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Voisins de lotissement depuis vingt ans avec une ravissante brune, nous échangions quelques banalités lors de nos rares rencontres chez les commerçants du village, il y a 6 mois je passe devant chez elle, le capot de sa voiture était levé, elle avait l’air embêtée, je me suis arrêté et je lui ai proposé mes services en bon voisin sans arrière-pensée, je me suis vite aperçu que la batterie était à plat, je suis allé chercher des câbles de démarrage et j’ai démarré sa voiture, elle m’a remercié, et tant que le moteur tournait sur mes conseils elle est partie au garage se faire recharger la batterie, jusque-là rien ne prédisait ce qui va suivre, le surlendemain ma femme venait de partir faire des courses avec ma fille, je bricolais devant ma porte quand je l’ai vue passer à pied devant chez moi, je l’ai salué et lui ai demandé si tout c’était bien passé chez le mécano, oui me répondit elle me remerciant encore une fois, après quelques banalités elle me proposa de passer un de ces aprèm boire un café ou une bière, j’acceptais, elle me précisa qu’elle ne travaillait que le matin et en conséquence je pouvais passer n’importe quel aprèm quand je le souhaitais, pour moi c’était une simple invitation pour me remercier, comme elle habitait une rue parallèle je ne voyais pas si elle était chez elle ou pas, le vendredi je passe devant sa maison en voiture, la sienne était devant sa porte, je m’arrête, elle me vois et me fait signe de la rejoindre à l’intérieur, pour la première fois depuis vingt ans on se fait la bise, elle me propose un café que j’accepte, elle va dans la cuisine, elle a une jolie petite robe fleurie assez courte mais pas trop, je la détail et je m’aperçois que finalement je ne l’avais jamais vue avec ce même intérêt, pas grande environ 1m65 mince, de belles jambes, quand elle s’est penchée pour déposer le plateau j’ai aperçu la naissance de deux jolis seins, elle a vue où mon regard s’attardait, elle rougie et détournât son regard du miens, elle s’est assise en face de moi ce qui a provoqué que sa robe remonte sur ses jambes, nous avons bavardé un long moment, quand j’ai voulu partir elle m’a retenue me demandant gênée et en rougissant si elle me plaisait, j’en ai eu le souffle coupé, je ne m’attendais pas à ça, je lui dis que oui, qu’elle était très belle, comme elle venait de se déplacer légèrement sur son fauteuil et que sa robe était remontée un peu plus j’ai eu de suite une érection en voyant ses belles cuisses, elle s’en ai rendu compte et a détournée son regard de mon entre jambes, je me suis levé et je me suis rapproché d’elle, je me suis penché et nous avons échangé un long baiser, mes mains se sont égarées sous sa robe, elle s’est levée, tout en l’embrassant et la caressant je la lui ai enlevée, elle n’avait pas de soutiens gorge, j’ai longuement embrassé ses jolis seins bien fermes m’attardant sur ses bouts que je titillais avec le bout de mes dents, elle se dandinait, j’ai compris qu’elle en attendait plus de moi, je l’ai prise dans mes bras et je l’ai emmenée dans la chambre, je l’ai déposée au bord du lit, tout en embrassant ses seins et son corps, je lui ai enlevé son mini slip et ma bouche est descendue jusque son bel abricot gonflé par le plaisir naissant, j’ai écarté ses jambes et ma bouche s’est emparée de ce divin fruit déjà humide que j’ai embrassé, léché, ma langue l’a pénétrée, je me suis emparé de son petit clito que j’ai sucé, aspiré, tout en lui caressant les seins qui durcissaient, je roulais les bouts entre mes doigt, elle s’est renversée en arrière, elle s’est cambrée et j’ai senti sa cyprine envahir ma bouche, elle venait de jouir, je me suis déshabillé, elle était toujours assise au bord du lit, je lui ai présenté ma bite qu’elle a gobé, elle m’a sucé, je l’ai allongée sur le lit et nous avons pratiqué un 69, elle a jouis une fois de plus, je me suis placé entre ses jambes et je l’ai baisée, je me suis retenu au maximum et quand n’y pouvant