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A 18 ans j'avaus déjà eu quelques aventures avec des filles, et je trouvais cela merveilleux.
Pendant des vacances au bord de la mer, un voisin de 12 ans de plus que moi s'était assis à mes côtés sur la dune. Il était très beau, avec des cheveux noirs bouclés, c'tait troublant. On discutait paisiblement. Puis il a commencé à promener sa main sur mon dos, je restais silencieux, immonile et consentant j'avoue. Puis il a commencé à me peloter de partout, au départ les tétons et je trouvais ça délicieux, alors je me suis laissé faire. On était en tee-shirt et boxer, je voyais bien que le sien avait singulièrement gonflé, je devinais sa queue monter vers le ciel.
- Mettons-nous à l'aise pour une bronzette au soleil, tu veux ?
- Pourquoi pas
- Alors on enlève nos êtements, on sera bien.
Ni une ni dux, nous voilà nus comme des asticots.
Je voyais son sexe très raide pointé vers le ciel, je sentais son excitation et son regard étrangement gourmand, et en moi une drôle d'envie m'envahir, faite de curiosité et d'envie de dépasser mes tabous de jeune garçon de bonne famille. Oui après tout pourquoi pas...
Après m'avoir excité, il s'est mis en devoir de me prendre ma queue entre ses lèvres humides, honnn comme c'était étrangement bon, je le laissais faire.
Au bout de longues minutes, lui n'en tenant plus, il m'a retourné sur le drap de bain, m'a salivé ma pastille toute vierge et m'a écarté doucement les jambes en me murmurant dans l'oreille des trucs apaisants :
- Tu vas voir, c'est doux, laisse-toi faire, j'ai envie de toi
- Heu, ah oui, je répondais
- Tu connaitras quelque chose de beau
Il a fini par approcher son bâton raide et l'introduire doucement en moi, très doucement, en allant et venant.
- J'aime ton petit cul petit bandit, me disait-il, je vais découvrir ton intimité
J'étais devenu dément d'envie... il savait y faire le coquin, je tortillais du popotin et ça l'excitait davantage, je le sentais bien puiqu'il était en moi.. Il s'est activé doucement, plus vite ensuite, il me coulissait joyeusement en-dedans. Quelles sensations agréables, je n'en revenais pas de découvrir le plaisir de l'intérieur. Mais lui au bout de quelques minutes s'est cramponné de toutes ses forces à moi.. Impossible de me dégager, il me tenait fermement par les hanches, et quand il a commencé à jouir, il s'est cramponné à mon torse et a eu 9 ou 10 soubresauts, il m'a inondé de gros jets de son sperme chaud dans mes petites fesses de minet bondlinet, c'était furieux et tellement abondant, je dégoulinais de lui. Il s'est allongé sur moi satisfait et moi je goûtais ces moments extraordinaires jamais connus, je ne voulais plus que l'on bouge, pourtant on continuait à se tortiller collés l'un à l'autre. Je ne pensais qu'un adulte de son âge pouvait avoir une telle quantité de foutre comparativement au mien encore modeste. Je comprenais que je lui plaisais énormément.
Il est vrai qu'à cet âge j'étais très mignon, des hommes me regardaient avec une gourmandise qui m'étonnait, j'étais un peu innocent. J'avais eu des propositions mais n'y avais prêté attention, branché sur les filles à l'époque.
Le lendemain, j'ai retrouvé mon gaillard à la plage. Dans l'eau il me caressait et je commencer à bander sérieusement. Il m'a alors emmené sur l'île d'en face avec son voilier. Arrivé on s'est installés dans l'herbe, il me pelotait de plus en plus, je ne pouvais cacher que je bandais fort. Puis il m'a déshabillé lentement en me disant des choses excitantes
- Mon petit cochon, ma petite chienne, mon amoureux, mon chéri, je vais te baiser encore et encore...
On a commencé par se sucer longuement à tour de rôle, il était follement excité, on l'était tous les deux, et on n'a pas pu se retenir, on s'est avalé entièrement, c'était un goût de miel chaud agréable, je tremblais de partout, mon sexe et ma bouche étaient surexcités. Quelle jouissance !
