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« Pourquoi m’as-tu trompée ? »
C’est ainsi qu’Aurélie s’exclama en rentrant dans mon bureau…
En pleine négociation d’un divorce – je suis avocat – cela jette un froid dans la pièce. J’essaye de la calmer, lui exprime ma compréhension et la dirige vers le secrétariat où je lui demande si nos vies sont pleinement épanouies.
Le temps de sa réflexion, je m’éclipse pour reprendre ma tâche tout en m’excusant platement pour cet intermède.
Le dossier refermé, je me dirige vers ma secrétaire qui m’explique avoir longuement discuté avec ma femme. Celle-ci est rentrée à la maison et attendra mes explications ce soir.
Aie ! Pas de chance, à la veille du we de la pentecôte, j’avais prévu une escapade chez ma maîtresse. Je lui téléphone pour renoncer à notre soirée. Elle râle, m’engueule et me raccroche au nez…
Il semble que je n’arrive pas à m’entendre avec les jeunes femmes ! J’ai 47 ans, une fille de 21 ans issue d’un premier mariage. Lisbeth, 20 ans, ma maîtresse est encore à l’université où je l’ai rencontrée lors d’une de mes conférences. Quant à Aurélie, elle a 28 ans et après son divorce que je lui ai gagné, nous avons amorcé une sensationnelle idylle de plus de 2 ans mais depuis la naissance de notre fils – déjà 3 ans – notre couple vivote…
De retour à la maison, je gare la jaguar et constate que la BMW d’Aurélie n’est pas là ! Le temps de me changer, de piquer une tête dans la piscine, j’entends les pneus crisser sur le gravier… La tension ne semble pas être retombée !
Je sors de l’eau, m’éponge et rejoins ma femme dans la cuisine…
« J’ai conduit Diego chez mes parents pour le we. Nous aurons ainsi l’occasion de discuter mais si tu as des griefs, sache que je ne suis pas en reste » me dit-elle en préambule.
Evidemment que j’ai un paquet de reproche à lui balancer, ne serait-ce qu’au niveau sexuel. C’est d’ailleurs de ce côté-là que son mariage avait capoté – « le désert de Gobi » aux dires de son ex !
Mais aux débuts de notre relation, elle m’avait prouvé le contraire. Bien que timorée, elle m’avait donnée du plaisir jusqu’à plus soif. De plus, elle était attentive à mes souhaits et avait même trouvé la manière de me prodiguer des massages prostatiques lors de glorieuses fellations. Elle ne se privait pas non plus pour quémander quelques gourmandises avant de demander l’explosion de son œillet…
Tout cela est du passé car les rares fois que nous faisons l’amour se résume à quelques caresses et un missionnaire vite terminé !
« Tu n’es jamais là quand il faut ! Tu rentres et t’installes devant la TV ou l’ordi… Parfois tu daignes t’occuper de Diego mais je reste partie insignifiante. Plus de WE romantique ni même un coup de main pour dresser la table ou m’aider dans les tâches ménagères… C’est à peine si tu me touches encore ! Maintenant, je comprends ; tu baises ailleurs mon salaud ».
A cela, je réponds calmement « Le peu de fois que je te touche, tu me repousses. Et quand je suis en ta présence, j’ai toujours envie de Toi. Alors, passer le WE ensemble à se regarder dans le blanc des yeux, non merci ».
« Tu as le culot de dire que tu as envie de moi mais tu vas te soulager ailleurs ! »
« Je ne suis pas le premier… »
« T’es encore plus salaud que Pierre (son ex-mari). Fout le camp, je ne veux plus te voir aujourd’hui »
Sur ce, je prends un yaourt dans le frigo et sors sur la terrasse. La soirée est belle mais elle va être longue !
La nuit tombée, je monte me coucher mais la porte est fermée à clef. Heureusement, le lit de la chambre d’ami est accueillant.
