes vraiment belle et désirable.
- Vraiment ? à mon âge ?
- Oh oui, je le pense vraiment.
- Désirable… tu veux dire « bandante » ?
- Oui, bandante. La preuve me dit-il en me montrant son sexe.
Il décalotte son membre et le gland turgescent apparaît.
Je défais mon soutien pour laisser respirer mes seins assez fournis et je descends mon string. Je suis nue devant cet homme jeune et viril. J’écarte les jambes et je me caresse la chatte. J’écarte mes lèvres pour qu’il voie mon sexe. Je me triture le bouton, je gémis et je me tortille de plaisir, en le regardant droit dans les yeux. Il se caresse le sexe. Je m’enfonce des doigts dans la fente et je me pénètre. Il se branle. Je jouis devant lui, il gicle alors copieusement.
- Vous êtes vraiment belle et super excitante, me dit mon gentil voisin.
- Aimerais-tu que je prenne ta belle queue dans ma bouche ?
- J’aimerais tellement cela, répond-il.
Voilà ce qu’on va faire. Je vais monter dans le jardin, tu montes toi aussi dans ton jardin et puis tu passes le petit mur qui sépare nos jardins et tu me rejoins. Cela te convient ?
Il remet son pantalon et fais ce que je lui ai dit.
Il franchit le mur et se retrouve au sommet de l’escalier qui mène à mon jardin.
Je suis en bas et il me rejoint. On se retrouve dans la partie de la maison qui se trouve entre la cour et le jardin, dans mon bureau. Dans une des pièces j’ai mis un lit et on se couche dessus.
Il enlève son pantalon et je prends son sexe tout dur dans mes mains. Je le regarde, je tire la peau pour le décalotter et laisser apparaître son beau gland rouge et tout lisse. Je me penche et je donne de tendres bisous à son membre dur. Il pousse de petits gémissements de plaisir. Je passe ma langue sur sa tige, sur les côtés, sur le dessus, en-dessous, je descends jusqu’à ses couilles que je gobe délicatement. Il est couché sur le dos et se laisse faire. Je descends jusqu’à son anus et je passe ma langue dessus. Il serre les fesses.
- Tu es gêné ?
- Oui.
- Il n’y a aucune raison. Lasse-toi faire et savoure, c’est délicieux.
Je lui fais donc une feuille de rose et très rapidement, je le sens se détendre, il se relâche et j’écarte ses fesses pour bouffer sa rondelle de plus en plus tendre. Je donne des petits coups avec ma langue que je pousse dans son cul. J’adore faire cela.
Il se met en levrette, je le lèche et je titille sa rondelle avec mon index. Je pousse mon doigt dedans. Je le tourne et le vrille dans son cul. Je le sors et je rentre. Mon petit voisin est aux anges et gémit de plaisir. Je lui montre tout le savoir d’une mature en chaleur.
Je le pousse sur le dos et je viens m’empaler la chatte sur son membre dur. C’est la première fois depuis des années qu’une bite visite ma grotte. Je me rends compte à quel point cela m’a manqué. Je suis déchaînée et je monte et descends furieusement sur lui.
Je prends son membre en bouche puis je me remets en levrette.
- Prends-moi comme une chienne. Bourre-moi la chatte, elle est en feu, et quand tu en as envie tu décharge ton foutre dans mon con.
Thibaut s’active furieusement dans ma fente. Je sens son membre dur et chaud. C’est délicieux. Il s’active et je crie de plaisir.
- Bourre ta salope de voisine, elle a trop besoin de sexe. Je suis en manque, vas-y, défonce-moi, bourre-moi sans ménagement.
Thibaut redouble la cadence et finalement il n’en peux plus et décharge sa semence dans mon intimité. De longues saccades de foutre chaud viennent me faire du bien.
Il sors de ma chatte et regarde le foutre qui coule. Je me mets sur le dos et je prends du foutre dans ma main, je me lèche les doigts. Il me regarde. Sa queue est restée dure, je la prends en bouche et je la nettoie avec ma langue.
Je vois que tu bandes dure, on recommence immédiatement mais cette fois-ci tu vas m’enculer.
- Tu as déjà enculé une femme ?
- Non, jamais.
- Alors je vais être ta première fois. Mon cul sera le premier que tu vas visiter.
N’aie pas peur, je raffole.
Je le couche sur le dos et je me mets face à lui, je descends sur sa queue qui rentre dans mon cul et se retrouve entièrement en moi.
- Regarde, ta queue est complètement enfoncée dans mon cul. C’est trop bon, tu n’imagines pas à quel point.
Je monte et descends lentement pour bien sentir sa tige entrer et sortir. Puis je me mets sur le côté et il vient me reprendre le fion. Vas-y, n’hésite pas à y aller franchement.
Après plusieurs minutes, je me mets en levrette et il vient par-derrière pour m’enculer.
- Rentre ta queue puis sors-la complètement et remets-la dedans d’un coup sec.
Thibaut s’exécute, je sens sa queue puis un vide et d’un coup sec il vient la remettre. Son pubis cogne contre mes fesses. Je soupire et gémis de plaisir.
- Vas-y, maintenant, Bourre-moi le cul longtemps et jute dedans quand tu pourras.
Il me défonce le cul pendant une dizaine de minute, sans s’arrêter, en variant la cadence, je sens des salves de mouille qui humidifient mon cul. C’est follement bon.
- Vous êtes trempée, me dit-il.
- Oui, je sais, je le sens bien. Vas-y.
Il sent l’orgasme arriver et accélère la cadence, mon cul est en feu, je crie de plaisir. Je sens sa respiration qui s’accélère et il gémit de plus en plus. Soudain, il râle et c’est l’explosion. Son foutre gicle dans mon cul. Je suis épuisée, lui aussi.
On se repose, l’un contre l’autre, sans rien dire. Chacun reprends ses esprits et son souffle.
- Merci, me dit-il subitement. Merci pour ce moment merveilleux, merci pour m’avoir initié à de tels plaisirs.
- Tu as aimé, mon grand ?
- Oh oui, j’ai adoré, vraiment.
- Moi aussi Thibaut, j’ai adoré. Tu avais déjà fait l’amour j’espère.
- Oui, quelques fois avec une copine que j’ai eue, mais ce n’était pas aussi bon et intense qu’avec vous. Et puis elle ne me léchait pas le cul et je ne l’avais pas sodomisée.
Grâce à vous j’ai découvert deux plaisirs particuliers et très intenses. J’adorerais revivre cela.
- Ne te tracasse pas, mon grand, on recommencera si tu le veux vraiment. Car moi aussi j’ai aimé faire l’amour avec un bel homme jeune comme toi et profiter d’une très belle queue dure et performante. Et du fond du cœur, merci à toi de t’être occupé d’une vieille femme.
- Ne dîtes pas que vous êtes vieille, ce n’est pas vrai.
- Tu es gentil mais par rapport à toi je suis vieille ; j’ai 55 ans, disons que je suis une femme mature encore très chaude, certes, et somme toute encore désirable puisque en me voyant ta queue se tend.
- Vous n’avez plus fait l’amour, depuis le décès de votre mari ?
- Avec un homme, jamais, mais j’ai une collègue qui est devenue une excellente amie et on fait l’amour très souvent. Cela te plairait de nous voir ensemble ?
- Oh oui.
- Et tu aimerais t’occuper de moi devant elle ?
- Bien sûr.
- Et tu aimerais lui remplir la bouche, la chatte et le cul avec ta belle queue ?
- Si vous voulez.
- Non, pas si je veux, si toi tu veux.
- Oui, je le veux.
- On te sucerait ta bite à deux, puis une te ferait une pipe pendant que l’autre de lèche le cul. Qu’en dis-tu ?
- Je n’ose l’imaginer.
- En tout cas, je vois que ta queue se redresse encore. Si tu en as envie et si tu t’en sens de taille tu peux la mettre dans le trou que tu veux.
- J’ai envie de la mettre dans votre cul.
- Excellent choix.
Il m’a donc enculée une seconde fois, pour mon plus grand plaisir.
Ensuite, je suis rentrée dans ma chambre et lui il a repassé le mur et est rentré chez lui. Je l’ai regardé redescendre l’allée de son jardin et récupérer ses affaires.
- Bonne fin de journée, mon bel amant, lui ai-je dit.
- Il a rougit et a disparu.
Je me suis douchée longuement, et j’ai laissé couler le foutre de mes orifices. J’étais en feu, j’avais encore envie de baiser. Cette séance ne m’avait pas rassasiée. J’en voulais encore.
Quand j’ai été rhabillée, j’ai téléphoné à ma collègue et amie Catherine pour lui dire que j’avais un cadeau pour elle mais qu’elle l’aurait dans quelques jours. Elle me demande mille détails mais je reste muette.
Mais il faut d’abord que je vous raconte comment je j’avais rencontré Catherine.
Deux ans après le décès de mon mari, j’avais alors 50 ans, la société qui m’employait a engagé une nouvelle collaboratrice 7 ans plus jeunes que moi. Nous étions au même étage et dans le même « open space » et son bureau s’est trouvé être celui à côté du mien. Peu à peu, les relations de collègue à collègue ont fait place à des relations plus amicales. Divorcée depuis presque deux ans (mari parti avec une plus jeune), avec deux filles, une à l’université, l’autre au lycée, elle aussi était seule et nous avons pris l’habitude de combler notre solitude en passant de temps en temps une soirée à deux, soit chez elle, soit chez moi. Le vendredi et le samedi, nous avons pris l’habitude d’aller manger une pizza, un couscous ou autre chose dans quelques restaurants à la nourriture excellente et à l’ambiance calme et agréable.
Un dernier petit verre pour terminer la soirée et chacune rentrait chez soi. Puis un soir, je lui ai proposé le dernier verre chez moi. Elle m’a rendu la pareille la semaine suivante.
Le temps passant, nos rapports avaient bien sûr évolué. L’excellence de nos relations et la confiance mutuelle que nous avions l’une dans l’autre m’avaient amenée à lui faire part, un soir au sortir d’une restaurant, de ma tristesse de ne plus avoir de relations sexuelles, si ce n’est l’utilisation quotidienne de mes sex-toys.