Mon petit cul l'attirait beaucoup. Plus tard il m'a repris avec son engin, m'a bien lubrifié avec nos spermes, m'a bien enfilé doucement, en coulissant tellement que j'avais de plus en plus envie de lui, alors il a explosé en poussant des cris d'éléphant en rut, je dégoulinais de derrière. C'était la plus belle jouissance que j'ai connue, pour lui aussi m'a t'il avoué.
(Heureuse époque où il n'y avait pas de mst).
Le lendemain encore, il m'a ramené sur l'île et pendant qu'il barrait son voilier il continuait à me tripoter, je ne pouvais cacher que sous mon boxer mon sexe gonflait et ça avait l'air de l'amuser. Je savais bien cette fois-là où il voulait en venir, et je l'acceptais déjà d'avance avec gourmandise.
Une fois tout nus allongés dans l'herbe comme sur un lit d'amour défendu mais accepté, il m'a pris en bouche et a tellement titillé ma queue que j'ai déchargé intensément, longuement.
Il s'est alors mis entre mes jambes, et me lubrifiant avec mon propre jus, m'a enfilé très vite, hmmmm... comme j'aimais le sentir raide me pénétrer. Sa queue était bien plus grosse que la mienne, elle me plaisait, elle me fascinait. Pendant qu'il me limait vigoureusement, moi en tournant la tête j'ai vu un gars caché derrière un arbre qui nous matait, j'étais drôlement gêné.
- Ne t'inquiète pas, pas d'inquiétude m'a dit mon copain.
En effet le gars avait sorti son engin et se l'astiquait en nous regardant visiblement avec envie. Ce qui a décuplé notre plaisir quand mon copain m'a baisé furieusement, une 1ère fois, et encore une autre fois plus tard, avec une rage folle de bête affamée. Mon cul lui appartenait et il a su me le remplir en longues giclées bien abondantes. Ensuite j'en avais plein de lui entre les jambes, c'était bon. Le gars derrière son arbre était assis, visiblement vidé.
On est rentrés fatigués, et on s'est promis de se retrouver le soir même chez lui, je rêvais déjà à nouveau de lui et de son membre si puissant se trémoussant dans mon petit cul rose de minet appétissant (ça je l'avais bien compris).
Il fallait que je sois discret, j'étais en vacances avec la famille, et je voulais préserver cette liaison qui commençait à être passionnée, j'avais envie, tellement envie, j'y pensais pendant tout le dîner. Oui c'est ça j'allais le retrouver pour le bonheur de ressentir la jouissance qu'il m'offrait, et de lui en donner autant. Je me suis dépêché ensuite de le rejoindre chez lui. J'avais envie de tout, de ses caresses, de sa façon de me peloter longtemps, surtout mes petits tétons saillants pendant que je tortillerai mes fesses contre son sexe chaud, ce qui le faisait bander encore plus, je rêvais de sa main qui me caresserait ma queue, de nos bouches gourmandes à nous embrasser et à engloutir nos queues jusqu'à exploser et tout boire. On s'est reposé et on a fumé 2 ou 3 cigarettes. Puis il en a re-voulu avant que je rentre à la maison.
Il m'a allongé sur les dos, je sentais son sexe frotter mon entrée et y entrer lentement, oh délices.... Je voyais ses yeux pétiller, sa bouche trembler de désir, il m'agrippait de partout, j'étais devenu son désir et je voulais qu'il me prenne complètement. En quelques instants il plongeait son membre turgescent dans mon orifice encore trempé de son sperme.
Il n'a pas pu se retenir longtemps ce coup-ci. Il n'y avait personne chez lui, heureusement tellement il s'est mis à pousser de longs hurlements sauvages de plaisir, je les entends encore dans mes souvenirs. Et moi j'étais dans la volupté idéale, qui me faisait planer dans cette découverte de l'amour entre hommes.
On s'est donné rendez-vous pour le lendemain, mais c'est une autre histoire encore.
Quelles vacances inoubliables !
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