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La semaine suivante, le lundi, je me pointe à l’institut. C’est devenue une routine. Même si j’ai congé, j’ai pris l’habitude de passer à l’institut. Je m’attends à masser Lorène.
- Aujourd’hui, c’est moi qui te masse. J’en ai envie et il faut que toi aussi tu puisses en profiter, pas vrai ?
- Si vous voulez, moi cela me convient.
- A partir de maintenant, tu me tutoies, comme le font Nathalie et Tatiana, d’accord ?
- Si vous voulez. Enfin, si tu veux.
On est dans la cabine et je me déshabille, je remonte mes cheveux et je me retrouve nue sur la table et je me couche sur le ventre.
Lorène commence par me masser le cou. C’est très bon et elle prend son temps. Elle descend sur mon dos et ses mains caressent ma peau très doucement. C’est particulièrement bon. Elle descend sur mes fesses. J’adore cela. Elle les presse et les triture tout doucement, elle descend sur mes jambes jusqu’à mes pieds et remontent jusqu’au coup. Plusieurs fois ses mains parcourent ainsi mon corps.
Elle revient sur mes fesses et passe ses doigts entre elles. Immédiatement j’écarte un peu les jambes.
Après un bon moment, Lorène insiste de plus en plus entre mes fesses et passe un doigt sur ma rondelle. J’écarte les jambes au maximum et je me mets directement sur les genoux, la tête sur la table de massage. Lorène appuie sur ma pastille et son index entre dans mon cul. Elle va et vient dans mon cul et je l’accompagne en faisant des mouvements de va et vient.
Je me remets sur le ventre et elle reprend le massage en s’attardant sur mon dos et sur mes fesses.
Après un certain temps, elle me demande de me mettre sur le dos.
Je ferme les yeux et ses mains massent mon ventre et mes seins. Elle fait tourner les paumes sur les mamelons dressés. Une main sur chaque sein, elle prend les mamelons entre l’index et le pouce et elle les masse délicatement puis les pince tout aussi délicatement. C’est formidablement bon et je sens ma chatte s’humidifier. Elle masse mon bas ventre et s’attarde sur mon pubis lisse. Ses deux mains descendent sur une jambe puis sur l’autre. Elle remonte vers mon pubis et masse l’intérieur de mes cuisses. L’arête de la main touche mon sexe. Elle commence à passer une main sur ma fente et remonte vers les seins. Elle redescend vers ma fente. J’écarte alors les jambes le plus possible, elle passe une main sur ma chatte humide. Elle entre un doigt entre les deux lèvres et remonte jusqu’à mon clito. Elle le titille et il durcit. Mon petit bouton émerge de plus en plus. J’ai un clito assez gros et cette petite boule turgescente est devenue toute dure. Elle le caresse et le presse entre ses doigts. Elle sait y faire, la garce.
Je commence à gémir et à me tortiller sur la table. J’ai envie qu’elle mette sa bouche dessus. En fait j’ai envie de sexe.
J’ai envie de mettre ma main sur sa jambe et de remonter sous sa jupe pour remonter jusqu’à sa chatte. Mais j’hésite. L’envie est là, puissante, intense mais en même temps, j’ai peur de sa réaction. Après tout, la masser est une chose, la peloter pendant qu’elle me masse en est une autre, même si je l’ai déjà fait jouir.
Finalement, je m’enhardis et je laisse pendre main pendant qu’elle n’arrête pas de passer ses mains sur mon sexe trempé. Je touche sa jambe, elle s’arrête et me regarde. Je la fixe droit dans les yeux. Ma main passe sous sa jupe et commence à remonter, elle a un petit sourire. Je prends cela pour un accord et je remonte jusqu’au-dessus de la cuisse. Je touche son string et je caresse ses fesses. Je passe mon doigt sous la ficelle et je caresse sa rondelle.
- C’est moi qui te masse, je te rappelle.
J’arrête immédiatement. Elle prend son index et le passe entre mes lèvres elle l’introduit dans ma chatte et commence à tourner son doigt dedans. Elle le sort et le remet, je gémis de plaisir; elle introduit un deuxième doigt puis un troisième; elle me lime avec ses trois doigts et je mouille comme une folle.
- Incroyable ce que tu peux mouiller, me dit-elle.