plus, j’allais éjaculer elle s’est crispé, à fermer les yeux, a gémis et là j’ai laissé partir tout mon jus dans cette bonne chatte, je me suis allongé sur elle, mon sexe toujours bien au fond, on s’est embrassés et nous somment restés dans cette position jusqu’à ce que je débande, depuis le début nous n’avons pas échangé un seul mot on s’est levés, passage à la salle de bain, on s’est lavés, habillés, retour au salon, là elle m’a dit que c’était la première fois qu’elle trompait son mari qui depuis quelque temps était distant et surtout moins demandeur de sexe, elle à 45ans, elle en voulait toujours autant, et cela faisait plus de 15 jours qu’elle n’avait pas fait l’amour, pendant la discussion je me suis rendu compte que je connaissais son nom mais pas le prénom, je le lui dis et elle s’est mise à rire en me disant que pour elle s’était pareil, moi s’est Colette mais on m’appel Co, à mon tour je lui dis que je me prénommais Michel, nous avons parlé de nos envies et nos pratiques, pour ma part j’aimais bien de temps en temps jouir dans la bouche de ma partenaire, de son côté elle aimait aussi recevoir le jus dans sa bouche, et la sodomie ne la dérangeait pas si c’était fait en douceur, nous avions mis cartes sur table, elle est venue s’assoir sur mes genoux, m’a traité de coquin car elle sentait que je bandais, je lui promis de venir la voir le plus souvent possible, après un long baisé que j’ai accompagné de caresses sur ses seins, je suis parti, le lendemain je la rencontre au super marché, j’avais repéré sa voiture et je me suis garé à côté d’elle, je n’avais qu’une bricole à prendre donc je me suis dépêché et je l’ai cherchée, je l’ai trouvée qui se dirigeait vers une caisse, je suis arrivé en même temps qu’elle, nous nous somment salués, discrètement je lui dis où j’étais garé, avec un beau sourire elle m’a priée de passer avant elle, évidemment je l’ai attendue près de sa voiture, quand elle est arrivée elle avait le regard pétillant, à contre cœur on s’est fait la bise sur les joues, elle m’a fait savoir qu’elle avait très apprécié notre séance et que si je voulais la voir il fallait que ce soit le surlendemain au plus tard sinon ça repousserait a la semaine suivante car son mari serait en weekend vendredi après-midi, je lui promis de faire le maximum, profitant que le haillon était levé on s’est embrassés, elle a pris ma main et la posé sur son sexe, j’ai senti au travers de sa jupe qu’il était humide, j’étais en érection et elle me caressait l’entre jambes, on devenait imprudents, je le lui dit, elle a fait la moue, un bisous et on s’est quittés à regrets, le lendemain impossible de trouver un moment pour m’échapper de chez moi, j’ai quand même trouvé le moyen de la prévenir nous étions déçus tous les deux, mais plein d’espoir pour le lendemain, ma femme garde des enfants elle est assistante maternelle, aussi elle ne sort pas de la maison quand elle a les petits, jeudi la chance nous sourit, ma femme a trois petits à garder dont un bébé, je sais qu’elle ne bougera pas de la maison, j’en profite pour retrouver Co, elle me reçois dans sa jolie robe fleurie, direction de suite la chambre, je lui dégrafe la robe que j’enlève, elle est nue, j’apprécie la beauté de ce corps légèrement bronzé, je me dénude, elle se couche sur le dos, on entame un 69, je m’occupe surtout de son clito, elle adore ça, elle me lèche la queue et les couilles, elle l’engloutie, elle remue le bassin, je sais qu’elle va jouir, je reçois sa cyprine sur la langue mais je continu à la sucer, je sens à mon tour que je vais jouir, je le lui dis, elle met ses bras autour de ma taille enfourne ma bite bien à fond et je me répand au fond de sa bouche, elle déglutie, continue à me sucer tout en avalant mon sperme, on reste dans cette position un long moment, on se couches côte à côte, pendant que je la caresse elle joue avec ma bite, après un certain temps je me remet à bien bander, elle vient se positionner sur moi et elle s’empale, c’est elle qui se baise, je