Elle même, me confia-t-elle ce soir là, souffrait du manque de sexe. Divers sex-toys la comblait, faute de mieux. Mais son divorce somme toute récent lui faisait mal et elle ne voulait pas entendre parler des hommes. Du moins pour le moment.
A partir de ces révélations réciproque, j’ai commencé à la regarder avec des yeux différents. Je n’avais jamais fait l’amour avec une femme mais je dois dire que l’idée s’insinuait en moi lentement. J’avais besoin de quelqu’un dans mon lit et Catherine ferait l’affaire. Brune comme moi, d’une élégance jamais tape-à-l’oeil, je dois avouer qu’elle me plaisait et la revoir chaque matin me remplissait le cœur de joie.
Un matin, malade, j’ai téléphoné au bureau pour dire que je serais absente. J’attendais le médecin et je ferais savoir quoi quant à mon retour.
A 9 heures quart, à peine quinze minutes après avoir signalé mon absence, Catherine me téléphone, inquiète de ne pas me voir. Je lui dis que je n’irai pas travailler.
- Oh !... Dommage, me dit-elle
- Oui, dommage.
- Tu seras absente longtemps ?
- Je n’en sais rien, j’attends le médecin.
- Bon… Et bien… soigne-toi bien.
- Oui
- Nadège… Tu me fais savoir ?
- Bien sûr.
- Promis ?
- Oui. Allez, bonne journée.
- Elle ne sera pas bonne, me dit-elle, et elle raccroche.
Ces dernières paroles me laissent pas mal à penser. Qu’a-t-elle voulu dire ? Serait-ce que je lui manque ?
C’est certain qu’elle me manque et que je préférerais être au travail plutôt qu’être seule dans ma maison.
Le médecin passe et me donne trois jours mais je sais que le lendemain je serai au travail. J’ai trop envie de la voir, de la voir sourire, d’entendre son rire éclatant. Elle me plaît physiquement mais surtout en tant que personne. Son intelligence, sa classe naturelle, son professionnalisme en font une personne attachante et que je suis heureuse de la connaître.
A la pause de midi, Catherine me téléphone. Dès que je lui dis que j’ai un certificat médical pour trois jours, elle est triste. Je le suis aussi mais ne le lui dis pas.
On papote un peu mais je sens qu’elle n’a pas trop le moral.
- Soigne-toi bien. Je te téléphonerai après le travail.
- Oui, j’attendrai ton coup de fil avec impatience.
- C’est vrai ?
- Bien sûr.
L’après-midi commence et le temps est atrocement long. J’allume la télé mais je ne suis rien du programme, je pense à Catherine. Je prends le livre que j’ai commencé. Après dix minutes, je m’aperçois que j’ai lu plusieurs pages dont je ne sais rien tant Catherine occupe mon esprit.
Le docteur m’a donné trois jours pour me reposer mais je n’ai nulle envie de me reposer, j’ai envie de voir Catherine, de l’entendre, de la voir bouger. Elle me manque, j’ai besoin d’elle. Pire, j’ai follement envie d’elle. Je rougis à cette pensée qui ne me ressemble pas. Je n’ai jamais vraiment fantasmé sur le sexe avec une femme. Certes, j’ai déjà regardé du porno où des femmes se câlinent mais sans jamais que cela déclenche une envie irrépressible d’être à leurs places. Je ne sais pas pourquoi. Pourtant, adolescente, j’ai fait l’amour avec plusieurs copines et c’était bien agréable, j’en ai toujours gardé un excellent souvenir.
Mais en ce mardi après-midi, j’ai envie que Catherine soit chez moi, dans mon lit, pour faire mille choses excitantes et vicieuses.
Je décide de m’occuper en faisant quelques rangements de papiers et un tri dans mes vêtements. Je nettoie la chambre d’ami et puis je me repose dans mon divan.
Je suis couchée et tout en pensant à Catherine, je passe a main droite sur mon entre-jambes, sur mon jeans.
Ma main passe et repasse sur ma moule prisonnière de mes vêtements.
Je me calme mais j’allume ma télé connectée et je commence à chercher les sites pornos de lesbiennes matures.
Facile à trouver, évidemment et je commence à regarder ces femmes qui font l’amour entre elles. C’est follement excitant.
Je défaits les boutons de mon jeans et je glisse ma main sur mon string et je me tripote le sexe et le clito, toujours protégé par une mince couche de tissu.
Vous avez deviné que je suis de plus en plus excitée et je finis par aller sous ma culotte pour me triturer vraiment le clito et je glisse un doigt dans ma fente. Les femmes que je vois à la télé, j’imagine qu’il s’agit de Catherine et moi.
Rapidement je commence à mouiller, d’autant que les scénarios que j’ai en tête sont encore plus érotiques que ce que je regarde.
J’arrête la télé et soudain, en un éclair, il me vient une idée. Tellement folle que j’ai le cœur qui bat la chamade. Je me calme, je me raisonne, mais l’idée me taraude dans que j’ose la mettre en pratique.
Après réflexion, je me dis que cela vaut le coup d’essayer. La réaction de Catherine ce matin et ce midi me laissent croire que j’ai raison de ne rien craindre.
