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Zigzagant entre les badauds qui arpentaient le paseo de Marbella, comme les mulets dans le port, en bande et le nez au vent, je pédalais concentré sur leurs déplacements désordonnés. Quand devant moi, une tache bleu se décala d'un pas sur la gauche brusquement, afin de l' éviter je donnai d' instinct un coup de guidon pour me retrouver devant une poussette, freinant sec j' ai bien failli partir la tête la première, ma roue avant venant frapper légèrement les roues du carosse dans lequel un caniche royal y était confortablement allongé.
Toutes dents dehors, l' animal me lançait des aboiements furieux. Le plus curieux c'était sa patronne habillée à la Peter Selers dans la Cage aux Folles, elle m' insultait en allemand. Derrière moi la jeune femme que j'avais évité de justesse riait aux larmes, agacé je me retournais pour la calmer, mais là je fus frappé par la foudre ou tout comme. Elle s' excusait en anglais en brandissant son appareil photo me faisant comprendre qu' elle s'était reculé pour photographier cette curiosité à la volée. Mon «no problem» l' amena à me répondre tout naturellement «vous ne vous êtes pas fait mal?» en français cette fois, ou un truc du genre. L' adrénaline remonta rapidement tout le long de ma colonne vertébrale, si elle doit passer par là.
La coupable était magnifique, ses cheveux blonds étaient longs et bouclés, les yeux bleu, elle portait une robe légère bleu marine à pois blancs et à boutons sur le devant. L' ensemble portait certainement un label de qualité. Derrière moi l' allemande vociferait toujours, je repris mes esprits et le vélo de l' autre main j' entrainai l' apparition un peu plus loin à l' abri de ces vas et viens excessifs. Pas doué pour la drague j' allais remonté sur mon vélo pour continuer ma route quand je m' entendis lui dire : «j' ai rendez vous avec les dauphins, voulez vous m' accompagner?» Cette fois c' est elle qui resta bouche bée, je lui expliquais que j' allais à la marina pour sortir en bateau vers le large, quand le speed a eu lieu. Je ne sais pas si elle m'a imaginé sur le coup possesseur d' un yacht de vingt mètres, mais elle m' a juste fait remarquer qu' elle n' était pas en tenue.
J'ai du me montrer suffisamment convaincant ou son désir d' apercevoir Flipper fut le plus fort, elle emboita finalement mon pas jusqu' a l' embarcadère. En marchant on a eu juste le temps de se présenter, elle était belge, en stage dans une clinique que je connaissais.
Je lui expliquai que mon ami Roberto m' avait laisser les clés de son hors bord pendant son séjour à Marrakech et que l' état de la mer avait motivé ma décision de sortir mer.
Ayant sauté le premier à bord du croiseur, j'attendais qu'elle me lance son petit sac à dos, elle était pieds nus sur le quai, hésitante sur l' élan à prendre pour sauter à bord, je lui tendais la main mais trop tard, j' ai réceptionné l'ensemble à la volée dans les bras, l' embarcation tangua un maximum et nous avons eu beaucoup de mal à conserver l' équilibre, je l' aidais à regagner le roof en longeant le plat bord, elle voulu me rassurer en me disant que son père avait un voilier qu' elle aimait sortir avec lui et qu' elle avait donc une petite expérience de ce genre de choses.
J' allais m' occuper de mettre en place le moteur et déborder les amarres. Nous avons d' abord traversé le port à petite vitesse et dès le passage de l' extrémité de la jetée je mis les gaz, la mer était calme et lisse mais malgré tout le bateau sautait à chaque vague percutée. Tirant droit vers le large, je lui proposais de prendre le volant, aprés s' être fait prier un court moment elle vint se placer devant moi et je lui expliquai rapidement l' usage des manettes, debout tous les deux, je lui appris aussi à anticiper les chocs provoqués par la houle. Chaque vague la projetait contre moi. Elle avait beau s' agripper au volant, les embardées étaient rudes l' obligeant chaque fois à se lever sur la pointe des pieds pour amortir la claque, moi les mains sur la verrière je l' enserrai de mes bras pour éviter les écarts trop violents, en riant, sans doute pour me provoquer, elle enfonça à fond la manette des gaz et je me suis retrouvé projeté sur le siège pilote, là un souffle d' air releva sa robe jusqu' à sa nuque me faisant découvrir la couleur de son string, mon Dieu, et revoila l' adrénaline.