- Oui, quand je suis excitée à mort, je mouille comme un dingue.
Ses doigts sortent complètement avant de renter dans mon sexe trempé. Quand elle les sort, je prends sa main et je lèche chacun de ses doigts. Elle se penche et sa bouche approche de ma chatte. Elle va me faire minette.
J’écarte les jambes et je les soulève. Sa langue passe sur ma fente et s’introduit entre mes lèvres. Elle remonte jusqu’à mon gros bouton et le titille. Elle prend mon clito entre ses lèvres et elle le serre. Elle l’aspire tout en le suçant. C’est incroyablement bon. Elle a une technique formidable pour sucer une femme.
- Tu es une incroyable suceuse, Lorène.
- J’aime ça et j’ai la chance d’avoir certaines de mes clientes qui sont chaudes et excitées et qui viennent aussi pour se faire. Tu le sais déjà.
- Je me doute qu’elles aiment aussi se faire prendre.
- Bien sûr. Elle va ouvrir un tiroir et en sort plusieurs gode-ceintures, vibromasseurs et gode ventouse. J’ai trois godes-ceinture, un par esthéticienne je vais acheter un quatrième pour toi ainsi qu’un vibromasseur supplémentaire.
Il y a donc des godes en bas et à l’étage.
Pendant qu’elle me parle, je me caresse délicatement. Lorène se déshabille en deux temps trois mouvements et vient vers moi. Elle m’embrasse fougueusement. Nos langues se cherchent, s’entortillent l’une sur l’autre. On a le souffle coupé tellement le baiser est long. On se regarde et on s’embrasse. Je mets mes mains sur ses fesses et je les triture.
- J’ai envie de sexe, lui dis-je alors.
- Moi, j’ai envie de toi, répond-elle.
Je me mets en levrette sur la table de massage et elle vient me lécher la chatte et remonte sur mon cul. J’adore les feuilles de roses. J’adore quand on m’en fait une, j’adore aussi le faire, que ce soit un cul de femme ou un cul d’homme. Peu importe.
Je me couche sur le dos et je lui demande de venir en 69. Elle vient se mettre sur moi et j’ai sa chatte bien lisse sur la bouche. Je peux la sucer tendrement, à mon aise en mettant un doigt dans son cul.
- Oh oui, suce-moi en mettant un doigt dans mon trou-de balle. J’adore ça.
Je la suce, je tourne mon doigt, je la lime, je le sors, le rentre, tourne dedans.
- Il te faudrait une bonne queue dedans, pas vrai.
- Oui, et en même temps, une dans ma chatte. Tu as déjà essayé ?
- Non, je n’ai jamais eu l’occasion. Par contre ce que je fais avec mon copain, c’est mettre un gode ventouse sur le sol sur lequel je viens m’empaler la chatte. Ensuite mon copain vient m’enculer. C’est ainsi que je pratique la double mais je rêve d’avoir deux vraies bites en moi, évidemment.
- Tu es une petite salope Marion et j’aime çà.
- Et toi, tu as déjà pratiqué le sandwich ?
- Evidemment. J’en raffole.
Elle me lèche divinement bien. Je ne peux pas résister et je jouis en, criant comme une folle.
Elle descend de la table et va chercher un gode-ceinture qu’elle se met. Je descend à mon tour de la table et je m’appuie dessus avec les avant-bras. Lorène vient derrière moi et elle me pénètre la chatte. Elle me lime tantôt avec la plus grande douceur, tantôt avec un rythme soutenu.
C’est follement bon.
Elle va chercher un gode ventouse et elle le plaque contre le sol. Elle déroule une capote dessus. Je viens de suite m’asseoir sur le gode. Il est bien profond dans ma fente Elle vient derrière moi et elle présente le gode-ceinture à l’entrée de ma rondelle. Je pousse vers l’arrière, elle pousse vers l’avant. Rapidement le gode disparaît dans mon cul. Je suis prise en sandwich et je gémis de plaisir.
- Baise-moi comme une grosse pute.
- Oui, tu es une pute, et j’aime les putes de ton style. On aime toutes faires les putes, Nathalie, Tatiana, toi et moi.
- Tatiana et Nathalie ont aussi eu droit au même traitement que moi en ce moment ?