l’accompagne par des coups de reins, après de longs va et viens je sens son jus couler le long de ma bite et me mouiller les couilles, à sa bouche pincée je sais qu’elle vient de jouir une fois de plus, sans me prévenir elle sort ma queue de sa chatte et change de trou, je la laisse faire, ma queue est trempe de son jus aussi elle pénètre assez facilement son anus, par petites étapes elle s’enfonce sur mon pieux bien raide, elle arrive au fond je sens mes couilles contre ses fesses qu’elle écarte de ses mains pour aller encore plus loin, elle s’encule très doucement au début et de plus en plus vite et toujours bien à fond, avec frénésie, elle ferme les yeux, gémie, me serre la taille de ses deux mains, elle va jouir, je sens une onde de chaleur m’envahir, il y a longtemps que je n’ai pas jouis aussi fort et je me répands par de longs jets dans ce cul accueillant, elle reste embrochée sur ma bite, elle me regarde avec un grand sourire, je veux me relever pour l’embrasser mais elle me tiens fermement pour que ma queue ne sorte pas de ses entrailles, je sens mon sperme couler sur ma bite et mes couilles, je commence à débander, on se sépares, on va se laver mais on ne se rhabilles pas, on sait que ce n’est pas fini, on veut en profiter au maximum on est dans le salon, elle se penche pour arranger un coussin du canapé, devant le spectacle de ce bel abricot luisant et légèrement entrouvert je ne peux pas m’en empêcher et je la prendre en levrette, par ses mouvements qui accompagnent les miens je sais qu’elle aime ça et je la baise à la sauvage, je me retire avant de jouir, elle s’empare de ma bite et la suce pour que j’éjacule dans sa bouche que je remplis, elle me regarde droit dans les yeux, elle avale mon suc, passe sa langue sur ses lèvres, se relève, flute il est déjà 17 heures, je l’entraine au lit et je m’occupe de son abricot doré, elle ne tarde pas à jouir, et pour la première fois je bois sa cyprine, on s’embrassent tendrement, on se laves, s’habille, on reste un long moment collés l’un contre l’autre, un dernier baisé et je repart chez moi, on ne se verra plus pendant 3 jours, dimanche je l’aperçoit au marché, je m’assure qu’elle est seule, je l’aborde, elle me dit être déprimée, son mari s’est fait mal à une cheville et il est arrêté pour au moins 15 jours, je suis ko debout, nous n’avons pas de solution pour nous retrouver dans un lit, je lui propose de prendre une chambre d’hôtel un jour dans la semaine, elle accepte mais il faut définir quand nous pourrions nous libérer le même jour, 5 longs jours se passent sans que nous ne nous voyons, le sixième elle passe devant ma maison, je prétexte d’aller acheter un outil et je pars la rejoindre sur le parking du super marché tout au fond pour que ce soit plus discret, elle est là à m’attendre, j’arrive elle a un grand sourire, personne alentour, on s’embrasse, elle me dit avoir une très bonne nouvelle, j’ai pensé que son mari allait mieux et qu’il retournait travailler, mais non il en avait encore pour une bonne quinzaine, devant mon regard interrogateur elle me dit avoir un plan près de chez nous, elle a une amie qui est au courant de notre liaison et qui lui a proposée qu’on se retrouves chez elle, elle lui a donné un jeu de clés, on pourra y aller dès demain sans problème, Co est aux anges, moi aussi, je la caresse, l’embrasse, je passe ma main sous sa robe, elle n’a pas de slip, je mouille mes doigts et je la branle, elle veut me sucer mais ce n’est pas l’endroit idéal, elle jouis, je lui pose une question qui me taraude depuis notre première fois « tu jouis toujours autant de fois ? » oui depuis toute jeune, 2 jours plus tard on se retrouves chez son amie, comme d’habitude on fait l’amour comme si c’était la dernière fois, après plus d’une heure, exténués, on se retrouves dans les bras l’un de l’autre, et là elle me pose la question fatidique « est-ce que tu m’aime ? » honnête je lui réponds que je ne sais pas, je pense plus à une passion plutôt que de l’amour avec un grand