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Toute la nuit, Sylvie tourne et retourne dans son lit. Elle a l’impression de sentir les doigts de Djamel dans son ventre, sentir sa queue dans sa bouche, sentir son sperme couler dans sa gorge. Toutes ses visions l’excitent. Elle ne peut s’empêcher de se caresser, en s’imaginant les scènes les plus torrides.
Le lendemain, Sylvie commence à décorer le grand garage attenant à la cuisine, pour l’anniversaire de son fils Lucas. Elle sait que Djamel va passer, aussi, comme convenu, elle est vêtue très sexy, mini jupe, petit haut, et bien sur, pas de culotte.
Elle est perchée sur l’escabeau, quand elle sent une main monter le long de ses interminables jambes. Elle a compris. Elle s’écarte pour que la main puisse atteindre son objectif. Elle sait que ça ne sert à rien de se braquer, quand un doigt caresse sa fente, puis pénètre la chatte. Un doigt, plus coquin, gratte le clitoris. Sylvie s’ouvre d’avantage, à la limite de l’équilibre. Elle commence à gémir de plaisir.
-Tu vois que tu te régales, sourit Djamel, ta chatte est toute mouillée.
-Ah…ah…c’est ta faute salaud, c’est toi qui la fait mouiller…tu sais ce qu’aime les femmes toi…en plus, j’ai rêvé de toi cette nuit…
-A bon, répond le jeune maghrébin, et on faisait quoi ?
-Tu t’amusais avec ma petite chatte…tu me faisais jouir, jouir…et jouir encore… comme maintenant…oh oui, t’arrêtes pas…ah…ah…je te sucerai après…
Sylvie, à la limite de la chute, a un orgasme terrible, envoie des coups de reins sur les doigts qui la fouillent. Lentement, elle se calme, descend de l’escabeau. Et là, une agréable surprise l’attend.
Arrivé à l’avant dernière marche, elle sent quelque chose de dur entre ses cuisses. C’est Djamel qui l’attend, la bite en pleine érection, entièrement décalottée. Doucement, Sylvie s’empale sur l’énorme calibre du jeune arabe, en poussant un cri de plaisir. Accrochée aux barreaux, elle entame des montées et des descentes. C’est la première fois qu’elle se fait baiser par Djamel.
A peine cinq minutes plus tard, elle atteint son deuxième orgasme dans un cri de plaisir. Elle saisit Djamel par la nuque, et lui donne un sulfureux baiser.
-Enfoiré, sourit-elle, tu crois que mes travaux vont avancer, si chaque fois que tu passe, tu t’amuses avec moi, hein ? Mais c’est tellement bon ce que tu me fais.
-Je te laisse, répond Djamel, je repasse en fin de semaine.
-Quoi, rouspète Sylvie, en fin de semaine…tu te rends compte, on est que mardi.
Djamel lui caresse la joue, et lui donne un tendre baiser. Il sait maintenant que Sylvie lui appartient, qu’il peut lui faire faire ce qu’il veut, qu’elle obéira.
Bien sur que le jeune maghrébin n’attend pas la fin de semaine. Il passe tous les jours voir Sylvie, la nique, se fait tailler des pipes. La jeune femme se soumet à tous les caprices de Djamel, elle n’en finit pas de jouir, sous les assauts de plus en plus vicieux de son maitre chanteur. C’est elle maintenant qui réclame sa dose de coup de queues.
Samedi. C’est l’anniversaire de Lucas. Beaucoup de jeunes des deux sexes sont invités. Des jeunes filles plus ravissantes les unes que les autres.
A la demande de son fils, Sylvie fait le service, alimente en pâtisseries, en boissons Certains l’invite même à danser, la drague, sous le regard sournois de Djamel.
Ce dernier décide en fin de l’inviter sur un slow langoureux.
-Alors mon chéri, murmure-t-elle à son oreille, ça va.
-Oui ça va, mais si tu savais comme j’ai envie de te baiser. Tu ne sais pas, tu vas aller à la cuisine. Tu baisses la lumière, et t’allonge toute nue sur la table.
-Quoi, mais ça ne va pas…rends toi compte si mon fils s’aperçoit de quelque chose.