Je prends mon smartphone et j’écris un court message. Je le regarde, je l’efface. Je le réécrits, je l’efface encore une fois. Je jette le portable sur le divan. Je me traite mentalement de lâche. Mais les conséquences possibles pourraient être la fin de mon amitié récente avec Catherine et des relations de travail empoisonnées.
Pourtant, au fond de moi, je sais que je n’ai rien à craindre, que Catherine ne m’en voudra pas.
Je réécris le message et je l’envoie sans réfléchir.
Ce message est maintenant sur l’écran, sans que je puisse rien y changer. Il dit ceci :
« Je n’arrête pas de penser à toi, tu me manques. J’ai une folle envie de toi ».
Je suis consciente d’avoir fait une grosse bêtise. Je m’en mors les doigts.
Mon portable m’annonce un message. J’ai le coeur battant. Je n’ose pas lire ce message. Pourtant il le faut.
Je lis le message. Il est on ne peut plus bref : « Pareil pour moi ».
Mon coeur bat à tout rompre, je suis épuisée et heureuse. J’enlève jeans et string et je ma caresse la chatte comme une furie. Je me triture la fente et mon gros bouton dur bien sorti de son petit capuchon.
Une autre folle idée me vient.
Je prends mon portable et j’écris un nouveau message : « Je me caresse en pensant à toi ». Je l’envoie.
Trente seconde plus tard, Catherine me répond : « Prouve-le moi ».
Je prends mon smartphone et je fais un selfie de ma chatte avec mes doigts dedans. Je l’envoie.
Catherine répond immédiatement par un émoticône. Un cœur rouge.
Je suis aux anges. Je vais dans ma chambre à coucher, je prends mon gode ventouse, je le place sur le parquet et je m’empale la chatte dessus. Il ne faut pas longtemps pour que je jouisse dans un grand cri libérateur. Je mets un robe sans rien en-dessous.
Je retourne dans mon salon et trente secondes plus tard j’ai un message, plus exactement une photo. C’est Catherine dans les toilettes de la société. Elle a remonté sa jupe, sa jambe droite gainée d’un bas noir très fin repose sur la cuvette et je vois sa chatte. Je constate qu’elle est comme la mienne : épilée.
Ma réponse est simple, un cœur rouge.
Je n’arrête pas de regarder cette photo. Son air mutin, ses belles jambes et surtout ce bel abricot désirable et appétissant.
A 17 heures, on sonne. Je n’attends personne. J’ouvre… Catherine est là, essoufflée.
J’ouvre la porte, elle entre dans le corridor.
- Tu vas mieux, me demande-t-elle ?
- Puisque tu es là oui, je vais bien.
Pour toute réponse, je prends sa main droite et je la mets sous ma robe, sur mon entre-jambe.
- Tu es trempée, me dit-elle
Je la plaque contre le mur et je l’embrasse à pleine bouche. Nous échangeons un baiser fougueux et torride. Le tout premier. Ses mains parcourent mon corps.
Je prends sa main et je la conduis dans le salon, je la pousse sur le canapé, j’enlève ma robe et je m’assieds sur elle. Elle me pelote dans vergogne, lèche et suce mes seins, m’embrasse, me dit que je l’excite.
Je commence à la déshabiller, elle se retrouve nue avec seulement son porte-jarretelles et ses bas et nous nous ruons l’une sur l’autre comme des adolescentes en chaleur. Je lui écarte les jambes et je lui fais un très long cunnilingus. Elle se tortille de plaisir car je l’amène au bord de l’orgasme mais j’arrête toujours à temps, la laissant frustrée et demandeuse.
Je la fais mettre en levrette et je viens derrière elle. Je passe ma langue entre ses fesses. Elle les serre et me dit :
- Oh non, pas là, s’il te plaît, pas là.
- Pourquoi tu n’aimes pas ?
- On ne me l’a jamais fait et en plus je suis gênée.
- Laisse-moi faire et détends-toi. Moi je ne suis pas gênée, j’aime faire cela.
Je lui fais donc sa première feuille de rose, et je suis heureuse de lui faire découvrir ce plaisir merveilleusement agréable.
Elle gémit doucement sous mes coups de langue. Je la travaille longtemps, sa rosette s’ouvre de plus en plus et je donne des petits coups de langues dans son cul. Elle soupire, gémit, râle.
J’écarte ses fesses pour mieux lécher l’entre-fesse et sa petite rondelle délicieuse.
- C’est bon ?
- C’est merveilleusement délicieux. Continue s’il te plaît.
Je pousse l’index et le majeur dans sa chatte pendant que je lui lèche le cul. Puis je redescends vers sa fente et je lui fais minette avec deux doigts dans son cul. Je la sens au bord de l’explosion. Je la fais jouir. Elle se libère dans un cri puissant.
Après avoir repris ses esprits, on reste blotties l’une contre l’autres ; elle veut me faire jouir mais je refuse.
- Une autre fois, si tu veux.
- Bien sûr que je veux, je n’attends que cela.
Elle est triste car il lui faut rentrer chez elle car ses deux filles sont rentrées du lycée.
Dans le couloir, avant d’ouvrir la porte, nous échangeons un très tendre et long baiser.
