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Sodomme et Gomorre dans le cinéma

Ecrit par Ivan
Parue le 11 octobre 2024
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Cette histoire érotique a été lue 217 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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Sodome et gomorhe dans le cinema

Préface


 Le soleil tapait dès huit heures du matin. Le bitume était brûlant; les rues désertes. Les chiffres de vente des boissons furent astronomiques. La chaleur fit des victimes, hélas, parmi les personnes âgées et les jeunes enfants. Dans son quartier, la chaleur était insoutenable. Elle carburait à trois-quatre douches par jour, et malgré cela ellle suait des litres et des litres. Les gosses avaient abandonné la cité. Rares étaient ceux qui sortaient. Situation rarissime, mais cet fin d´après-midi, Patricia est libre comme l’air, sans engagement conjugal, libre de vaquer et de rêver, de se promener! Toujours attentive à son allure distinguée, sans excès, mais élégante et un peu classique, elle prend le temps de se préparer à sortir en ville pour y faire un peu de lèche-vitrine, sans but précis. Au millénaire précédent, dans les années 1970, à la suite de la révolution sexuelle, il existait dans la plupart des villes des petites salles intimistes de cinéma qui projetaient des films interdits aux moins de dix-huit ans.
Voilà, c’est fini, vous savez tout. Ils venaient de quitter les débuts de Valéry Giscard d’Estaing pour ceux de Nicolas Sarkozy. Un assez grand bond dans le temps.
Certaines personnes étaient assez assidues, les films souvent scandinaves s’enchaînant à la queue leu leu, ce qui est le cas de le dire. Si la plupart des films possédaient un scénario ultra réduit, d’autres étaient néanmoins plus recherchés, aussi bien dans le synopsis que dans l’esthétique. Certains réalisateurs, producteurs, acteurs et même chanteurs (tout ce petit monde, masculin comme féminin) ont commencé ainsi, avant de se faire un nom auprès du grand public de façon plus honorable. Il est vrai que, dans l’écrasante majorité des cas, un film X ne demande pas des moyens financiers extraordinaires, sans parler du fait que certains d’entre eux ont été expédiés en une seule journée. De plus, les actrices et acteurs n’exigent pas les mêmes émoluments qu’une vedette de tête d’affiche. Sans compter celles et ceux qui ont fait ça gratuitement pour le fun.

-?Belle tenue. ?Tu étais belle, ma chérie 
?- Tu me verrais là-dedans? ?Je veux te faire jouir!
? - Oui, ça t’irait bien… Juste pour moi.
? - Ah bon! Tu me rasures
-?Que dirais-tu d’allumer un homme devant moi? En guise de lever de rideau. ?T’aime sucer des bites? Te branler? Avaler le sperme? Te faire baiser? T’as déjà léché une chatte?
-?Et tu voudrais essayer?
- Y a qu’à y aller voir!
- Tu es fou! C’est dangereux!
- Tu ne risques rien!
- Elle est drôlement mignonne ta Femme.  
- Je ne sais pas faire bien ça. Mais tu ne vois pas que tu me plait vraiment? Dit elle au mari.
- Ma chérie, ma chérie, tu n´est pas une fillette, mais bien une Femme. Tu es belle. Tuis lui inspire tant de désirs.
- Je suiis que vous en avez envie.
- C´est que ça commence à sentir la femme ça.

Et voilà qu´elle est là, seule assise dans un fauteuil de jardin. Ses jambés croisés laissent remonter sa jupe droite jusqu´à la limite des fesses. Une de ses chaussures détachée, traaîne par terre tandis que l´autre se balance dans un mouvement régulier au bout de ses jolis pieds. Elle feuillete une magazine. Le genre de revue pour passer le temps. Ses cheveux ramenés à l´avant masquent à peine son prrofomnd décolleté laissant apparaître les courbes arrondies de ses seins. Elle semble être là exprès par son époux. Derrière son objetif il la regarde et contemple sa beauté. Une coquine qui sous la houlette impudique et le dévergondage d´une belle blonde, on a pris soin. Elle a joué avec les mots pour le charmer de plasirs soubtils. Un voyeurisme exarcebé par un érotisme envoûtant. Un mélange de fantasmes et de légèreté, dépaysement et des belles caresses. Le mari que connaisse ses appetits et ses prouesses sexuelles, ça lui donnait déjà des frissons jusque dans les parties, les plus intimes et érogènes de son corps.
Patricia rêvait qu´elle pouvait être dans un anbiance chaude, et érotique sexuellement chargée. Éviidement le couple chacun pensé à ses petits fantasmes, en parlent du soft, au très très hard.
Situation rarissime, mais cet après-midi, Patricia est libre comme l’air, sans engagement conjugal, libre de vaquer et de rêver, de se promener?! Toujours attentive à son allure distinguée, sans excès, mais élégante et un peu classique, elle prend le temps de se préparer à sortir en ville pour y faire un peu de lèche-vitrine, sans but précis.

- Amusons-nous un peu?! » pense-t-elle.
-?Tout en parlant de tout et de rien, en regardant ses beaux yeux bleus rieurs.
? - Ça ne m’étonne pas, car elle adore s’exhiber et exciter les mecs. Cela fait partie de ses plaisirs.
- On peut le faire à trois, si ça te dit. Moi j’ai envie, de toute façon.

