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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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Je viens d’avoir 30 ans. J’avais les cheveux blonds, Je mesure 1 mètre 69 et mes mensurations sont à peu près 85-65-90. Belles jambes aux mollets galbés. Petite poitrine mais ferme avec des mamelons clairs.
On est en hivers et je reviens du travail à pied, il est dix-huit heures trente. Après une longue réunion, nous avons fêté les bons résultats de l’entreprise et je suis un peu pompette. J’ai fais sensation avec ma petite tenue. J’arrive au pied de mon immeuble quand je vois mon petit frère de dix-sept ans avec deux de ses copains. Je leurs fais la bise et les fais rentrer.
Arrivées dans l’appartement, je quitte mon long manteau noir dévoilant ainsi ma robe en laine rouge qui m’arrive en haut des cuisses, je garde mes escarpins noirs dans les pieds car je dois repartir faire des courses.
_ On a amené de la vodka orange pour fêter les dix-huit ans de Paul.
_ C’est gentil d’avoir pensé à moi mais j’ai déjà bu quatre verres au travail, alors…
_ Tu préfères boire un coup avec tes collègues qu’avec ton frère ?
_ Bon d’accord, je vais chercher les verres. Je devais faire des courses mais tant pis
Je remarque qu’ils me déshabillent du regard mais j’aime bien. Et puis, si je m’habille sexy c’est un peu pour exciter les mâles !
Lorsqu’ils me servent je remarque qu’ils me mettent beaucoup plus de vodka et de noix de muscade que pour eux ( La noix de muscade est un excitant). Ils veulent me faire boire c’est flagrant. De plus ils se sont tous assis sur le clic-clac et m’on laissé le fauteuil juste en face d’eux, ils ont tous leurs portables à la main.
Nous trinquons au 18 ans de Paul.
_Alors vous allez faire quoi ce soir, qu’est-ce que vous avez prévu ?
_ Ben… Rien de spécial. Pourquoi tu veux nous inviter à manger ?
_ C’était pas prévu mais si vous voulez. Je vais faire des pâtes.
_ Allez on reprend un verre pour fêter ça. Et ils me resservent un verre comme le premier.
Je prétexte d’aller faire chauffer l’eau pour me lever car sinon ils vont me faire boire toute la bouteille. Je suis déjà bien attaquée je titube en me dirigeant vers la cuisine.
Les deux copains de mon frère se lèvent m’aider.
_ Laissez, on va s’en occupé, revenez vous asseoir.
Ils m’entraînent vers le fauteuil en me tenant par les hanches pour que je ne tombe pas.
Avec mes talons de 10 centimètres j’approche les 1m80, je les dépasse tous car le plus grand doit faire à peine 1m70.
Une fois assise, je croise vite les jambes car je sens qu’ils guettent mon entrecuisse.
_ Ca vous va très bien cette tenue avec ces escarpins.
_ Merci.
_ Vous vous habillez souvent aussi sexy ?
_ Ca m’arrive quand je sors.
_ Vous étiez au travail pourtant, c’était pour plaire à votre patron, c’est ça ?
_ J’avais une réunion avec la direction et on a fait un pot pour les chiffres. Alors j’ai mis cette petite robe.
_ Petite, petite, c’est le moins qu’on puisse dire !
Je sens que je vais être le centre de la discussion mais ça m’excite un peu et je vois que les trois jeunes aussi.
_ Pourquoi vous ne l’aimez pas. Je leur demande.
_ Si, si, ça vous va très bien. Si j’aimerai avoir une femme comme vous.
_ C’est gentil !
_ Et je vous obligerai à porter des robes comme celle-là !
_ Et si je ne veux pas ?
_ Vous le feriez pour moi et vous, ça vous ça vous plait aussi.
_ C’est vrai. T’as pas tord !
_ En plus vous ne porteriez pas de sous-vêtements mais toujours des chaussures à talons.
_ Je suis bonne sur deux choses aujourd’hui : La robe courte et je n’est pas de soutien-gorge. Mais j’ai une petite culotte !
Pendant la discussion, ils me font boire encore quelques verres. Je ne sais plus trop combien, trois, quatre ? J’ai les yeux qui brillent, je commence à rigoler bêtement. J’ai trop bu et l’alcool me chauffe l’esprit.
_ Et vous n’avez pas de copines ? Je leurs demande.
_ Non, non. On préfère les femmes mures.