La soirée se passe dans l’euphorie. J’ai fais jouir ma collègue et je sais qu’on va recommencer.
Le lendemain il n’est pas possible de se retrouver au lit, mais le vendredi soir, après avoir été manger un bout, on se retrouve chez moi.
- Aujourd’hui, à ton tour de t’occuper de moi.
Catherine me déshabille, mais je garde mon porte-jarretelles et mes bas. Elle me pelote, m’embrasse, me lèche les seins, descend sur ma chatte qu’elle lèche admirablement bien, elle ne fait pas de feuille de rose, ce que je regrette, mais je ne dis rien, chaque chose en son temps.
Elle me doigte et fait des allers-retours dans mon sexe, je suis excitée à mort et je mouille comme une folle. Soudain mon corps se cabre et je gicle un long jet de mouille. Catherine n’en revient pas. Je la regarde en souriant.
Je vais me rincer la moule et je reviens. Je la déshabille et elle se retrouve aussi en porte-jarretelles et bas. Je m’occupe de son bel abricot que je bécote, suce et lèche. On se retrouve face à face et on se colle nos chattes l’une contre l’autre. On se frotte tendrement. Nos cyprines se mêlent et nos lèvres glissent bien les une sur les autres. Nos clitoris durs et sensibles se touchent et nous font gémir. On accélère le mouvement. On se tient la main et la jambe et on se frotte de plus en plus fort. Le plaisir croît et la jouissance arrive, fulgurante. On crie comme des folles, on est à bout de souffle, on respire vite, on transpire. On se retrouve sur le dos, côte à côte.
Après avoir pris un verre, on retourne dans la chambre. On recommence une séance de sexe. J’ouvre un tiroir et je sors deux de mes sex-toys, un gode double et un gode ceinture. Je prends le gode-double, j’introduis un bout dans la chatte de Catherine et l’autre dans la mienne. On commence à faire des va-et-vient et on se retrouve avec nos sexes qui se touchent. Chacune s’agite à son rythme puis je me retire et je vais prendre un de mes godes-ceintures. Je le mets, je me couche et Catherine vient s’introduire le gode dans la chatte. Elle monte et descend sur l’engin et elle prend du plaisir à le sentir au fond d’elle. Elle se met en levrette et me demande de lui faire l’amour. Je m’exécute et je la lime avec douceur et lenteur avant d’accélérer peu à peu la cadence lorsque je l’entends soupirer et gémir de plus en plus fort. Ses petits cris deviennent de plus en plus bruyants, je la lime furieusement et elle crie sa jouissance sans pudeur. Elle est belle quand elle jouit.
Je la prends ensuite par le cul et là aussi Catherine réagit comme une femelle en rut.
Cette séance de sexe fut, vous vous en doutez la première où chacune a fait jouir l’autre, mais pas la dernière. Catherine et moi, nous faisons l’amour le plus possible, chaque fois que nous en avons l’occasion. Il faut tenir compte de ses obligations avec ses filles qui ne savent évidemment pas comment leur maman passe son temps libre.
L est 23 heures, Catherine rentre chez elle. Je reçois un message sur mon smartphone. Je vois qu’il est de ma fille Eva qui à l’époque a 27 ans. Je vais découvrir qu’elle est passée à la maison alors que j’étais au lit avec Catherine. Eva a une clé de ma maison et peut évidemment en entrer quand elle veut. Ma maison, c’est chez elle. Il y a un message écrit et une vidéo.
Le message dit ceci : « Je suis passée te voir ce soir. J’avais envie de prendre de tes nouvelles et de boire un café avec toi. Mais j’ai entendu que tu étais très occupée (suivi de quelques smiley rigolards). Je suis super contente pour toi maman chérie que tu aies retrouvé une vie sexuelle ; profites-en bien. Tu mérites d’être heureuse. »
La vidéo est en fait exclusivement sonore. Ma fille est dans le couloir du premier étage, devant la porte de ma chambre et elle a enregistré nos gémissements, nos soupirs, nos cris et nos paroles crues… Je m’entends dire « Ecarte bien ton cul, Catherine, pour que je puisse y fourrer ma langue », « Bouffe-moi la chatte ma belle salope, j’adore ça ». J’entends Catherine me dire, « Ma chérie, viens me bouffer le cul et ensuite encule ta putain en chaleur avec ton gode-ceinture » et quelques autres paroles gratinées.
Je suis atterrée que ma fille ait pu entendre ces moments de folle intimité.
Je ne fais ni une ni deux, je téléphone à ma fille. Elle décroche et je lui dis :
- Ma chérie, excuse-moi pour ce que tu as dû entendre tout à l’heure, je ne voulais pas que tu saches ce que je fais avec ma collègue Catherine. Désolée de t’avoir choquée.
Elle se met à rigoler et me dit :
- Maman chérie, je ne suis pas choquée du tout. Tu es veuve, tu es belle, tu es libre d’avoir la vie sexuelle que tu veux, avec une ou plusieurs femmes, avec un homme ou plusieurs hommes. Je suis si contente de savoir que tu as repris goût à la vie et au sexe. Cela me fait plaisir et me prouve que tu vas bien. Et si cela peut te rassurer, moi aussi je couche avec des filles. Donc tout va bien.