 Elle sait combien elle peut séduire, puis partager ses envies de libertine assumée, jusqu’à s’abandonner à la luxure sans tomber dans la vulgarité. La belle bourgeoise s’amuse ainsi à jouer avec les mots et la situation, pour mélanger la distinction qu’elle affiche en toutes circonstances et la lubricité de ses envies profondes, de son tempérament de baiseuse expérimentée et très pratiquante… Patricia évolue légèrement, mince dans sa robe souple en tissu gris clair, qui laisse deviner les courbes de sa petite poitrine, de ses hanches et de son «?joli petit cul?», comme j’aime le qualifier. Dressées sur d’élégants escarpins noirs, ses fines chevilles et ses jambes attirent déjà le regard de deux ou trois hommes intéressés par cette arrivée prometteuse. Sans quitter son sourire charmant, elle fait comme si elle n’avait pas remarqué les observations des coquins. La blonde adore faire monter la tension comme ça, il l imagine très bien son épouse! Patricia apprécie son allure élégante et toujours svelte, mise en valeur par sa robe qui s’arrête opportunément au niveau des genoux, laissant apparaître ses mollets galbés qui glissent vers des bottines, qui soulignent ses chevilles fines. Son buste, légèrement marqué par sa mince poitrine, suffit à laisser imaginer des seins encore sensibles aux caresses et, surtout, à l’épanchement de ses amants de passage, lorsqu’elle les conduit à la jouissance, de la main et de la bouche… Brrouuuuhhhh, fait-elle, essayant d’écarter de son esprit des images si libertines de ses aventures passées que, déjà, son ventre se serre et son sexe s’humidifie chaudement.

-?Ah! Bonjour, Pierre, répond-elle en lui déposant un léger baiser sur la joue. Que fais-tu là?? Pas au travail à cette heure-ci?
- ?Non, je suis sorti plus tôt et je ne le regrette pas, puisque cela me donne le plaisir de te rencontrer… seule, lâche-t-il avec l’intention de faire naître juste un peu d’ambiguïté.

D’un pas vif, elle parcourt les rues du centre en quête de quelques articles de mode pour se préparer à la nouvelle saison, s’arrêtant par-ci par-là au gré des vitrines de fringues et autres colifichets. Absorbée dans l’examen des vêtements, elle ne porte pas attention à ce qui l’entoure et ignore les passants qui la dépassent sur le trottoir quand, soudain, elle sent une main se poser doucement sur son épaule.

-?Bonjour Patricia! lui glisse doucement un homme derrière elle.
-?Ah! Bonjour, Pierre, répond-elle en lui déposant un léger baiser sur la joue. Que fais-tu là? Pas au travail à cette heure-ci?
-?Non, je suis sorti plus tôt et je ne le regrette pas, puisque cela me donne le plaisir de te rencontrer… seule, lâche-t-il avec l’intention de faire naître juste un peu d’ambiguïté.
La belle se retourne alors, surprise sans crainte, et reconnaît l’une des connaissances de son mari, qu’elle a déjà rencontré plusieurs fois à l’occasion de dîners amicaux. L’homme, plus jeune qu’elle de quelques années, porte beau et lui sourit, amusé par la surprise de la rencontre fortuite.

-?Tu fais des courses? As-tu trouvé ton bonheur? interroge-t-il pour poursuivre innocemment la conversation.

-?Pas encore, et je vais devoir repousser cela à plus tard, pour aller voir dans les galeries commerciales de la banlieue, car je ne trouve pas ce que je cherche par ici.

-?Si tu veux et si tu as le temps, je peux t’y conduire un moment. Ma voiture est garée pas loin.

Surprise et amusée par l’opportunité, alors qu’elle est encore un peu émue par ses pensées érotiques de tout à l’heure, Patricia accepte volontiers et accompagne son compagnon du moment jusqu’à son véhicule. L’homme, enhardi par cet accord spontané et rapide, lui prend doucement le bras et la guide jusqu’à la porte de la voiture, qu’il lui ouvre courtoisement. Après quelques minutes de trajet, occupées à échanger des banalités de convenance, il se gare aux abords d’un parking, devant la galerie commerciale que lui a indiquée sa voyageuse. Puis, comme s’il s’agissait d’un couple établi, ils se dirigent ensemble et partent explorer les magasins du secteur. La femme apprécie les remarques plaisantes de son compagnon, lequel s’amuse à la titiller sur tel ou tel avantage d’un pull, d’une jupe ou d’un corsage… Mais aussi, sur l’effet que produiraient des sous-vêtements discrets mais coquins! Patricia comprend évidemment le sens qu’il donne à ses allusions, mais s’amuse à le laisser poursuivre, sans lui accorder plus d’attention que cela; c’est un jeu de séduction qu’elle adore pratiquer, quelle qu’en soit l’issue. Après quelques dizaines de minutes de ce jeu et des achats finalement faits selon les souhaits de la dame, ils reprennent la direction de la voiture, alors que le jour finissant commence à obscurcir le parking. Confortablement assis dans la limousine, ils échangent alors quelques mots à propos des achats effectués par Patricia, y compris celui des sous-vêtements…

-?Portes-tu souvent de tels articles sur toi, chère amie? lui demande en souriant Pierre.
-?Presque toujours, si tu veux tout savoir, curieux! Lui lance Patricia amusée.
-?Alors, tu le fais avec des bas sans doute?
-?Plutôt des bas autofixants, car je n’aime pas être gênée par les porte-jarretelles?! Voilà, tu sais tout, non?
-?Pas tout à fait encore, car je ne suis pas obligé de te croire sur parole, belle coquine… dit-il en glissant légèrement un doigt sur la cuisse de sa voisine, qu’il sent ferme sous le tissu de la robe.
-?Eh bien, je ne te savais pas si curieux, rétorque Patricia, laissant toutefois la main s’ouvrir plus sur sa cuisse et relançant le jeu entre eux deux: que veux-tu savoir… ou voir?
-?Tout! Et maintenant! Si tu le veux bien.

La belle blonde, qui n’attendait que cela, lance un regard circulaire pour constater que l’ombre autour du véhicule les protège de la vue d’autres personnes, remonte lentement le bord de sa jupe au-dessus de ses genoux, jusqu’en haut de ses cuisses, pour dégager ses bas et laisser apercevoir le renflement de son string, recouvert de dentele.

-?Humm! Splendide, en effet?! soupire Pierre. Je peux toucher?