-Bon, tu vas obéir. Tu veux que j’annonce que tu es ma chienne…ok, les copains, j’ai un petit truc à vous annoncer. Figurez-vous que ça fait quelques jours que…
-Non, s’il te plait, arrêtes, souffle Sylvie, c’est d’accord, je ferai ce que tu voudras.
Sylvie se retire pour se préparer. Finalement, la proposition lui convient. Elle aussi a envie de se le faire mettre. Elle va à la salle de bains pour se rincer, et s’installe sur la table de la cuisine, après l’avoir débarrassé des ustensiles gênant.
Dans le garage, les festivités se poursuivent. Djamel prend Lucas à part.
-Tu sais quoi, mon pot, je vais te faire un cadeau d’anniversaire, que tu n’es pas près d’oublier.
-A bon, répond Lucas, et c’est quoi.
-Ben, figure toi que j’ai branché une meuf, qui attend qu’a se faire niquer. Elle est à la cuisine, allongée toute nue sur la table. Mais attention, ne parle pas, ne dis pas un mot. Allez, viens, je t’accompagne.
Les deux copains arrivent dans la cuisine faiblement éclairée. Djamel s’approche, caresse la chatte de Sylvie, puis prend Lucas par le bras. Ce dernier caresse le corps superbe de la fille, ses magnifiques seins, au bout érigés.
Puis il baisse son bermuda, s’approche de l’entre jambes. Lentement, il taquine le clitoris avec son gland décalotté, et pénètre la chatte pleine de mouille.
Sylvie feule de plaisir en sentant la bite s’enfoncer en elle.
-Oh oui salaud…vas-y, baise moi, j’ai tellement envie de sentir une grosse queue dans la chatte…j’aimerai que tu m’encules aussi, ça fait si longtemps qu’on ne m’a pris au petit trou…je veux que tu craches dans ma bouche aussi…
Djamel n’en croit pas ses oreilles. Il entend les cris de Sylvie résonner dans la cuisine, l’orgasme est terrible.
-Oh oui mon chéri, vides toi les couilles, prends ton temps…c’est bon tu sais…
Lucas pousse un « han » de bûcheron, quand il se vide les couilles dans la bouche de Sylvie. Celle-ci va même jusqu’à nettoyer le gland avec sa langue.
La fête se termine vers deux heures du matin. Discrètement, Sylvie embrasse Djamel, le remercie pour le plaisir qu’il lui procuré sur la table de la cuisine.
Djamel répond au baiser, puis s’en va.
Le lendemain, Sylvie et Lucas se retrouvent au petit déjeuner.
-Alors mon chéri, ta soirée s’est bien passé. T’as du avoir de beaux cadeaux.
-Oh putain, répond Lucas, si tu savais maman. C’est Djamel qui m’a fait le plus beau, incroyable.
-A bon, ce doit être vraiment bien pour que tu le prennes comme ça. Dis moi tout mon chéri, je suis ta maman, tu peux me faire confiance.
-Ben figures toi que, dans la soirée, il a branché une chaudasse, et lui a demandé de l’attendre à la cuisine. Il m’a invité à le suivre. Dans l’obscurité, il a pris ma main, et l’a guidée entre les jambes de la fille. Je lui ai gratté la chatte pour qu’elle soit bien mouillée, doigté son petit bouton…ouah, comme il était dur…bref, elle était prête. Je me suis mis à la baiser. Putain, tu l’aurais entendu gueuler cette salope… puis, j’ai changé de trou, je l’ai prise au petit…comme elle bougeait son cul quand je l’enculais…pour finir, elle m’a taillé une pipe…elle a tout avalé, et m’a nettoyer le bout de ma queue avec sa langue…je ne sais pas qu’elle âge elle avait, mais elle était super bonne. Je ne pouvais espérer meilleur cadeau.
Sylvie a l’impression que la terre s’écroule sous ses pieds. Elle se prend le visage à deux mains. Elle est en train d’apprendre qu’elle s’est fait baiser par son propre fils, et qu’en plus, elle y a pris du plaisir, qu’il la fait jouir à plusieurs reprises.
Djamel a monté le coup de toutes pièces, pour l’humilier, il l’a trahi. Elle le hait.
-Ca ne va pas maman, je ne te sens pas bien.
-Si mon chéri, ça va, un peu fatiguée. Je vais m’allonger un moment.
Une fois couchée, Sylvie se met à pleurer toutes les larmes de son corps.
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