- Merci ma fille d’être si compréhensive avec moi, cela me soulage que tu ne sois pas fâchée contre moi.
- Il n’y a aucune raison, le sexe c’est bon à tout âge et ça maintient en forme. Je veux que tu sois heureuse, maman.
- Je t’embrasse ma chérie. A bientôt.
Je suis heureuse de ma soirée et aussi soulagée que ma fille ait découvert mon petit secret. Je n’ai plus à me cacher, je suis libre de faire l’amour avec qui je veux, elle m’encourage à le faire et je me dis que j’ai de la chance, vraiment, d’avoir une fille aussi ouverte d’esprit.
Le lendemain, le samedi, je suis si radieuse que je décide d’aller chez Catherine pour lui montrer les messages et lui dire que Eva est au courant de tout. Quand elle ouvre la porte elle est surprise mais voit mon grand sourire qui la rassure. Je lui montre le message et la vidéo. Elle me regarde, éclate de rire et me prend dans ses bras, on s’embrase fougueusement. J’ai envie de toi, dis-je à Catherine. Moi aussi, ma chérie, mais c’est impossible, mais filles sont dans leur chambre.
On boit un café et les filles qui sont curieuses, descendent pour voir qui est là. C’est la première fois que je les rencontre. Elles sont très souriantes. Il y a Aurore, 22 ans, une jolie blonde bien faite avec de beaux seins et Pauline, bientôt 18 ans, un brune avec des gros seins, plus gros que ceux de sa sœur.
- Je te présente mes chères filles Aurore et Pauline. Mes filles, voici ma collègue et amie Nadège.
On se salue, les filles restent un peu avec nous, on papote gentiment dans une bonne ambiance. Je mouille de désir en regardant Catherine. Je suis assise dans un fauteuil du salon et devant moi les filles sont dans le canapé. Quand Catherine revient de la cuisine, ses filles lui tournant le dos, elle me regarde et sors sa langue qu’elle passe sur ses lèvres. Cela m’excite à crever et j’ai du mal à ne pas aller lui rouler une pelle. Dès qu’elle peut elle me regarde et me fait des gestes obscènes qui m’enflamment encore plus. Elle va refaire du café et revient en tenant sa jupe relevée, de façon à ce que je vois son string noir et ses jambes gainées de bas. Elle joue avec le feu. Cela m’excite et me fait peur en même temps. Mais voici que les filles disent qu’elles doivent étudier et elles remontent dans leurs chambres.
Catherine vient vers moi et on s’embrasse sensuellement. Sa main passe sous ma robe et ses doigts glissent sous mon string. Elle caresse ma chatte tout trempée et elle sort ses doigts luisant de ma cyprine, elle les lèche en me regardant. Elle recommence et me pousse ses doigts dans ma bouche. Je me délecte de mon jus intime.
Le lundi, le travail reprend et je dis à Catherine de prendre une demi-journée de congé mercredi après-midi. J’ai une surprise pour elle. Elle veut savoir quoi, je refuse de dire quoi que ce soit.
On obtient sans problème ce demi-jour de congé.
Le mercredi je la fais venir chez moi. Thibaut est dans sa cours, couché dans sa chaise-longue, en maillot.
Catherine sonne, je la fais entrer et je lui dis :
- Viens voir ta surprise.
On va à la fenêtre et je lui montre Thibaut. Elle me regarde, étonnée, et murmure :
- Et alors ?
- Ne sois pas impatiente.
Je m’approche de la fenêtre :
- Bonjour Thibaut.
- Bonjour, madame, vous allez bien.
- Très merci, et toi ?
- Super bien.
- J’ai un cadeau pour toi.
- Pour moi ?
Je prends Catherine par la main et je dis à Thibaut :
- Voici ma chère amie Catherine, dont je t’ai parlé. Comment la trouves-tu ?
- Elle est magnifique…
- Tu vois, Catherine, Thibaut est un jeune homme qui a du goût.
- Tu es en forme, Thibaut ?
- Oh oui !
- Montre-le nous.
Thibaut enlève son maillot et nous regarde. Sa queue se dresse en moins de deux. Il faitsortir son gland.
- Mmmmm !! J’aime quand elle est droite. Qu’en penses-tu, Catherine.
Catherine est sans voix. Elle a compris de quelle surprise il s’agit. Elle est troublée. Thibaut, excuse-moi un moment.
- Ça va, ma chérie, tu as l’air toute retournée ?
- Je ne m’attenais pas à ça. Qu’est-ce qu’on va faire ?
- A ton avis ?
- Faire l’amour devant lui ?
- …
- Faire l’amour devant lui… et avec lui ?
- Oui, si tu en éprouves l’envie. Sinon je me contenterai de la faire moi et tu nous regarderas. Ou alors je le ferai demain, sans toi. Je ne t’impose rien. Je pensais que cela te ferait plaisir d’avoir un homme avec qui batifoler. Mais tu es libre, ma chérie.
- Ça me fait super plaisir, évidemment, c’est simplement que je ne m’y attendais pas du tout. Tu crois qu’il est d’accord ?