Et, sans attendre une réponse qu’il devine positive, il caresse la cuisse jusqu’à la limite du bas, jusqu’à la bande de chair douce et chaude, en fixant le regard complice de la femme. Celle-ci, en libertine accomplie, laisse lentement ses jambes s’écarter un peu l’une de l’autre, pour attirer la main masculine plus haut, vers son ventre qui palpite d’impatience. Son complice du jour laisse aller ses doigts vers l’humidité tiède qui transpire sous le tissu fin et les appuie pour dessiner la forme des grandes lèvres déjà gonflées. En même temps, il approche sa bouche de celle de Patricia et lui lèche sensuellement, avant de glisser sa langue pour aller à la rencontre de la sienne. Envoûtée par les deux caresses simultanées, sur son sexe et sur sa langue, la coquine soulève son bassin pour provoquer l’homme et l’inciter à aller plus loin, plus vite. Déjà, elle sent les doigts fermes mais habiles, passer sous le tissu du string et décoller ses lèvres humides de cyprine, puis s’enrouler autour de son clitoris durci par le désir. Comme deux adolescents excités, les deux futurs amants laissent leurs envies croître au fur et à mesure que leurs caresses deviennent de plus en plus osées, libérées. Patricia n’avait certes jamais particulièrement fantasmé sur cet homme mais, l’occasion se présentant, elle est résolue à en profiter pleinement, comme lui conseille toujours son amant de cœur, que la distance a trop éloigné d’elle depuis longtemps maintenant?; et puis surtout, elle pourra tout lui raconter après, avec moult détails croustillants qui les combleront tous les deux.
C’est en pensant à tout cela, les doigts de son compagnon la pénétrant lentement, qu’elle pose une main impatiente sur le membre tendu sous le tissu du pantalon. Quelques aller-retour suffisent à la convaincre que l’homme va lui offrir un morceau de choix et elle poursuit son approche en détachant habilement la ceinture et ouvre la braguette.
Elle goûte alors ce moment favori de ses conquêtes, quand elle découvre du bout des doigts la peau chaude et douce d’un sexe inconnu et, tout en extirpant adroitement le membre raide, elle le soupèse et en apprécie le diamètre et la fermeté. Déjà, le gland est dégagé du prépuce et elle peut se pencher dessus pour en dessiner la forme du bout de la langue. Pierre la laisse s’allonger en travers de ses cuisses et présente sa bite à la bouche ouverte, tout en passant un bras par-dessus les épaules de la coquine, pour aller titiller sa poitrine. Il ouvre la robe et roule les tétons tendus entre ses doigts au moment où Patricia avale résolument le sexe offert et se met à le pomper avec application et adresse. Elle sait combien ses qualités de suceuse expérimentée peuvent provoquer une éjaculation trop rapide, aussi, elle se plaît à jouer avec le membre, sans aller trop vite ni trop loin!?Les couilles remplies au creux de la main, elle se redresse pour échanger un baiser avec son compagnon de jeu quand elle aperçoit une ombre, du côté de la vitre de sa porte.
-?Mais qu’est-ce que c’est? S’alarme-t-elle, il y a quelqu’un dehors?
-?Apparemment, oui, s’amuse Pierre, et se penchant pour mieux distinguer l’intrus, il ajoute… Et il semble apprécier le spectacle, si tu vois ce que je veux dire!
-?… Euh… que fait-on? On s’en va? s’inquiète faussement la coquine, pourtant habituée et pratiquante de telles situations, notamment en compagnie de son amant de cœur.
-?On fait comme tu veux, lui répond courtoisement Pierre, mais peut-être peux-tu faire quelque chose pour le soulager, le pauvre! En plus, cela le fera partir… dans tous les sens du terme.

Patricia, toujours à moitié couchée sur l’homme, sa robe relevée sur ses fesses exposées à la vue du voyeur, se rend compte alors que celui-ci a sorti une queue tout à fait appréciable qu’il masturbe en profitant de la vue offerte par le couple. Et comme elle l’a déjà fait à quelques reprises par le passé, Patricia fait descendre la vitre de sa porte pour permettre au voyeur de s’approcher tout près d’elle, de son visage. Elle se tourne alors résolument vers ce second braquemart qu’elle prend bien en main, décidée à le faire jouir rapidement. Elle crache un tout petit peu pour mouiller la peau et la branler plus facilement, alors que Pierre, maintenant penché dans son dos sur le siège de la voiture, approche son propre sexe de la vulve qu’il a longuement préparée de ses doigts. La coquine remue pour faciliter l’approche de son compagnon et va jusqu’à tirer sur sa fesse pour écarter en grand le passage qu’une queue chaude et raide remplit alors. Tout en dégustant cette pénétration nouvelle, en sentant le gland se glisser entre ses chairs trempées, Patricia caresse de plus belle le voyeur, mais constate que l’énergumène est résistant et qu’elle n’en viendra pas à bout (!) aussi vite qu’elle le pensait, d’autant plus que le coït qu’elle a entamé avec Pierre ne peut qu’exciter encore plus l’autre homme. Lasse d’avoir trop attendu, depuis plusieurs mois, pour se faire baiser ainsi elle se décide donc à mener la danse plus loin, plus fort.
-?Passons derrière! Veux-tu? propose-t-elle à son baiseur, tout en se dégageant de son étreinte et en glissant vers le grand siège arrière.
Au passage, elle se débarrasse de son string trempé et chiffonné, puis attend d’être rejointe par son nouvel amant. La robe ouverte sur ses seins tendus, les cuisses écartées et chaudes, la bouche offerte ainsi que son sexe, elle est décidée à se donner du plaisir comme elle aime le faire quand elle se lâche la bride, en club libertin, notamment. Dans ces moments-là, elle oublie tout le reste et se concentre sur sa jouissance et celle de ses partenaires, hommes et femmes. Rejointe par Pierre qui vient de s’asseoir à côté d’elle, ni une ni deux, elle enjambe ses cuisses et vient s’empaler sur le sexe qui a commencé à lui procurer de si bonnes sensations?; avec d’habiles mouvements de son bassin, elle s’évertue à pomper le dard qui palpite dans son ventre, tout en vérifiant où en est le voyeur resté à l’extérieur. Son amant du soir remarque sa recherche et lui glisse au creux de l’oreille, les mains agrippées aux hanches qui roulent lentement.