- Bien sûr, qu’est-ce que tu crois. Ce sont deux salopes en chaleur qui adorent le sexe. Et ce que nous faisons en ce moment, je le fais aussi avec elle. Parfois on est toutes les trois. Un de ces quatre matins, on va baiser à quatre. Cela te dit ?
- Et comment, que ça me dit. Je vois ça d’ici.
Elle a accéléré le mouvement et j’ai joui dans un cri puissant.
- Tu jouis du cul ?
- Oui, je mouille du cul et je jouis par le cul. C’est trop bon.
On a alors pris une douche et on s’est rhabillées. Ensuite, je suis rentrée chez moi, fatiguée d’avoir joui autant.
Le lendemain, la semaine a recommencé à l’institut. Soins visage, soin du buste, pédicurie, manucurie, massage et épilation. Rien de nouveau sous le soleil. Le travail habituel.
Le morceau spécial s’est passé le vendredi. Ce fut le massage d’un homme. Le matin, Lorène m’avait demandé si je voulais bien rester un peu plus tard. Elle voulait que j’assiste au massage d’un homme. Nathalie et Tatiana étaient parties. Il est arrivé vers 18 h.
Je l’ai conduit dans une des pièces où il a pu se déshabiller et s’installer sur la table de massage. Lorène et mois nous papotions dans l’institut. Le client avait donné son accord pour que je sois présent.
Après quelques minutes, nous sommes entrées. Lorène m’a présenté à monsieur Marloix comme sa nouvelle stagiaire.
- Elle vient pour apprendre, a dit Lorène.
- Aucun problème pour moi. Effectivement il faut bien apprendre.
Lorène a commencé par le dos, les fesses et l’arrière des jambes. Ses mains massaient, pétrissaient le corps de cet homme. Lorène ne parlait pas, sauf de temps en temps pour demander si tout allait bien.
Après une vingtaine de minutes, elle s’est attardée sur les fesses. Ses mains passaient entres les fesses et elle titillait la rondelle du monsieur qui avait écarté ses jambes; je voyais ses grosses couilles sur la table.
Lorène enfonçait son index dans le cul de l’homme et le tournait doucement.
- Mettez vous sur les genoux, a-t-elle demandé.
Il s’est mis en levrette, la tête toujours sur la table et là elle a écarté ses fesses avec ses mains et elle a commencé à lui faire une feuille de rose. Je n’en revenais pas quelle s’occupe d’un client de cette façon.
Monsieur Marloix soupirait de plaisir. Tout en lui léchant l’anus, elle triturait sa queue raide et dure. J’étais un peu à l’écart et je commençais à mouiller.
Elle a demandé au client de se mettre sur le dos et elle a commencé à le masser. Il avait une queue normale, ni petite ni exagérément longue. En fait il était comme la très grande majorité des hommes. Les hommes montés comme des ânes, on les retrouve dans les films pornos. Ma grande habitude des plages naturistes avec mes parents et la fréquentation des saunas m’ont prouvée que les grosses queues, c’est vraiment très très rare.
Sa queue était étalée sur son ventre. Lorène massait le ventre et les jambes. Elle s’attardait sur les mamelons qui « pointaient ». Je ne savais pas que les hommes étaient sensibles des seins et que leurs mamelons pouvaient aussi se « dresser ». Le client semblait apprécier grandement quand Lorène tournait ses bouts de seins entre ses doigts.
Je savais que quand je baiserais avec mon copain, je lui ferais la même chose.
Elle a commencé à masser sa queue et ses couilles qu’elle palpait délicatement.
Elle passait ses mains sur la queue, tournait sa main sur son gland rouge d’excitation.
C’était excitant à crever. J’étais trempée et j’avais envie de me toucher.
- Tu vois Marion, m’a dit Lorène, pour certains clients, le massage est un peu spécial. Je te dirai avec qui tu peux faire ce que je fais, car ce n’est pas avec tout le monde, bien sûr. Monsieur est un client de la première heure donc il a droit a quelque chose de spécial pour le remercier de sa longue fidélité. D’ailleurs il est le mari de Hélène, que tu as déjà vue. Et en outre, inutile de te demander la plus grande discrétion.