Assis je contemplais le vé dessiné par les ficelles de sa culotte remontant haut sur ses fesses somptueuses pendant qu' elle essayait de rabattre le pan parti dans les airs, elle abandonna rapidement la tentative, concentrée sur la meilleure façon de limiter les chocs;
N' en pouvant plus je pris pour alibi une secousse plus forte que les autres et ma main se retrouva sur sa hanche dénudée. Devant l' absence de réclamation, mon coeur jouant du tambourin, j' osais me déplacer sur le galbe de sa fesse, caressant le duvet blond erigé par le vent. Elle frissonna, était-ce le vent ou ma caresse? Pour stabiliser le point de vue j'avais coincé le bord de sa robe dans sa ceinture et les vibrations du moteur dégageant une onde positive, mes doigts se lancèrent dans un contournement de sa cuisse pour se retrouver côté face, imperceptiblement ils se glissèrent sous le tissu pour cette fois percevoir le départ de sa toison. Seconde réaction de sa part, ses fesses partirent en arrière avant d' écarter ses jambes pour améliorer son assise. Glissant de plus en plus vers son intimité je commençai à percevoir l' humidité de son sexe, mon index caressant son bouton elle serra ma main sans la retirer alors le majeur se lança dans la brêche, son bassin allant à sa rencontre, elle s' empala un peu plus.
Afin d' ameliorer ma prise je décidais de revenir par l' arrière. Baissant la ficelle à hauteur de ses genoux, je repris à deux doigts possession des lieux, elle fut immédiatement prise de convulsions car chaque mouvement était décuplé par les trépidations du hors bord lancé au maximum, son ventre gonflé trésaillait sur mes doigts tendus. Je tentais d' optimiser son plaisir, quand d' un geste brusque elle coupa le contact du moteur, assise sur mes genoux, elle se rejeta en arrière, ses mains jointes derrière ma tête, quand d' un mouvement brusque elle se cabra vers l' avant en poussant un cri, ma main était trempée. Le bateau continait d' avancer sur son air proche l'immobilisation complète, un coup d' oeil sur l' horizon, la mer était vide et silencieuse.
L ebas de ventre me faisait un mal de chien. Je me relevai d'un coup de rein l' entrainant avec moi vers l' entrée de la cabine. Je la basculais vers l' avant, le front sur la planche du tableau de bord. Enfermée depuis trop longtemps ma queue était congestionnée, un simple passage entre ses cuisses l' amena rapidement à l' horizontal, voire plus, mes deux mains passèrent alors devant le haut de ses cuisses facilitant l' intrusion, je m' enfonçai en elle lentement pendant qu' elle relevait ses talons, un rythme fusionnel ne tarda pas à déclencher le départ d' une onde de plaisir, accélérée par les mouvements de ses hanches. Attirant sa tête vers moi, je caressais ses seins tendus, pinçant ses pointes, son corps m' appartenait. L' estocade me fit souffrir et je restais pentelant et essoufflé un bon quart d' heure sur son dos.
Encore chancelant j' entrepris de récupérer les éléments de la banquette rangés à l' abri dans la cabine, pour améliorer notre confort. Elle m' aida maladroitement à établir ainsi la plage sur l' arrière du bateau, puis je redescendais pour prendre une bouteille d' eau et les serviettes de bain. Quand soudain je l' entendis crier «les dauphins! Les dauphins!» A vrai dire je les avais un peu oublié ceux là. Ma tête dépassant de la coursive je l' aperçus à quatre pattes nue sur les matelats, me tournant le dos, un banc d' une demie douzaine de spécimens croisait tout près par l' arrière. Impudique, elle ne me cachait rien des siens, elle s' avança jusqu'au plat bord et prête à basculer elle tendait sa main pour effleurer la surface de l' eau, quand à mon grand étonnement un dauphin s' approcha d' elle, quelle belle image.
Le cousin de Flipper sortait maintenant la tête de l' eau, elle était entièrement penchée vers lui, les fesses cambrées vers le ciel. Je m' approchais d' elle et assis sur mes genoux je déposais ma main sur sa chatte soyeuse. J' écartais ses genoux et me glissant sur le dos je me retrouvais sous elle, ma langue explorant sa fente, sensible à l' argument et oubliant l' animal elle pivota pour se retrouver en sens inverse face à Moby Dick, sa langue effleurait mon gland pour le faire disparaître lentement au fond de sa gorge, elle avait de la classe en toute situation, ses va et vient de plus en plus prononcés m' amenèrent proche de la convulsion définitive, puis se retournant de nouveau elle se plaça au dessus du pal. Décidée elle se sacrifia lentement jusqu' à la garde, sa tête en contre jour me masquait le soleil, ébloui néanmoins je ne sentais plus que la chaleur de son ventre, son bassin avait pris un rythme régulier qui faisait sursauter ses seins à chaque mouvements. Moi, je mordais mes lèvres pour reculer l' échéance, cassant la marche, la bloquant de mes deux mains au dessus de moi, je sortais totalement de son ecrin, pour la pénétrer violement d' un seul coup de rein, l' attente puis l' invasion subite semblait l' avoir rendu folle, d'autorité elle me chevaucha frenétiquement jusqu' au dernier spasme.
Vue du ciel, posé sur l' eau, notre bateau était au centre d' ondes concentriques qui partaient à la conquête de la Méditérranée. Le soleil baissant sur l' horizon je rabattis les serviettes complètement par dessus nos têtes, je sentais sa poitrine sur mon torse en sueur et son souffle chaud à mon oreille, je fermais les yeux, où es tu Amourdemavi?
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