-?On ne va pas le laisser comme ça, ce ne serait pas très charitable, non?
-?Tu as raison, souffle-t-elle en cognant le fond de son vagin sur le gland chaud, fais-lui signe de venir nous rejoindre.
-?Attends, j’ai une meilleure idée?! répond Pierre, alors que du bout de deux doigts, il lubrifie discrètement l’anus de la baiseuse avec sa propre mouille.

Celle-ci comprend l’allusion et, offrant franchement son petit cul à la caresse, elle incite son complice à ouvrir le passage qu’elle sait si sensible. Alors, son amant ouvre une porte de la voiture pour permettre l’approche du voyeur, et il s’allonge lui-même sur la grande banquette tout en entraînant Patricia sur lui. Celle-ci, adepte des doubles pénétrations bien effectuées, cambre ses reins et présente ses jolies fesses à la peau si douce, au regard et aux mains de l’autre homme. Déjà prêt à l’action, ce dernier s’est couvert le sexe de l’indispensable préservatif et pose doucement son gland entre les chairs qu’il caresse avec envie.
-?Viens, mais doucement! lui lance Patricia en se tournant aimablement vers lui et en saisissant elle-même le membre tendu pour le diriger dans la bonne Direction.
L’homme appuie alors délicatement sa bite sur l’anus qui cède facilement le passage, déjà bien préparé par les caresses de Pierre. Ensuite, la belle mène la danse en roulant son corps lentement entre ses deux baiseurs, faisant alternativement glisser les deux sexes dans son corps. Elle les pompe à coup de reins et ressent au fond d’elle les vibrations des bites chaudes qui s’accordent pour faire monter leur plaisir à tous les trois. Là, en ce lieu insolite, dans ces circonstances impromptues, avec ces comparses inattendus, elle sent les frissons lui monter le long des flancs et, soudain, la belle se cambre, saisie par une jouissance trop forte pour être contenue et, ce faisant, elle contracte involontairement ses orifices, provoquant un raidissement dont jaillit une sourde chaleur, contenue par les préservatifs, mais très perceptible pour une sensuelle comme elle.
Les trois corps reprennent leur souffle pendant quelques instants avant que le voyeur remercie, fort poliment, la belle par un baiser déposé sur les fesses encore nues, puis il s’éloigne sans bruit, dans la nuit tombée. Un moment plus tard, quand Pierre a reconduit Patricia près de chez elle et l’a quittée sur la promesse d’autres aventures aussi palpitantes, la sexagénaire satisfaite s’arrête un instant avant de regagner le domicile conjugal, le temps d’envoyer un texto explicite à son amant de cœur.
-?Hummm, ce fut très bon! Tu avais raison, j’avais besoin d’une bonne baise… Je te raconterai tout, avec les détails, un peu plus tard. Je te lèche tendrement et longtemps. Bisous!
Un peu plus plus tard son mari arrive.
-?Alors, combien? Allez, tu peux bien me le dire maintenant! ?Alors, ma belle, on a passé un bon moment sans moi?
-?Ça va comme ça, mon chéri? Mais pourquoi veux-tu le savoir, ça ne sert à rien après tout?
- ?C’est parfait! Tu sais que je suis un mari cocu voyeur. ?Puisque tu prétends avoir eu d’aventures libertines avant de tout.
-?À toi de voir, mais surtout jouis bien pour nous deux… Voulez-vous me faire découvrir le cinema pornô, puisque vous le connaissez déjà? demande-t-elle. C’est donc que mes envies me montent autant à la tête qu’elles me descendent dans le ventre!

 Son adorable maîtresse et lui ils sont donc retrouvés pour faire une courte escapade, au hasard de ses envies?; rien que d’être ensemble nous fait vibrer à l’unisson, quels que soient les circonstances et le lieu. Patricia, mince Femme blonde distinguée et mignonne, a juste enfilé une blouse légère sans manche et une jupe droite en toile, puis glissé ses jolis pieds dans des mules de cuir blond, à petits talons. Dessous? Un symbolique string et le petit soutien-gorge assorti, dont ses seins menus n’ont pas vraiment besoin, mais elle tient beaucoup à toujours porter de beaux sous-vêtements un peu sexy Elle marche un peu au hasard des rues du centre du Rio de Janeiro, hésitant d’une vitrine à l’autre, profitant de ces moments de liberté qu’elle affectionne, seule, libre d’aller où elle veut en attendant son rendez-vous libertin avec son ami, dans l’après-midi. Par cette journée déjà chaude, juste légèrement habillée, elle peut monter ainsi dans sa voiture après l’avoir retrouvé à la fin de sa journée de travail. Un rapide, mais sensuel baiser suffit à nous réunir comme s´ils ne quittent jamais et c’est parti pour l’aventure.

-?Qu’en penses-tu, ma chérie?
-?Moi je veux bien, évidemment, mais toi, comment vas-tu faire?? me demande-t-elle non sans hypocrisie, sachant que nous savons nous accommoder de ce genre de situation…
-?Vas-y et je t’attendrai…avec impatience?; amuse-toi bien!
-?Qu’en penses-tu, ma chérie?
-?Moi je veux bien, évidemment, mais toi, comment vas-tu faire? Lui demande-t-elle non sans hypocrisie, sachant que nous savons nous accommoder de ce genre de situation…
-?Vas-y et je t’attendrai… Avec impatience; amuse-toi bien!

Ensuite arrive...