- A ton avis, faire l’amour à deux femmes en même temps.
Je retourne près de la fenêtre avec Catherine. Je dis à Thibaut :
- Thibaut, on amie mouille déjà en voyant ta queue dure, tu penses pouvoir la satisfaire, Elle est très gourmande et aime le cul ?
- Je meure d’envie de vous faire l’amour, je vais faire mon possible pour être à la hauteur.
- En tout cas ta queue est déjà à la bonne hauteur, cela promet.
Thibaut se dirige vers le haut de la première partie de son jardin et je vais avec Catherine dans la pièce où se trouve le lit. Je vais ouvrir la porte à notre jeune amant et je le conduis dans la « chambre » où Catherine attend, assise dans un fauteuil.
Je fais asseoir mon voisin dans un autre fauteuil et je vais chercher Catherine. Je lui prends la main et je l’amène jusqu’au lit. On s’assied et je commence à l’embrasser. Notre baiser est long et sensuel. Je presse les seins de mon amante et elle me triture les miens. J’insinue une main sous sa jupe et je me délecte de la sensation du nylon qui gaine ses belles jambes. Elle défait mon chemisier, tout en m’embrassant et je me retrouve en soutien. Elle s’attaque à ma jupe qu’elle défait, me voilà en string. Deux bas autofixants couleur chaire recouvrent mes jambes. Je couche Catherine sur le lit et je remonte sa jupe. Je passe ma bouche sur ses jambes et j’arrive à son entrejambe protégé par son string. Je passe ma langue sur sa petite culotte et je titille son clito à travers le tissu.
Elle gémit doucement. Je me redresse et j’enlève mon string. Je regarde Thibaut qui est rouge comme un poivron et qui se triture doucement la queue. Je viens me positionner face à Thibaut, sur la bouche de Catherine qui commence à passer sa langue sur mon abricot lisse et humide. Sa langue s’insinue entre mes lèvres et vient buter contre mon clito qui ne tarde pas à durcir et à sortir de sa coquille. Thibaut nous regard, bouche bée ; il n’en revient pas du spectacle qui s’offre a lui ; je vais défaire la jupe de ma belle collègue et je lui retire son string. Je me couche et elle descend sur ma chatte. Thibaut peut voir le cunni que Catherine me fait. Je gémis comme une salope, tellement c’est bon et tellement je suis follement excitée de m’exhiber sans la moindre pudeur devant ce jeune garçon qui va nous niquer tout à l’heure.
Catherine enlève son soutien et enlève le mien. Elle me suce les mamelons qui durcissent et elle me triture la chatte. Elle me met sur le dos et vient mettre sa fente sur ma bouche. Je la lèche tendrement et je la fais gémir de plaisir. Je commence à lui lécher le cul.
- Oh oui !! Lèche moi le cul, j’adore ça. Je passe ma langue dessus et je la pousse dedans. Je la fais mettre en levrette et je me mets à côté d’elle pour que Thibaut voie bien ma langue s’occuper de sa rondelle de salope.
Je le regarde, il est rouge d’excitation. Ma feuille de rose est longue, tendre et sensuelle. Catherine se laisse aller et pousse son cul ver ma bouche. Je dévore sa pastille goulument.
Fatiguée, je m’arrête et je dis à Catherine. :
- Notre jeune ami mérite qu’on s’occupe de lui. Je vais le chercher et je le couche sur le lit. Catherine me regard quand je prends le sexe dur de Thibaut dans ma bouche. Je lui taille une pipe avec passion, passant ma langue partout sur sa queue, descendant sur ses couilles juteuses, puis je vais titiller sa rondelle. Catherine s’approche et me caresse le dos.
- Ma belle amie, as-tu toi aussi envie d’un homme ?
- Oui, Nadège, j’en meurs d’envie, cela fait si longtemps que je n’ai plus goûter de bite. Cela me manque terriblement.
Elle prend la queue de Thibaut dans sa bouche, je la regarde faire un petit moment puis je viens la rejoindre et nous embrassons chacune un côté de sa tige et nous remontons jusqu’à son gland rouge que nous frottons entre nos lèvres. Catherine et moi nous nous embrassons avec son gland qui passe d’une bouche à l’autre. Thibaut gémit de plus en plus.
- Je ne vais pas tarder à jouir, dit-il.
- Laisse-toi aller dans ma bouche, dit Catherine.
Thibaut explose tout son foutre dans la bouche de Catherine, je m’empresse de la rejoindre et de l’embrasser et nous nous partageons sa semence chaude. Catherine nettoie ensuite consciencieusement la queue du garçon à coups de langue et vient m’embrasser.
Nous laissons Thibaut reprendre ses esprits et Catherine et moi nous nous mettons face à face, en ciseaux et nous collons nos sexes l’un contre l’autre. On commence à se frotter sensuellement et Thibaut qui n’a jamais vraiment débandé reprend vigueur devant le spectacle qu’on lui donne. Catherine aime le tribadisme, moi aussi et nous accélérons la cadence. Nos fentes sont trempées et je sens la cyprine couler sur la chatte de mon amante. Nos sexes glissent l’un sur l’autre mais nous ne voulons pas encore jouir.
