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A 18 ans j'avais connu un été torride avec mon amant de voisin.
On devait se revoir l'été suivant, mais n'y tenant plus je lui demandé si je pouvais lui rendre visite chez lui à Nantes.
Dring dring
- Oh te voilà, bonjour, je suis bien content de te voir, entre me dit-il, tu es toujours aussi mignon, mets-toi à l'aise, assieds-toi sur le canapé.
- Merci, moi aussi je suis content de te retrouver
J'enlevais ma veste, j'étais habillé d'un pantalon un peu collant et d'un tee-shirt moulant, et lui était encore en peignoir, nu visiblement en-dessous, mais je voyais bien quelque chose grandir qui ouvrait le devant de son peignoir, je commençais à voir le bout de sa verge, et cela me plaisait.
- Un verre ? Tu es habillé sexy, j'aime bien.
- D'accord. Tu es beau en peignoir, tu sens bon.
Et pendant que je sirotais mon martini, lui m'embrassait dans le cou, sur mes épaules, c'était divin. Il me passait une main dans le dos, j'étais tétanisé et le laissais poursuivre en gémissant doucement.
Avec ses deux mains, il a fait ce que j'adorais en me titillant doucement mes tétons tout saillants avec deux doigts qui tournicotaient sur mes pointes dressées.
J'aurais fait n'importe quoi pour qu'il continue, je me cambrais entre ses bras, ma bite dressée était trop compressée, aussi prestemment j'ai enlevé mon pantalon et mon slip, j'allais et venais en frottant mes petites fesses rebondies, ma raie contre sa queue qui était sortie de son peignoir, chaude et un brin liquifiée d'une liqueur douce. Il avait largement ouvert son peignoir et son beau corps chaud se collait à mon dos de petit minet, et je rêvais de m'incruster en lui.
- Tu adores toujours mes caresses, cela me fait plaisir.
- Oh oui, je les adore, ne t'arrête pas s'il-te-plaît.
Après plusieurs minutes de ce jeu où je n'en pouvais plus de désir, il m'a installé au-dessus de son membre bien raide en salivant abondamment ma pastille gourmande.
Ran, il a posé ma petite entrée gourmande sur son gland, l'a enfoncé doucement, puis m'a empalé tout d'un coup, comme si on n'en pouvait plus d'avoir attendu. Ca y était il était en moi, j'étais empli de sa verge brûlante.
Quelles retrouvailles rapides.
Son sexe avait gonflé dans mon ventre et ses allées et venues m'excitaient de plus en plus. Ma verge était secouée par son pistonnage, elle grimpait en l'air rougie par le désir. Ses doigts sur mes tétons me donnaient des envies furieuses qui se transmettaient à mon ventre que j'agitais, cloué sur son membre.
D'un coup, je sentais mon éjaculation approcher, je voulais faire durer, et lui avait ralenti son coulissement.
Et puis nos envies nous ont submergées, on a accéléré nos mouvements, il me prenait dans des assauts de plus en plus frénétiques, je m'enfonçais avec délices sur cette tige brûlante, je la savourais, elle me rendait dingue d'envie, alors je suis parti dans un orgasme dément en criant ma jouissance :
- Aaaaaahhhhh........... Ahhhhhhh !!!!.......
Je partais, j'explosais sans même me toucher, je gerbais généreusement en dégoulinant sur ses jambes. Comme c'était délicieusement fou, insensé.
Un orgasme géant me secouait en spasmes successifs qui n'en finissaient pas. C'était incontrôlable, j'étais tout en jouissance permanente ...jusqu'à épuisement par tant de plaisir, devenu tout ramollo dans ses bras, les yeux encore papillonnés d'ivresse.
Lui a repris, en pistonnant avec ardeur mon petit cul de minet, j'ai senti qu'il ne pouvait plus se retenir bien longtemps, il m'a serré de toutes ses forces en me tenant par le torse et s'est cambré, son membre totalement raide en moi, j'étais de nouveau follement excité par son engin fou d'envie qui poursuivait ses assauts saccadés.
Alors il est parti en moi, explosant en plusieurs gerbes énormes et chaudes, 3, 4, 5, 6.... Il me possédait à nouveau, c'est que je voulais, il me tenait et m'emplissait, il se répandait dans mon ventre et je voulais tout son jus.
Ivres de plaisir, on s'est allongé sur son canapé, lui toujours en moi, moi bien empalé et heureux, tous les deux encore palpitants, humides, poisseux de nous deux, nous embrassant tendrement en amants retrouvés.
- Je t'aime, tu es délicieux me dit-il
- Je t'aime, tu es un amant merveilleux.
Nos retrouvailles commençaient bien, et comme on avait prévu que je reste chez lui tout le week-end, j'imaginais tout le plaisir qu'on allait s'offrir.
A suivre pour ce week-end d'amour
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