Il y a 9 commentaires pour cette histoire
Cette histoire érotique a été lue 5329 fois |
Cette histoire erotique a une note de : 5.5/20
Noter ce récit erotique !
Je m’appelle Marion, j’ai 20 ans et j’habite en Belgique, à cinq kilomètres de la frontière française. J’ai terminé mes études pour devenir esthéticienne.Je travaille maintenant dans l’institut où j’ai fait ce stage que je vais vous raconter.
L’année dernière, j’ai dû chercher un institut voulant bien m’accueillir pour faire une période de stage et j’ai prospecté les différents instituts de ma zone. Il y en a une bonne douzaine, je n’ai eu que l’embarras du choix.
Les six premières visites se sont soldées par une réponse négative pour la simple et bonne raison que soit les patronnes avaient déjà accepté des stagiaires et qu’il n’y avait plus de place disponible, soit qu’elles n’acceptaient pas de stagiaires.
J’ai alors décidé de téléphoné avant de me déplacer pour rien. Quelques appels négatifs.Je commençais à désespérer.
Un appel fut encourageant. Quand j’ai expliqué le but de mon appel, la propriétaire en personne a pris la communication. Je lui ai expliqué que je cherchais un lieu de stage. La gérante m’a dit qu’il y avait une place disponible mais qu’elle voulait d’abord me rencontrer. Je lui ai dit que j’étais disponible immédiatement pour la rencontrer et elle m’a fixé un rendez-vous à 18 heures.
Je me suis présentée à l’heure, parfaitement coiffée et maquillée et bien habillée. J’avais un chemisier blanc avec une jupe verte qui se terminait 10 centimètres au-dessus des genoux et comme la température était encore bien fraîche en ce début d’hiver, j’avais des bas auto fixants de couleur chair. Pour terminer le tout, des chaussures à talons mais de hauteur normale, sans excès.
J’estime que lorsqu’on se présente pour un travail, la moindre des choses est d’être très correctement habillée. Plus encore dans un institut de beauté où la beauté est la raison d’être du lieu.
Le premier coup d’oeil est toujours le plus important. Je voulais mettre tous les atouts de mon côté. En outre, indépendamment de cette circonstance, j’aime être bien habillée ce qui pour mon futur métier est un atout très important.
A l’heure dite je pousse donc la porte de l’institut. Une dame est derrière le comptoir et compulse l’ordinateur en parlant avec quelqu’un au téléphone. Elle fixe un rendez-vous. Elle me fait signe qu’elle est à moi tout de suite. Quelques phrases encore et elle conclut :
- C’est bien ça, je vous attends la semaine prochaine, mardi à 17 heures. A bientôt monsieur Meurant, bonne soirée.
Monsieur Meurant ? Ai-je bien entendu ? Serais-je tombé dans un institut où les hommes sont acceptés ? Il s’avérera que c’est bien le cas.
Je me présente, je parle de mes études, de la durée du stage. La gérante pose quelques questions et me dit qu’elle attend d’une stagiaire d’être déjà très autonome et sûre de son fait. Elle ne voulait pas être tout le temps d’être derrière moi pour surveiller systématiquement ce que je fais, si je le fais bien ou pas.
Je l’assure que je suis très bonne élève, que j’adore mes études et que j’ai le sens des responsabilités. Elle ne demande qu’à voir.
Je lui donne les formulaires à remplir pour l’école et elle me parle de son institut.
Il y a 25 ans qu’elle exerce, la clientèle est nombreuse et il y a 15 ans qu’elle a ouvert sa clientèle aux hommes, ce qu’elle ne regrette pas du tout.
- Il y a de plus en plus d’hommes qui prennent rendez-vous pour un soin visage, pour un massage ou pour faire des épilations. Certains veulent le torse et le dos, d’autres les jambes, et bien sûr nous pratiquons les épilations maillots, à savoir l’épilation « maillot intégrale », c’est-à-dire pubis, sexe, testicules, fesses et sillon inter fessier. La totale donc, me dit-elle avec un grand sourire.
Mais rassurez-vous, ajoute-t-elle, les stagiaires ne s’occupent pas des épilations maillots hommes. Avant, je leur proposais de le faire, mais elles refusaient pour diverses raisons : gêne, peur de l’inconnu, peur de tomber sur des hommes indélicats. Comme je ne veux forcer personne, je n’ai jamais insisté. Je fais cela moi-même et bien sûr, mes employées le font aussi. Je suis compréhensive quand on est stagiaire, mais une fois les études terminées et le diplôme en poche, quand j’engage une personne, c’est à la condition qu’elle épile les hommes. C’est à prendre ou à laisser. Il y a d’autres instituts où on ne s’occupe pas des hommes. Il y a là des opportunités pour celles que la vue d’un homme nu indispose. C’est pourquoi, les deux collaboratrices qui travaillent avec moi font tous les soins proposés dans l’institut.
Alors que je ne me suis jamais occupée d’un homme puisqu’à l’école il n’y a que des filles, je m’entends répondre :
- En ce qui me concerne, même si à l’école il n’y a pas d’hommes, je n’ai personnellement aucun apriori et que je ne vois pas en quoi c’est un problème de s’occuper d’un homme.
- Je ne vois pas non plus, me dit-elle avec un grand sourire.
Ma candidature en tant que stagiaire est donc presque acceptée. La gérante veut d’abord de voir à l’œuvre durant une semaine. Je suis tout à fait d’accord pour faire un essai de quelques jours, durant les vacances de Noël. La patronne, prénommée Lorène, me demande donc de me présenter la première semaine des vacances.
J’ai presté une semaine histoire de montrer mon savoir faire. J’ai fait toutes sortes de choses, sous l’œil attentif de Lorène et de ses deux employées. Tout s’est très bien passé. La gérante était satisfaite de mon travail ; j’avais donc mon stage en poche.
Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net
Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique: