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Comme chaque année les vacances auraient lieu à LA BAULE dans la maison familiale.
Cette famille bourgeoise et stricte,qui habite au TROCADERO a ainsi continué la tradition familiale qui dure depuis trois générations.
MARIE MADELEINE y passerait les deux mois d'été avec les trois enfants et GEORGES ne viendrait que les fins de semaines de juillet et passerait tout le mois d’août avec le reste de la famille.
Seule la nurse des enfants et le chauffeur seraient du voyage, un major d’homme, une cuisinière et une femme de chambre seraient recrutés sur place.
Toute la famille prend possession de la résidence et MARIE MADELEINE convoque le personnel nouveau pour leur donner ses instructions.
Si ADELE la cuisinière, une femme forte d'environ 50 ans, semble lui convenir, il n'en est pas de même pour le major d'homme et la femme de chambre.
Le major d'homme, RAYMOND, est un garçon d'une trentaine d'année, l'air un peu rustre, très brun et poilu.
La femme de chambre ; JULIETTE est une jeune fille d'environ 25 ans au regard vicieux.
Malgré tout il faut bien s'en contenter, le personnel disponible étant rare en ce début de saison.
La nurse couche dans une chambre proche de celle des enfants et le reste du personnel dans un petit pavillon au fond de la propriété. .
La seconde nuit, MARIE MADELEINE peine à s'endormir à cause de la chaleur.
Vers minuit elle se lève pour aller prendre le frais dans la jardin.
Elle fait quelques pas et son attention est attirée par la lumière encore allumée dans le pavillon des domestiques.
Décidée à aller faire remarquer qu'à cette heure il était grand temps de dormir, elle se dirige vers la fenêtre éclairée.
Elle s'approche et son regard se glisse à l'intérieur.
Saisie d'effroi elle voit le major d'homme et la femme de chambre, nus comme des vers, qui s'embrassent à pleine bouche.
Le corps noueux de l'homme est couvert de poils et il possède un sexe démesuré que la femme de chambre tient à pleine main.
Elle reste tétanisée par ce spectacle qui l'horrifie, elle qui n'a vu que la verge de son mari, et encore dans la pénombre de la chambre lorsqu'il l'honore.
Soudain, RAYMOND bascule JULIETTE sur le lit, la met à quatre pattes, présente sa verge gonflée dans son entrejambes et la pénètre d'un coup de reins.
« Mon Dieu, il la prend comme une bête »
Loin d'être gênée, JULIETTE remue ses fesses de façon obscène pour mieux sentir le membre qui la pilonne vigoureusement.
RAYMOND augmente la cadence de ses va et viens en grognant de plaisir.
Il se raidit, le regard dans le vague, et jouit en elle, puis s'abat sur le lit.
JULIETTE se retourne et prend dans sa bouche le sexe encore raide qu'elle suce avidement.
Ne pouvant supporter un tel spectacle plus longtemps, MARIE MADELEINE se retire et rentre très vite dans sa chambre horrifiée du spectacle qu'elle vient de voir.
Sa nuit est agitée, peuplée de cauchemars ou elle voit des hommes au sexe dressé venir la tourmenter, l'obligeant aux pires avanies.
Le lendemain matin, alors que JULIETTE s'affaire dans les chambres et que RAYMOND est parti au marché avec la cuisinière, elle se rend au pavillon afin de recueillir quelques preuves de l'inconduite de ses deux employés pour les congédier l'après midi même.
Elle pénètre dans la chambre de RAYMOND ou la scène de la veille au soir s'est déroulée et commence à fouiller ses affaires.
Dans un premier temps elle ne trouve rien de particulier mais, ouvrant un placard, elle y déniche une revue pornographique.
Elle la feuillette rapidement et découvre des photos dégradantes de couples en tain de forniquer.
MARIE MADELEINE tient la preuve qu'elle recherchait.
Alors qu'elle s'apprête à quitter la chambre, deux mains puissantes se plaquent sur ses fesses :
« Ce n'est pas bien de fouiller dans les affaires des gens, il va falloir vous expliquer »
Elle se retourne brusquement pour échapper à ces attouchements et se retrouve face à RAYMOND.
« Je n'ai rien à vous dire, vous êtes une bête lubrique qui se livre à des actes horrible, je vous chasse vous et cette traînée de JULIETTE »
«Peut être, ma petite dame, mais avant je vais profiter de cette chair fraîche, ça va me changer du cul de JULIETTE et de cette grosse vache de cuisinière »
Aussitôt il glisse la main dans le col de la robe de MARIE MADELEINE et l'arrache d'un geste sec.
Celle ci se retrouve en dessous devant cet homme au regard lubrique.
« Mais, c'est que tu as l'air d'avoir de beaux nichons, montres les un peu »
« Laissez moi passer espèce de cochon »
« Pas si vite, je te conseille d'obéir, sinon tu vas dérouiller »
La mort dans l'âme et de peur des coups, elle commence à retirer sa combinaison de soie.
Elle n'est plus vêtue que d'un soutien gorges et d'une culotte blanche.
«Tu te dépêches ou tu veux que je le fasse moi même ? »
« Non non, je vais vous obéir »
Les larmes aux yeux elle dégrafe son soutien gorge qui rejoint la combinaison sur le sol.
« La culotte en vitesse que je vois ta chatte »
Elle fait glisser la culotte sur ses cuisses et se retrouve nue.
Par pudeur elle cache son sexe d'une main et a poitrine de l'autre.
« Enlèves tes mains que je profite du spectacle. Hum, tu as as de beaux nichons, je crois que je vais bien m 'amuser avec, tournes toi que je vois ton cul »
Comme elle ne bouge pas, il lui assène une claque violente sur les fesses.
MARIE MADELEINE se retourne offrant le spectacle de son cul bien rond au regard concupiscent de RAYMOND.
« Penches toi en avant et écartes les fesses. Très joli spectacle, retournes toi maintenant »
Elle le voit qui défait sa ceinture et baisse son pantalon.
Il ne porte pas de slip et sa bite qui bande déjà se dresse.
Malgré l'horreur de la situation, MARIE MADELEINE sent un douce chaleur l'envahir.
« Allez vient la toucher, elle ne va pas te mordre »
D'une main hésitante, elle saisit le membre qui tressaute dans sa main.
« Branles moi et mets y de la bonne volonté »
La petite main va et viens sur le queue du devient encore plus dure.
Pendant ce temps, RAYMOND a posé la main sur le sexe de MARIE MADELEINE et glissé un doigt puis deux dans sa fente.
« On dirait que tu aimes ça tu es toute mouillée »
Rouge de honte mais aussi d'envie elle n'ose répondre et continue à le branler.
Après quelques minutes il la renverse sur le lit.
« Assez joué, on va passer aux choses sérieuses, écartes bien les cuisses que je mette ma bite bien profond dans ta chatte de bourgeoise.
S'abattant sur elle il la pénètre d'un seul coup.
Elle sent le sexe la remplir et ne peux s’empêcher de pousser un petit gémissement de plaisir.
Il la fourre à grands coups sa bite venant taper dans le fond du vagin offert.
MARIE MADELEINE sent le plaisir monter en elle et ses jambes se referment autour du bassin de RAYMOND qui la ramone avec vigueur.
« Tu as l'air d'aimer ça ma salope »
Il se dégage et la retourne l'obligeant à se mettre à quatre pattes
« Non, s'il vous plaît pas comme une bête »
« Tu vas voir tu vas aimer ça », lui répond il en l 'embrochant de nouveau.
Cette fois le plaisir est si intense qu'elle perd toute notion de bienséance et se met à crier de plaisir, ondulant du bassin pour sentir encore plus la bite qui la pilonne.
Soudain, elle sent la queue qui ressort d'elle, venir lui caresser la raie des fesses et s'arrêter devant son petit trou.
Folle d'envie, elle se cambre pour que le mandrin la pénètre.
Sans effort, la bite la remplit et commence à aller et venir.
RAYMOND accélère la cadence et ses couilles viennent battre contre le cul offert.
Il s'active de plus en plus vite et soudain un flot de sperme jaillit dans son ventre.
« Tu as aimé, salope »
« Énormément, tu as un sexe merveilleux »
« Demain ce sera finit puisque je suis renvoyé »
« Je te gardes, tu m'as donné trop de plaisir, mais tu dois garder ta langue »
« Bien entendu, tu reviens quand tu veux, je suis à ton service »
MARIE MADELEINE se rhabille, à la fois honteuse de son attitude et heureuse d'avoir, pour la première fois de sa vie connut la jouissance.
Il va sans dire qu'elle sollicite régulièrement les services de RAYMOND.
Le vendredi suivant, alors qu'elle va se coucher avec son mari, elle a une pensée émue pour la bite vigoureuse qui la baise depuis plusieurs jours en prenant en main la petite queue de son époux pour la guider vers son sexe. .
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