-?Le monsieur derrière moi a envie de voir de plus près, dirait-on! me souffle-t-elle discrètement.
-?Ah bon? Et alors…?
-?Eh bien, il me pelote doucement pour m’écarter… dit-elle à voix basse tout en souriant.
-?Crois-tu qu’il veuille vraiment que tu le laisses passer…?
-?Peut-être pas, on va bien voir?! Et elle reprend son attitude détendue et, apparemment, sage.
-?Eh bien, tu sembles avoir apprécié! lui lancé-je, moqueur.
-?Beaucoup, tu as vu? C’était très fort et très bon… Humm, j’en reprendrais bien encore un peu…
-?Tu ne perds rien pour attendre, nous ne sommes pas encore rentrés chez nous, cet après-miidi!
-?Exactement, mais je pensais aussi au mec. Il était vraiment très bon, tu sais.
-?Humm, j’ai passé un excellent moment, me déclare-t-elle en poursuivant sa caresse et en l’appuyant du bout de ses doigts entre mes cuisses.
-?Vraiment?


Enfin un bel après-midi de printemps pour se remettre de ce triste hiver, gris et trop humide… Et un rendez-vous avec ma complice qui me semble bien disposée à profiter de la montée de la sève! Elle, la Femme mariée élégante, mince dans une robe apparemment sage, mais dont la ligne laisse deviner les courbes de son adorable petit cul, avant de découvrir ses jambes fines et agiles. Ses cheveux blonds et courts mettent en valeur l’éclat de son regard bleu, toujours à l’affût d’une occasion à partager. De sa bouche fine et douce, à ses doigts fuselés, tout fait penser en elle au plaisir qu’elle sait si bien donner et recevoir. À la voir ainsi, un connaisseur devinerait ce qui se cache derrière son apparence classique et ne peut qu’être tenté de la séduire.

- ?Si tu as envie de jouer, ne t’en prive pas, ma chérie!
- ?Attends, on va voir si c’est bien le cas.

Au tomber de la nuit dans une course inédite qui mene à une aventure charnelle très chaude. De longues heures avaient filé ainsi, desoeuvrement réveille en elle d´autres vices. Jusqu´à ce que elle quitte donc, seule, le domicile familial et dirige ses pas vers le centre-ville, la marche légère et fluide, ses hanches se balançant doucement, mais élégante et un peu classique, elle prend le temps de se préparer à sortir en ville pour y faire un peu de lèche-vitrine, sans but précis. Apercevant par sa fenêtre, les nuages menaçants, elle enfile un léger imperméable sur sa robe droite, sous laquelle elle a pris plaisir à enfiler des sous-vêtements un peu coquins pour une dame  Comme elle se connaît parfaitement bien, elle sait que son allure peut retenir l’attention de certains hommes, enfin, de ceux qui savent reconnaître en elle une élégante coquine, réservée, tout du moins en apparence; mais, aujourd’hui, elle ne cherche pas à provoquer quiconque, elle veut juste profiter de sa liberté et de la ville animée. Elle prend son ticket, en regardant à droite, à gauche, espérant les apercevoir. Ou en ayant peur de les apercevoir, elle ne sait pas trop. Mais il n’y a pas un chat à cette première séance du jour. N’oubliez pas vos lunette! On vous invitera à le mettre dans la dernière partie du film, lui annonce l’ouvreuse, des étoiles dans les yeux. Vous allez voir, c’est étonnant! Elle les saisit, sourire aux lèvres. Heureusement qu’il n’y a pas foule, avec une robee aussi courte, tout le monde pourrait voir mon intimité, se dit-elle en montant l’escalier. 
Dans cette salle de cinéma se trouvait quelques couples installés sur le devant et quelques hommes seuls. Pas trop de monde à vrai dire et plus d'hommes que de couples. Elle sourit, puis elle se cale dans son fauteuil rouge. Quelques instants plus tard, le grand écran s’illumine avec les images du film de la séance. Pas de pub? Tant mieux!... La pièce agencée avec un grand écran circulaire avait de belles dimensions, une sorte de petite pente façon gradins de cinéma avec d’énormes fauteuils très confortables qui les tendaient les bras. Ils avaient prener place sur les sièges en velours rouge, les yeux machinalement braqués sur le grand écran.

- Si tu savais que se traite d´un baiser mortel, Le couple de haute risque d´être infidéli. Le voleur allait voler ma Femme.
- Mariée à un millionnaire bisexuelle dans un triangule amoureuse, la consecration coeurs rebelles, coupp de coeur royal, dans sa peau d´un serial love veux tu me baiser? Demanda son épouse.
- Oui... J´aimerais beaucoupp.
- La tentation est une Femme à la vie et à la mort, dit le mari.
- Une aventure au gôut de chantily, dit l´épouse.

L´époux épiue avec anxieté, et il espère que le mec réussira dans sa mission. Il est jeune et beau, convoité par toutes les femmes qui voient en lui, la personniification de leur fantasmes les plus secrets, l´amour se vit à chaque instant et au delà des risques.

