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Nous avions arrosé notre diplôme avec toute notre promo et un peu éméché Alexandre m'avait raccompagné à mon appartement. Il me demanda s'il pouvait rester dormir et j'acceptais à condition qu'il aille sur le canapé du salon. Nous avons continué à picoler et notre fatigue nous a gagnés. J'ai rejoint mon lit à quatre pattes et me suis étalé sur mon lit tout habillée. Alexandre est venu me rejoindre et m'a proposé de m'aider à me déshabiller. je ne pouvais plus parler et il s'est mis à enlever mon chemisier, puis mon jean'. Il me fit rouler sur le lit pour pouvoir écarter les draps et me plonger dedans. J'étais à demi-consciente mais j'appréciais les gestes précis d'Alexandre. Une fois entre les draps, il dégrafa mon soutien-gorge et se leva pour le déposer sur la chaise à proximité. Il entreprit de m'enlever ma culotte et je soulevais le bassin pour qu'il termine la manœuvre. Je me retrouvais ainsi nue devant lui, offerte à un garçon que je ne désirais pas. Il me caressa la poitrine avec douceur jusqu'à ce que mes tétons se dressent. Machinalement mes jambes s'écartèrent et je me sentais mouillée. Une envie se déclara comme jamais. Le garçon était patient et promenait ses lèvres sur tout mon corps des pieds jusqu'au front. Je répondais à ses baisers et le laissais faire. Sa langue fouillant ma bouche puis descendit vers mes seins érigés et enfin il se glissa ente mes cuisses et par petits coups de langue lécha le bord de mes petites lèvres puis des grandes lèvres et les aspira les unes après les autres. Je sentais mon sexe complètement inondé. La pointe de sa langue allait et venait et plongeait dans mon vagin avant d'attaquer la ronde autour de mon clitoris. Avec ses lèvres il suça mon petit bouton avec délicatesse et n'y pouvant plus, très rapidement j'eus un orgasme comme jamais. Je hurlais, me débattais mais la bouche d'Alexandre maintenait son aspiration. J'étais aux anges. Il aspira et but ma cyprine avec délectation. Sa bouche et tout son visage était recouvert de mon jus. Il attendit que je me calme et remonta dans le lit pour m'embrasser. Il est resté un moment la tête posée sur ma poitrine puis il me recouvrit de son corps et je sentis son sexe me pénétrer. Il était tellement mouillé qu'il n'eut aucun mal à aller jusqu'au fond. Le désir était revenu et ses va et vient me déclencha un nouvel orgasme magique. Mes hurlements l'excitait et se cabrant, je sentais qu'il allait jouir. Il se retira et remonta son sexe vers mon visage. J'ouvris la bouche et goba son gland. Il déchargea un flot de sperme que j'avalais avec plaisir jusqu'à la dernière goutte. J'avais atteint un point culminant de la sérénité. Mon corps satisfait se détendait, j'étais heureuse, vraiment heureuse.
Nous nous sommes endormis et le matin au lever, Alexandre n'était plus là. J'ai imaginé qu'il était descendu chercher des croissants mais jamais il n'est remonté. Il était reparti dans se province natale et je n'ai plus entendu parler de lui.
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