A, elle soupir et me dit ressentir la même chose, sur ce nous avons refait l’amour, elle a voulu que je la sodomise, elle s’est mise sur le dos, ses deux jambes sur mes épaules, je l’ai enculée doucement, tendrement, puis elle m’a demandée de lui démonter le cul ce que j’ai fait, elle se masturbait en même temps, quand elle a gémit j’ai jouis avec force en même temps qu’elle, on s’est levés, lavés, le moment de ce quitter est arrivé, elle est restée pour ranger la chambre et la salle de bain, pendant que son mari était en arrêt nous nous somment vu plusieurs fois chez son amie, un jour son amie était là, nous avons fait connaissance, tout le contraire de Co, grande blonde, des yeux verts, un regard pénétrant, après quelques minutes j’ai voulu partir mais Co m’en a empêchée, discrètement elle m’a demandée si je voulais faire l’amour à Sylvie sa copine pour la remercier, je lui dis que ça me gênais, Co se leva et nous dit devoir rentrer, son mari devait aller chez le médecin et elle devait l’accompagner, je suis resté tout penaud mais ravis, Sylvie me dit que si elle n’était pas à mon gout et que je ne voulais pas ce n’était pas grave, je n’avais pas l’intention de rater une aussi belle occasion, je me suis approché d’elle, je l’ai prise par la taille, je l’ai embrassée, elle a ouvert son corsage et j’ai pris ses seins dans mes mains, ils était fermes, ronds et durcissaient au fur et à mesure que je les caressaient, j’ai défais la taille de sa jupe qui est tombée à ses pieds, elle ne portait pas de slip, elle m’a littéralement déshabillé, je l’ai assise sur le canapé et je me suis occupé de sa belle chatte épilée, au bout d’un bon moment elle a dandinée du bassin et j’ai recueillis sa cyprine sur ma langue, elle a voulu que je la prenne là dans le salon en levrette, je me suis exécuté, pendant que je la baisait je lui caressais les seins, sa respiration est devenue plus forte, ça m’a déclenché un orgasme, j’ai jouis par de longues saccades de sperme, elle griffait le canapé, elle a eu un énorme orgasme, on est restés dans la même position jusqu’à ce que je débande, elle m’a embrassé, je ne savais plus quoi penser, Co ? Sylvie ?, que faire ? Que dire ? La réponse s’est imposée d’elle-même, pourquoi pas les deux, Sylvie s’est mise à genoux pour me sucer, je lui ai proposé d’aller plus tôt dans la chambre, elle s’est empressée d’accepter, nous avons refait l’amour, elle aussi aimait avaler, aussi elle m’a demandé de ne pas jouir dans sa chatte mais dans sa bouche ce que j’ai fait, elle était libre surtout le matin, elle m’a avoué qu’avec son mari ils était un couple libertin et avoir déjà eu plusieurs aventures avec des couples ou des hommes seuls, elle a appréciée des doubles pénétrations anale et vaginale et doubles vaginale mais elle voudrait essayer la double anale, mais pas avec son mari il a une trop grosse queue, et une de plus ne rentrerait pas, avec deux comme la mienne elle essaierait bien volontiers, j’ai contacté un pote avec qui j’avais déjà pratiqué la double anale sur sa compagne, il a de suite dit oui, on s’est calé une matinée et après l’avoir bien baisée elle a eu sa double anale, je me suis couché sur le dos, elle s’est empalée sur ma queue, elle s’est penchée vers moi, Claude mon pote a présenté sa bite et a commencé à la prendre, elle a hurlée, on a voulu arrêter mais elle a refusée, donc doucement mais surement Claude a continué sa progression avec beaucoup de gel, elle avait mal, a crié, pleuré, les larmes de Sylvie coulaient sur mon torse, avec Claude nous avons coordonnés nos mouvements et on l’a enculé, après un bon moment elle ne pleurait plus, d’une main elle se branlait et elle a jouis, nous somment restés emboités tous les trois, elle m’embrassait, m’a dit être très heureuse d’avoir réussi, elle n’a pas retenté l’expérience, notre liaison a duré environ 1 an en alternance avec Co que je rencontre toujours une fois par semaine, parfois deux mais très rarement.
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