Ils sont instinctivement placés en retrait, dans les hauteurs de la salle, dos au mur, sans même les consulter. Les lumières s’abaissent graduellement et la salle est soudain plongée dans le noir. Twentieth Century Fox, musique sourde, générique… Par les débuts du film et cette proximité nouvelle générée par l’obscurité de la salle, à laquelle ils n’étaions pas préparés. Elle croise et décroise nerveusement les jambes à plusieurs reprises, cherchant sans doute une position plus confortable. Après tout, personne ne l’attend avant la fin de l’après-midi, se dit-elle, et elle pénètre dans le hall d’entrée.
-?Un jeu est un jeu, n’est-ce pas?
Quand Ils arrivent dans la salle déjà plongée dans une demi-pénombre, il n’y a pour l’instant que quatre personnes, et les bandes annonces s’affichent sur le grand écran. Seule compte l’aisance qui est la sienne de se sentir presque peu habillée sous sa robe, le haut de ses cuisses dénudé par les bas autofixants qu’elle apprécie toujours. Elle quitte donc, seule, le domicile familial et dirige ses pas vers le centre-ville, la marche légère et fluide, ses hanches se balançant doucement. Comme elle se connaît parfaitement bien, elle sait que son allure peut retenir l’attention de certains hommes, enfin, de ceux qui savent reconnaître en elle une élégante coquine, réservée, tout du moins en apparence; mais, aujourd’hui, elle ne cherche pas à provoquer quiconque, elle veut juste profiter de sa liberté.  Sans y prendre garde, elle est arrivée devant un cinéma qui affiche un film récent qu’elle avait remarqué et qu’elle souhaiterait aller voir. 
-?Tu m’excites tellement, lui dit-il la voix pleine d’exaltation.
-?À toutes fins utiles, expliqua-t-il avec un sourire.
Pourquoi a-t-elle eu soudainement envie de découvrir de qui il s’agit? Elle ne le saura jamais, mais, toujours est-il qu’elle se retourne discrètement pour dévisager l’individu, et n’est pas déçue par l’examen. Un homme un peu plus jeune qu’elle, d’allure sympathique et décontractée, qui fait un petit pas en arrière, croyant qu’il s’était trop approché d’elle.

-?Qu’en penses-tu, est-il à ton goût? lui demandé-je, la bouche contre son oreille.
-?Pas mal, pas mal?! me répond-elle dans un sourire coquin.
? - Très sexy, tu dois faire des ravages…
-?Chéri, mon amour, il va me prendre.

avec toi,
-?Je vois que vous savez beaucoup de choses.
- Amour! Un mec que se mis à côté de moi me demandé s´il pouvait sortir sa queue pour se branler?
- Oui... Vous pouvez le branler aussi.
- ?Hummm, c’est délicieux! Savez-vous?

 Au bout d’une heure et demie, effectivement, un personnage du film l’invite à mettre ses lunettes. La voici plongée dans une troisième dimension. Elle rentre dans la nuit, la nuit du film. Elle ne voit plus rien. Le film commence. Voyage vers la nuit. Ont-ils oublié le rendez-vous ? Elle vérifie son téléphone, rien. C’est peut-être mieux comme ça… Et tant pis, elle va quand même profiter du film. Ils s’embrassèrent de nouveau passionnément. Il avait une queue de taille conecte et elle entoure sa bite avec ses doigts pour le branler avec ses doigts devant le film. Elle a écarrté ses jambés et lui a toute de suíte compris qu´elle était partante par un petit Touche-pipi. Le gar l´a écarté les lèvres et fouillé son vagin avec ses doigts. Les autres mecs autor se branlaient en nous regardant et elle était trempée. Son mari pas resiste en sucer une grosse bite devant lui. L´un d´eux vient par derrière et commence à la pénétrer. Le mec lui martelait la chatte comme un malade, II jouit plucieurs fois. Son mari faisait se defoncé dans un cinema pornô pour une grosse bite. Un black est arrrivé et il a une queue énorme que son mari a commencé à sucer avidement, Il savait qu´il allait defoncer son petit trou. Son mari lui demandé d`être enculé pour le black.

- T'aimes ça! Te faire enculer! Salope! Tiens! Prends ça alors!

Il avait cru qu´il allait été transpecer avec son pénis d´ebane. Du sexe bestial dans le cinema porno c´est du bonheur Il avait jouir beaucoup sperme avac cxoule dans ses jambés mais son mari était heureux, Ils l´invite de passer la nuit chez eux et baiser lui aussii. Il veux continuer l´orgie.

?- ?Ma chérie, tu aimes te faire baiser comme ça? Moi, je pense que tu dois le faire bander, et toi?
- Tu aimerais l’essaye? Demande l´épouse.
- J'ai horreur des hétéros, mais toi, j'ai toujours envie de t'enculer comme ça!
-?Écoute, ça va commencer ! murmura-t-il à l’oreille de Patricia.
-?D’après ce que je vois, je n’ai plus aucun doute, tu le fais bander.
-?Maintenant, toute la question est de savoir si tu vas le faire? ?Comme tu mouilles, ma chérie. J’aime te sentir comme ça lui murmura-t-il.
- ?Oh oui!
- ?Alors, dis-lui!

L’épisode a tellement remué la femme qu’elle a décroisé ses jambes et, presque involontairement, elle les a écartées de telle sorte qu’elle ressent l’air passé sous sa robe remonter sur ses cuisses. Elle s’avachit un peu plus sur son siège, écartant un peu les jambes, comme offerte. Sa robe courte remonte un peu plus, dévoilant ses cuisses ainsi que l’amorce d’Un porte-jarretelles, ce qui est très excitant. Ses yeux s’habituant à la pénombre, il se demande si elle porte une petite culotte couleur chair, ou si elle n’a rien du tout pour couvrir son intimité. L’homme avait maintenant sorti un sexe de belle taille de son pantalon, et approchait sa tête du torse de sa belle. Samia respirait de plus en plus vite, et avait maintenant pris ma queue dans sa main et lui branlait franchement.
Le public arrive peu à peu. Son voisin a remarqué ce changement de position et, toujours aussi discrètement, il y dirige une main curieuse, alors que, de l’autre, il a conservé la main de sa voisine qu’il vient de lécher et la dépose sur son propre bas ventre. En quelques secondes, les deux inconnus d’il y a moins d’une demi-heure ont une main sur leurs sexes respectifs, certes, par-dessus les tissus du string pour madame, et du pantalon, pour monsieur, mais quand même! François déploie une agilité très efficace en dessinant du bout des ongles, la forme gonflée de la vulve de la dame, dont il ressent la chaleur et l’humidité.