Je m’aperçois que j’ai décroisé les cuisses et que les jeunes sont en train de filmer sous ma robe. Je les laisse faire en faisant mine de ne pas m’en rendre compte. Puis je croise et décroise les jambes ce qui remonte ma robe tout en haut des cuisses. Je le fais volontairement, je pense sous l’effet de l’alcool qui m’excite.
_ Tu es très bien rasé aujourd’hui. Me dit mon petit frère. Je me souviens qu’une fois tu avais des poils sur les cuisses et tu portais une minijupe.
_ Je me souviens, la honte !
Un autre gars me demande :
_ Et vous êtes rasé intégralement ?
_ C’est un peu personnel comme question, non ?
_ Allez, on est entre nous, alors, intégrale ?
_ Eh bien non !
Je me lèves, rajuste ma robe et je vais couper le gaz sous l’eau qui bout. Ils se lèvent tous les trois aussi et vont dans ma chambre, seul mon frère vient me voir.
_ Tu veux boire un autre verre ? Me demande t-il.
_ Non merci, je suis déjà à moitié pompette. Ils sont sympas tes copains. Un peu obsédé mais sympas.
_ C’est ta tenue qui fait ça. Viens te rassoire !
Ses copains sont dans mon dressing, à prendre des photos car je vois les flashs, alors je vais les voir.
_ Qu’est-ce que vous faites ?
_ Vous avez vraiment des chaussures à talons toutes les unes plus hautes que les autres. Et pour les jupes, y’en a certaines, on dirait des ceintures.
Ils parlent d’une minijupe noire ultracourte que mon ex a voulu que je porte un premier de l’an en discothèque. Ils sortent la boite de chaussure dans laquelle je cache des photos.
_ C’est vous sur ces photos. Ben dit donc c’est chaud.
Ils montrent la première série de photos avec mon premier ex.
_ On a trouvé des ceintures dans la chambre, c’est nickel !
Ils viennent me tenir par les bras et m’attachent aux quatre coins de la double porte qui mène au salon.
_ Qu’est-ce que vous faites, je ne veux pas !
_ Si tu cries on sera obligé de te bâillonner et on ne veut pas !
Je me retrouve écartelé, ne pouvant plus bouger du tout.
Un jeune se positionne derrière moi et me caresse les seins sur la robe.
Mes tétons ne tardent pas à gonfler.
_ Vous n’avez pas de soutien-gorge, vous cherchez vraiment les mecs.
En fait, je n’ai pas mis de soutien-gorge car sous ma robe moulante on le voyait.
Je me retrouve vite les collants déchirés et ma petite culotte coupée. Ma toison brune à la vue de tous.
_ Muriel, vous avez une coupe ticket de metro ! C’est osé. Eh, elle est toute mouillée la salope. Elle n’attendait que ça !
Je me sens totalement humilié dans cette position. Ensuite ils remontent ma robe sur les hanches et sortent mes seins de la robe par le grand col en V. Ils me les pétrissent et me pincent les tétons. Ils ont vites trouvés mon clitoris.
Mon frère filme toute la scène. Moi je ne dis rien à part quelque râle. Je subis mais c’est sans me déplaire. Ils sortent chacun leur penis en érection.
_ Non je ne veux pas. Leurs dit-je.
Alors mon frère posa les téléphones toujours en train de filmer et s’approche de moi.
_ C’est parti ! Dit-il.
Il me tient la tête et me fourre sa langue dans la bouche et me roule une pelle. En même temps je sens mon anus perforé par un sexe et mon vagin de aussi. Je pousse un cri de douleur mais arrêté par la langue de mon petit frère.
Mon frère se met ensuite à téter mes seins.
Je subis tous les assauts en poussant de longs râles. Je me rends compte, honteusement, que je prends plaisir à me retrouver dans cette situation. Ecartée et prise en sandwich !
Au bout d’à peine dix minutes ils jouissent en moi et leurs spermes coulent le long de mes cuisses.
Ils se rhabillent et me détachent.
_ Vous êtes des beaux petits salauds. Leurs dit-je, Je vais me laver.
_ Vous êtes une sacrée allumeuse !
Je pars prendre ma douche et je me rhabille avec ma robe mais sans collants. Lorsque je sort de la salle de bain ils sont tous partis. Ce qui m’inquiète c’est qu’ils ont filmé la scène.
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