Au matin, je découvre un post-it sur le frigo : « Partie faire du shopping avec Isabelle… (sa meilleure amie)».
Je passe la journée à bricoler, tondre le gazon et nettoyer la piscine dans laquelle je me retrouve en soirée. Alors que le soleil se retire pour la nuit, j’entends Aurélie rentrer, sans crissements, plus calmement. Je refais quelques longueurs avant de la rejoindre mais, oh surprise, c’est elle qui vient nager et me frôle au passage… Elle porte son bikini rose qui moule à merveille ses seins lourds. Sa présence insolite et cette vision paradisiaque font relever mon sexe. Elle est mon fantasme perpétuel. Je m’arrête pour la regarder nager et quelques brasses plus tard, elle vient s’agripper à moi pour faire une pause. Elle me serre dans ses bras tout en me dévisageant longuement. Au bout de longues minutes, elle éclate de rire tout en me disant que je grisonne sur les tempes. Cela dit, elle m’embrasse fugacement, scrute de nouveau et replonge sa langue dans ma bouche. Cette fois, ce ne sont plus ses bras qui m’enlacent, c’est tout son corps : jambes, ventre, torse, bras, bouche ! Nous ne faisons plus qu’un.
Puis, elle s’écarte d’un bon mètre en déclarant « Je pense que tu as raison sur certains points, je t’ai délaissé ces derniers temps mais comme tu ne disais rien, je me suis enfoncée dans la routine ». Sur ce, elle retire son haut et dans la foulée, me jette le bas qu’elle vient également d’enlever. Elle éclate de rire et me mets au défi de l’attraper… La garce, elle est prof de gym et nage comme une sirène ! Je me jette à sa poursuite mais j’ai peine à effleurer ses pieds. Je me dis que je l’aurais près du bord… Où elle pivote en plongeant sous moi. Je barbote derrière un poisson !
Mais sur l’autre bord, elle s’arrête. Son torse se trouve hors de l’eau. Ses seins restent merveilleusement beaux, ronds ornées de tétons foncés et tendus comme jamais. La nuit ne fait que la mettre en lumière. Je m’approche et l’enlace. Ma main descend vers son sexe, la sienne vient se poser sur mon maillot, à côté de mon sexe dur. Je l’encourage à me masturber. A travers le tissu, je sens ses doigts venir enserrer ma verge tendue, ils glissent vers la base et titillent mes couilles pour mieux revenir jusqu’au bout du gland. Alors que mes doigts fouillent son intimité brulante et agacent son anus, je lui souffle que je ne tiens plus. Elle me lâche et se coule dans l’eau tout en retirant mon slip de bain. Sa bouche s’est arrêtée sur mon sexe qu’elle commence à mordiller. Elle revient prendre l’air et me chuchote : prends-moi ici, je n’y tiens plus non plus…
J’agrippe ses fesses musclées et ma verge retrouve facilement l’entrée de sa grotte. Nous n’avons pas pieds et s’est maladroitement que nous baisons aux bords de la piscine. Nos retrouvailles sont torrides, le clapotis de l’eau épouse le rythme de mes assauts, ses soupirs font place à des gémissements de plus en plus forts. Je suis aux limites de l’orgasme et lui fais comprendre en faisant une pause. Elle m’embrasse goulument et me dit de poursuivre car elle n’est pas loin de jouir… Quelques mouvements plus tard, nos grognements fendent la nuit de pleine lune.
Nos caresses se veulent tendres et apaisantes. Nos baisers sont moins fougueux mais tout autant gourmands. Nos regards semblent calmer le tonnerre qui était prêt à déchirer nos vies…
« On se fait un plateau-repas » me dit-elle ?
J’acquiesce mais elle veut que l’on retrouve nos maillots avant de sortir de l’eau, sait-on jamais ! Elle n’a pas pris le temps d’attraper un essuie alors nous nous épongeons avec le mien qui est très vite trempé… On en rigole pour mieux se frotter.