-?Vas-y, je ne sais pas qui tu es, mais vas-y, baise-moi! Vas-y ! Baise-moi, baise-moi ! Défonce ma petite chatte! Vas-y ! Oui, c’est bon! Encore!
-?Tu aimes me voir comme ça, lui demanda-t-elle?
- ?Ça m’excite terriblement, mais je veux que ça te plaise aussi.
- ?J’aime ça, ce salaud me lèche bien.
- ?Je crois qu’il faudra le soulager après…
-?Oui, oui, je le ferai, et après, nous rentrerons et tu me baiseras toute la nuit
- ?D’accord ma chérie !
- ?Oh, je jouis! ?Je n’aurais jamais pensé en être capable, c’est dingue!
? - Tu m’as tellement excité ce soir! C’est impensable! Sacrés dés quand même!

En passant et repassant, en grattant légèrement le tissu fin du string, il attise les envies féminines et Patricia l’encourage par de petits gémissements qui accompagnent le roulis de son bassin sur le fauteuil. Elle n’est pas en reste et s’est engagée dans un jeu similaire en parcourant du bout des doigts la forme dure, ronde et allongée qui tend le pantalon de son voisin. Forte de ses multiples expériences en la matière, elle comprend qu’elle tient là un morceau de choix dont elle espère tirer (sic) le meilleur parti. Alors que l’homme poursuit son exploration et a écarté le bord du string pour explorer directement le sexe ouvert, sa complice se saisit délicatement, mais résolument des couilles qu’elle devine bien gonflées et remontées par l’excitation qu’elle a su leur communiquer. Et, comme un jeu qu’elle aime pratiquer en ces circonstances, elle glisse, effrontée, à l’oreille de son compagnon du moment. Il extirpe un engin de taille classique bien dessiné, qu’il met sous le nez de la dame qui semble subjuguée par ce mâle.

-?Que pensez-vous de cette queue, ma chère?
- Tu en as déjà vu une grosse comme ça, ma belle? Dit-il en l’astiquant de plus belle.
-?Euh… elle est belle, je l’avoue…
-?Très bien ! Dans ce cas, sucez-moi et faites-moi voir l’étendue de votre talent en la matière.
-Sors-la??aimes-tu être enculée?
-?J’adore ça! Mais vas-y doucement, s’il te plaît, avoue sans hésitation.
Patricia arborait un chemisier blanc et une jupe noire plissée à mi-cuisse. La large ceinture blanche serrée à la taille mettait en valeur ses hanches et son joli postérieur.
Un mini-soutien-gorge à demi balconnets et culotte assortie, elle complétait le tout d’un porte-jarretelles et de bas noirs. Les hommes et les femmes présentes, jetaient de furtifs regards et envieux, sur ces deux beautés qui se dévoilaient sans complexe.

- Ma femme est un bijou de sensualité, elle dégage un érotisme incroyable, elle a un corps exceptionnel.?Ma chérie, tu verras, mais, tu sais que pour moi, rien n’est plus important que ton plaisir. Je te connais si bien. dit le mari.
-?Chéri, je passe une soirée exceptionnelle.?Super soirée, mon chéri, je prends un plaisir fou.
- ?C’est diabolique Françoise, je reste sans voix, c’est incroyable, votre imagination est redoutable et je suis à la fois troublé et ému par votre toile.
-?Ouah, je suis totalement excitée et impatiente, et toi chéri tu sais ce que c’est.
-?Oui, je sais.
La texture comme l’odeur délicate de la bite lui plaisent d’emblée, et elle ne résiste pas longtemps à l’envie d’ouvrir grand la bouche pour couronner le tout de ses lèvres fines. Dure et chaude, la chair roule sous sa langue et la belle prend son temps à aspirer fortement de manière à branler l’homme comme si elle le faisait avec sa main. D’ailleurs, cette main, elle la glisse sous les couilles dont elle peut vérifier maintenant qu’elles sont bien pleines et prêtes à lâcher le nectar qu’elle apprécie tant. Son amant du jour s’évertue vainement à la branler pour essayer de gagner de vitesse la partie, mais il ne peut tenir très longtemps, face au talent de suceuse expérimentée de Patricia. Et, en effet, après quelques passages rapides de sa bouche sur le gland tenu, elle l’enfourne à nouveau en serrant le sexe à la base, et obtient sa récompense sous la forme d’une giclée chaude et gluante jusque dans sa gorge, dont elle goûte et apprécie la saveur.
 Alors, non sans quelques difficultés, elle ouvre les braguettes, y glisse des mains aventureuses, et finalement, il en extrait deux belles bites bien dures, qui semblent ne demander que ça.
-?Tu m’excites tellement, lui dit-il la voix pleine d’exaltation.
- J’adore le goût du sperme. Et toi, tu avales quand tu suces?
-?Il voit tes jambes, gainées de rouge, tes cuisses, drapées de leurs jarretelles noires, et, à la lisière de ta jupe cuivre relevée, il aperçoit le fin triangle noir de ta culotte. Cette harmonie de couleur, c’est beau ! Moi, je pense que tu dois le faire bander, et toi?