- Thibaut, je veux que tu ‘occupe de mon amie et que tu la fasses crier de plaisir.
Il vient vers Catherine et il commence à l’embrasser. Ses mains parcourent le beau corps de cette belle femme sensuelle et leurs corps se mêlent pour un 69 érotique à souhait. Catherine lui suce la queue goulûment, elle a du talent, on voit qu’elle aime cela. Thibaut lui fait un cunni et lui lèche le cul.
Catherine a envie de ce jeune homme en elle.
- Dans quel trou veut-tu décharger ton foutre, dit-elle, dans ma chatte où dans mon cul ?
Thibaut hésite, a peur de dire ce qu’il veut.
- Est-ce difficile de te décider ou de le dire ?
- De le dire… Dans le cul.
- Excellent choix. J’adore mais il y a pas mal de temps que cela ne met plus arrivé.
Catherine se met en levrette et Thibaut vient derrière elle et pousse lentement sa pine dans le trou de balle de mon amie. Il va et vient, lentement puis plus vite, alternant le rythme. Catherine prend son pied et se laisse aller sous les coups de queues de son jeune amant. Elle l’encourage.
- Oui Thibaut, continue, défonce mon cul, j’aime sentir ta queue en moi. C’est délicieusement bon. Tu décides quand tu te lâches. Thibaut résiste longtemps, le cul de Catherine est complètement souple et bien ouvert quand Thibaut sort complètement son membre pour le remettre d’un coup sec. Puis il commence à gémir de plus en plus fort, accompagnant Catherine qui soupire et pousse des cris de plaisir. C’est le moment, c’est l’instant, Thibaut crache sa semence dans l’anus de ma collègue et amante. Il pousse un cri énorme et libérateur, les saccades secouant son corps.
Il se retire, je vais vers lui et je prends sa queue en bouche, je la nettoie, il la remet dans le cul de Catherine et la sort de nouveau. Catherine la prend en bouche à son tour pendant que je vais lécher le fion de Catherine. Le sperme coule et barbouille ma bouche. Je vais embrasser Catherine. Thibaut nous regarde, la queue toujours dure. Je me mets en levrette et je lui ordonne de m’enculer ; il vient me bourrer le cul mais je n’attends pas d’éjaculation. Il faut le laisser se reposer.
Après un peu de repos, on recommence à se peloter, se lécher, se sucer, partout. Je veux que Catherine se souvienne de cette après-midi. Je prends mon gode ceinture et je le met autour de ma taille. Je me couche et je dis à Catherine de venir s’empaler la chatte dessus. Quand elle a le gode enfoncé en elle, le dis à Thibaut de venir l’enculer. Il vient investir pour la deuxième fois le fion de ma tendre amie et la voilà prise en sandwich. Elle a ses deux trous remplis jusqu’à la garde. Thibaut commence à se mouvoir dans son cul, puis c’est moi et on trouve le bon tempo, en alternance, Catherine se trémousse, gigote, gémit, soupire, crie, est en transe et n’arrête pas de dire :
- Putain que c’est bon, putain que c’est bon.
Thibaut et moi on la baise furieusement, on est déchaîné et les trous de Catherine dégustent. Elle crie comme une folle son plaisir et demande qu’on n’arrête pas. Ce n’est pas notre intention. Catherine transpire et a les yeux révulsés de plaisir, elle me regarde sans me voir, toute à son plaisir.
- Baisez-moi, je suis une pute en chaleur, défoncez la grosse salope que je suis.
La cyprine coule abondamment de son sexe dilaté. Thibaut sort sa queue pleine de mouille anale et va la mettre dans la bouche de Catherine qui la bouffe goulûment.
Il revient dans son cul et après 25 minutes de double pénétration, il jute et souille le cul de mon amie de son foutre chaud.
Catherine est exténuée, elle transpire. De son con rouge de plaisir, la cyprine s’écoule, c’est fou ce qu’elle mouille. De son cul ouvert, c’est une crème blanche qui sort. Je prends mon smartphone et je fais une photo de ce beau spectacle.
Fin de la séance. Thibaut rentre chez lui et Catherine et moi on passe dans ma salle de bain pour nous laver et nous détendre dans un bon bain.
Catherine m’embrasse tendrement et me dit qu’elle est heureuse de m’avoir rencontrée. Elle me remercie pour la surprise que je lui ai réservée. Elle me dit que cela lui a fait du bien de retrouver le plaisir d’une bonne queue dure en elle et que sa première double pénétration restera pour elle un moment inoubliable.
- Imagine faire un sandwich avec deux queues.
- Jamais fait, mais j’en rêve.
- Moi aussi, jamais fait mais j’ai envie de vivre cette expérience.
On se promet de réaliser ce fantasme.
Aujourd’hui, nous travaillons plus mais nous faisons toujours l’amour ensemble, parfois avec Thibaut. Nous faisons des doubles pénétrations avec des hommes et nous adorons. Mais cela c’est une autre histoire que je vous raconterez un prochaine fois.
J’espère que vous aurez pris plaisir à lire ce récit de quelques moments très chaud de ma vie sexuelle.
A bientôt pour la suite…
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