- Bien sûr Lorène, tu sais que tu peux compter sur moi.
- Viens t’occuper de la queue de monsieur un instant, ainsi tu commences la pratique.
Je suis venue et j’ai pris son sexe dur en main. J’ai commencé à le masser délicatement et j’ai palpé ses couilles, je passais aussi ma main sur son cul. Il m’a sourit, je lui ai rendu son sourire.
J’ai levé la tête et j’ai vu que Lorène enfilait un des godes-ceinture. J’ai pensé qu’elle allait me demander de me déshabiller et qu’on allait faire une séance à deux pour le client.
Elle est allée dans un tiroir et en a sorti une capote qu’elle a enfilé sur le gode.
Elle a demandé à monsieur Marloix de se mettre debout, les avant-bras sur la table, exactement la position que j’avais adoptée le lundi matin.
Monsieur Marloix s’est exécuté. Lorène s’est mis à genoux et lui a léché le cul. Ensuite elle a mis le gode sur la rondelle de monsieur Marloix et elle l’a délicatement introduit dans son anus. J’étais sidérée. Je n’avais jamais vu ce genre de choses. Je n’imaginais même pas que ce genre de chose se faisait sur un homme. J’étais vraiment naïve d’avoir imaginé que les hommes n’aimaient pas se faire triturer le cul s’ils n’étaient pas homos.
Lorène sortait de son cul et rentrait dedans. Elle le limait doucement, avec régularité. Parfois elle accélérait la cadence. Monsieur Marloix gémissait de plaisir. C’était un spectacle excitant.
Je ne sais pas ce qui m’a pris mais je suis alors allée sous la table et j’ai pris la queue du client dans ma bouche. J’en mourais d’envie. Je lui ai fait une pipe pendant qu’il se faisait enculer. Je l’amenais au bord de la jouissance mais je m’arrêtais toujours avant l’éjaculation. Lorène m’a félicitée.
- Excellente initiative, Marion. Je pense que Monsieur Marloix apprécie à sa juste valeur.
- Oui, cette jeune dame suce merveilleusement bien. Et se faire enculer en même temps est tout simplement merveilleux.
Lorène a accéléré le mouvement. Le client gémissait de plus en plus.
- Fais le jouir, maintenant a dit Lorène et garde du foutre dans ta bouche, on va le partager.
Je l’ai sucé à fond et il n’a pas mis longtemps pour me remplir la bouche de son jus. Il en avait une incroyable quantité.
Lorène est venue vers moi et elle m’a embrassée. On a avalée chacune le foutre du client. Elle s’est précipitée sur sa queue et elle l’a nettoyée à coups de langues. Le mari d’Hélène gémissait de plaisir. Sa queue était encore hyper raide.
Lorène a enlevé le gode et nous sommes sorties de la pièce, laissant l’homme reprendre ses esprits avant de se rhabiller.
- Bravo, Marion, tu as pris une excellente initiative. L’avoir fait montre que tu es un élément précieux pour cet institut.
- Je ne savais pas que les hommes aimaient se faire enculer.
- Crois-moi, il y en a beaucoup qui aiment cela et des tas qui aimeraient avoir une femme pour le leur faire. Hélas, beaucoup sont coincées et pensent que l’homme qui aime se faire sodomiser est un homo. Rien à voir. Le plaisir anal est une chose naturelle pour les femmes Et les hommes. Nous sommes tous faits sur le même moule. Pas de raison qu’une femme aime se faire enculer et pas un homme.
- C’était hyper excitant. Je vais voir si mon copain est d’accord de faire cela. J’en doute.
- Tu verras bien. A propos, tu sais comment s’appelle cette pratique ?
- Non.
- En anglais c’est le pegging, en français c’est le chevillage.
J’avais appris plusieurs choses ce soir.
Monsieur Marloix est sorti, et il a payé, il m’a laissé un généreux pourboire de 50 euros. Il est parti et nous avons mis en ordre la salle de massage pour le lendemain. Je suis alors rentrée chez moi, excitée à mort par ce que j’avais vu et bien décidée à enculer moi aussi un homme, mon copain, en l’occurrence. Il allait falloir le convaincre…
Dès que je suis arrivée chez moi, je suis allée dans ma chambre pour me masturber comme une dingue.
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