Elle ouvrit les yeux et tourna la tête. Elle vit que l’homme avait sorti son sexe de son pantalon. Il se masturbait en la regardant se faire doigter. À cet instant, il glissa son index en elle. Elle eut envie de gémir, mais elle se rappela soudain le film, la salle de cinéma, les gens. Elle ferma les yeux de nouveau.
Ses mains appuyées contre le froid carrelage mural étaient brûlantes et moites. Elle sentit une main se poser sur sa hanche et immédiatement après, la chaleur d’un gland venir presser contre l’entrée de sa chatte. Le membre viril s’engouffra en elle d’un seul coup. Patricia exhala. Il entama son va-et-vient. elle essayait de résister à la vague de plaisir qui l’envahissait. Elle le sentait, raide, s’agiter en elle sans retenue. Il donnait tout, tout de suite. Il la baisait de toutes ses forces. Julie se redressa en s’aidant des parois latérales. Ses fesses ondulaient sous l’effet des coups de boutoir. 
- Ohhhhhhhhh… Quand je sens son gland passer mes lèvres et s’enfoncer puissamment, je mords mes lèvres pour étouffer un cri de jouissance ; et ce n est que le début de ces coups puissants, je le sais.
-?Ma grosse bite?
-?Ta grosse bite, bien longue et bien raide!
-?Dis-le que tu l’aimes, ma pine! -?Une vraie diablesse qui se démène comme ça sur mon sexe et me fait vivre des sensations incroyables. 
?-? Chéri, si tu savais, je viens de passer un bon moment.?
?- Vrai? C’est merveilleux, vite, raconte-moi tout!
-?Qu’est-ce qu’elle est bonne, ta chatte ! tonna une voix grave.
-?Ma chérie, tu aimes te faire baiser comme ça?
- ?Oh oui!
-?Alors, dis-lui!
-?Vas-y, je ne sais pas qui tu es, mais vas-y, baise-moi ! Vas-y! Baise-moi, baise-moi  Défonce ma petite chatte! Vas-y ! Oui, c’est bon ! Encore !
- ?Oh, je vais venir! Tu vas me faire jouir ! cria-t-il.
-?Qu’est-ce qu’elle est bonne, ma chatte, hein ! lui lança-t-elle dans une parfaite symétrie de langage.
-?Quelle garce, quelle garce ! Je viens, je viens! lâcha-t-il en essayant de se retenir au maximum avant de se retirer.
-?Tu es bien?
-?Oh oui, je te sens bien, et toi ?
-?Je voudrais que nous restions comme ça jusqu’à la fin du film. Tu veux ?
-?Oui, mais je vais jouir.
- Tu me lèches, s’il te plaît…?
- ?Oh putain, c’est bon… Tu gouines super bien, salope!

Patricia se relève. Elle l’attire contre elle: elle veut manifestement goûter à ses lèvres le fruit de son plaisir. Nouveau baiser, aussi fougueux et violent que le premier. Sa robe refermés, mais toujours non boutonnés, comme convenu implicitement, ils quittent et rejoignent les deux qui ont avancé jusqu’au bar.

Le serveur plonge sans gêne son regard sur les magnifiques obus de sa femme et lui dépose son pur malt en le renversant presque. La blonde le gratifie d’un magnifique sourire, boit d’un trait sa coupe et lui dit:
-?Une autre, mon chou! Quel plaisir coupable, quelle vicieuse je suis! Lui dit-elle.
Le feu est rouge. Patricia en profite pour parfaire la pose de son rouge à lévres. La blonde aime l´image lui renvoie le retroviseur. Le mauve foncé qui colore la bouche tranche avec le palêr de son teint. Ses longs cheveux blondes sont disciplinés dans un chignon bas que acentue la féminité des traits de son visage. Le feu est vert, elle relacha son embrayage après un dernier regard pour son reflet. Il est 7 heures et trente quand elle arrive dans son lieu. Sentiment de liberté totale lorrque elle sort. Le week-end se profile et elle a bien l’intention de profiter de ces deux jours pour se de?tendre, libe?re?e du stress du travail… Le soleil l’illumine, comme si elle ne l’avait plus vu depuis des mois. Patrice respire profondément, ses poumons s’emplissent d’envie d’aventure; la vue est incroyable depuis ces hauteurs.
Elle rayonne. La peau cuivrée de ses cuisses nues ne cesse d’attirer mon regard, mobilisant, comme toujours lorsque nous sommes ensemble, l’entièreté d’une volonté que tous deux savons si faible en de tels moments. Pour le plus grand bonheur de ses sens, sa volonté cède brièvement une fois encore m’occasionnant ainsi un un shoot d’adrénaline dont les conséquences pourraient s’avérer fatales. Cette énième défaite de mon libre arbitre me permet un fugace aperçu du haut de ses longues jambes que les caresses du soleil d’été ont magnifiées. A l’instar d’un drogué pleinement conscient du danger qu’il encourt en cédant ainsi à une tentation qui pourrait le tuer mais s’élançant tout de même vers la promesse de l’extase, son regard se rue sur cette vision idéale au risque de s’y abandonner. Le garde de corps parle avec elle.
- Je te trouve tellement belle. J’ai envie de te toucher. Tu es magnifique! lui dis-je, je suis si heureuse de te voir!
-? Pourquoi pas! re?pondit-elle, avec un grand sourire. Viens… témoignant de mon envie de le sentir contre mon corps. ?J’ai envie que tu lèches mon sexe.
-?Tu vas me rendre dingue.
- Ça m’a beaucoup excité et ému. Je ne sais pas si je vais m’endormir tout de suite, mais je sais de quoi je vais rever.
- ?Comment tu arrives à faire ça? se questionne-t-elle.
- ?Faire quoi?
- ?Me faire jouir ainsi.
- Nous sommes comple?tement folles.

Sa robe sexy remontant pratiquement en haut des cuisses, elle entrevit sa petite culotte en dentelle qui laissait apparai?tre ses grandes le?vres, et elle de?couvrait sa belle poitrine enveloppe?e dans un petit soutien gorge assorti a? la culotte, la dentelle laissant deviner la forme des seins, bien galbe?s et, en transparence, les te?tons, puis elle fit glisser sa robe pour se retrouver en petite tênue. Il va ouvrir et il la découvre devant la porte, cheveux en arrière, rouge à lèvres, robe moulante bras nus, talon haut et sourire bienveillant…

Cela l’a réveillée. Tromper son mari? oui?! mais cela lui enlève quoi? rien! elle ne se sentait pas culpabilisée et quand l’occasion s’est reproduite cela ne m’a pas posé de problèmes particuliers. Carpe diem (profite du temps présent) est sa devise. Ils savent qu´ils venons de vivre érotisme, sexualité et pornographie comme on ne le vit qu’une seule fois dans une vie.

Fin
Ivan Ribeiro Lagos
Ivanribeirolagos20@gmail.com









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