Rentré dans la maison et après avoir enfilé nos peignoirs, elle dresse deux assiettes de charcuteries et de fromages. De mon côté, je saisi une bouteille de Pommard, son vin préféré. Avec les verres, je me dirige vers le salon mais Aurélie n’est pas de cet avis, elle veut rejoindre la chambre, la chambre nuptiale…
Allongés sur le lit, on se donne la becquée avant de faire ripaille de nos corps. Son peignoir entrouvert me laisse redécouvrir la beauté de mon épouse. Je glisse la main vers son sexe avant de le rejoindre de mes lèvres.
Ma langue caresse son intimité, mes lèvres font rouler son clitoris déjà durcis. Puis je fais pénétrer un doigt, un second. Je l’entends respirer bruyamment. Avec une certaine satisfaction, je vois qu’elle a ouvert son vêtement et commence à me caresser les cheveux et la nuque. Mes doigts vont et viennent dans son vagin, tandis que le pouce titille son anus. Aurélie gémit de plus en plus fort, mais elle me repousse brusquement. Déconcerté, je la regarde et l’interroge du regard.
« A moi » dit-elle tout en ouvrant mon peignoir.
La verge tendue apprécie la prise en main et plus encore la mise en bouche. Alors que je reste assis, ma femme me pousse à m’allonger. Ses mains parcourent mon corps, s’attardent sur mon trois pièces surdimensionnés. Un doigt s’égare entre mes fesses et vient chercher l’ouverture de mon anus. Comme aux plus belles nuits d’amour, ma femme retrouve le chemin de nos folles étreintes. Sa langue agace tantôt le frein, tantôt le prépuce. Tout entier, je disparais dans sa bouche. Mes petits mouvements de bassin lui font comprendre que la pression monte. Elle relâche mon sexe et, me regardant droit dans les yeux, me dit de la sodomiser en douceur. Qu’il faut que j’arrête si elle a mal. Je l’accepte bien volontiers tout en attrapant le tube de vaseline au fond du tiroir… J’aurais voulu la prendre en levrette mais elle s’est allongée sur le dos relevant les jambes et écartant les fesses. Il n’y aura jamais eu d’anus mieux enduit que celui d’Aurélie. Quand mon gland vient presser sur l’œillet pour l’ouvrir, celui-ci l’accueille chaleureusement. Attentif aux réactions de ma femme, je m’enfonce délicatement jusqu’à la garde. Elle ferme les yeux et se tend sur la pénétration. Je reste là, au plus profond d’elle, attendant son consentement. Sa respiration s’accélère et m’invite à la besogner. Doucement au début, pour accélérer la cadence au fur et à mesure de la montée du plaisir. Elle se caresse les seins avant de descendre titiller son clitoris. Mes va-et-vient sont de plus en plus violents. Elle crie, elle hurle de plaisir. Je la défonce comme jamais mais elle en redemande encore et encore. Je vais exploser, c’est imminent… Je me retire. Quatre, cinq jets se répandent sur son ventre, sa poitrine, sa bouche. Elle passe sa langue sur ses lèvres, porte ses doigts enduits de sperme à la bouche, se délecte de mon plaisir…
Allongés côte à côte, la main dans la main, on se promet de recommencer le plus souvent possible. Le corps et l’esprit tranquille, le sommeil nous gagne.
Au matin, quand Aurélie me retrouve dans la salle à manger, la table est mise, les croissants fument encore et le café finit de s’écouler… Ma femme me confie avoir passé une merveilleuse nuit et que la journée passée en compagnie d’Isabelle lui avait ouvert les yeux. Elle me demande mes intentions à propos de ma maîtresse.
Je n’ai plus pris contact avec Lisbeth et depuis, une fois par mois, Diego va chez ses grands-parents pendant que nous partons en week-end romantique, sexuel serait plus adéquat !
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