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délivrance

Ecrit par pêcheur
Parue le 05 décembre 2020
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Cette histoire érotique a été lue 1093 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Tu ignorais ton mal réel, insaisissable, inconnu à toi même. Ta retenue tellement exagérée, d'un jour à l'autre, comme un barrage, cèdera sous la pression de tes désirs longtemps contenus, si souvent combattus. Il était dit, que tu romprais la cuirasse dure et froide et ferait remonter ta lave brûlante de tes envies charnelles cadenassés, inassouvies.
Comme tu fus dans l'excès du contrôle de tout et surtout de toi, de ton être, te voilà à présent à la merci de tes instincts pulsionnels, dans le passage à l'acte de tes phantasmes les plus secrets.
Je savais que ce jour arriverai sans calcul, sans prévenir. Parmi d'autres couples se chevauchant, tu es devant moi offerte à mon regard. Deux longues jambes musclées sont coincées entre les tiennes ouvertes. Tu glisses le long d'une verge luisante, huilée par ton écoulement de mouille. L'immense vérin de chair te fait coulisser le long de son tube par deux mains qui enserrent tes hanches en décuplant l'énergie de la montée le long du membre dur et gros. En accentuant la force de la retombée sur la base couillue amortissante de ton partenaire. L'engin, extrait de toi jouissance et cris de plaisir dans un claquement de chairs qui se percutent et répercute à mes oreilles, se mêlant à celui des lèvres de ta vulve rassasiée, De tes lèvres grandes et petites largement ouvertes, distendues pour accueillir l'objet gorgé de sang que tes pauvres mains ne pouvaient à elles seules réchauffer. Le voilà le monstre que tu attendais. Devant qui tu capitule s, vaincue. Il est entré en toi devant mes yeux de voyeur, me n'arguant de toute sa longueur, de sa grosseur qui semblait interdite à l'entrée de ton vagin étroit. Chaude, débordante de volonté, tu l'as guidé, poussé, engouffré. Ton clitoris dressé comme un drapeau, se délecte d'être courbé, écrasé. Il ouvre les vannes à tes gestes sans plus aucune retenue. Tes seins devenus lourds remuent au rythme des secousses. Ton petit ventre, comme une légère empreinte de tes chairs flétries par le temps, suivent le même mouvement.
Tes jambes sont écartées de chaque côté du mandrin qui te percute. De ta vulve écartelée, un filet de cyprine s'écoule ensuivant les veines de la verge démesurée qui t'ouvre en deux, s'allonge en toi, étouffe toute résistance et t'électrise.
Tu me regarde, mais ne me voit pas. Tu râles mais ne t'entend pas, tu jouis comme dans tes rêves et le flot de ton trop plein de raideur, explose en un torrent de mots crus que tu déverses. Tu te cabres te cambre, te tend comme un arc. Dans une ultime trajectoire où les chairs chauffées à blancs se rencontrent, la verge gonflée en toi exulte dans un râle prolongé auquel tu réponds et envoi son sperme à l'assaut des parois de ton puit d'extase. Te voilà soulevée comme touchée par un éclair et après plusieurs secousses, retombe, seule avec ta jouissance hier inavouable.
Déjà tu reviens à ta vie d'avant en m'apercevant. Soit tu renonces et maudit Satan en me suppliant d'oublier et atteste de ton retour a une vie toute en froideur et reproches. Soit tu confirmes ta renaissance. Tu me souris, tu tends ta main vers ma verge dressée devant ta face. Encore empalée, tu la porte à ta bouche. La cache toute entière entre les lèvres comme un câlin. Tes doigts jouent avec mes couilles. Elle grossit et ton envie aussi. Tu te libère du pieu en ton ventre. Tu lâches le mien et t’agenouille devant ce totem qui t’a ressuscité. Mon pauvre appendice n'est qu'une ancienne idole. Tu flattes le molosse de chair qui a su t’extirper tant de cris. Tu caresses, le félicite par des baisers, le cajole entre tes lèvres chaudes. En même temps il reprend goût à sa vie de besogneux. Il prend ses airs, il s'enfle et se gorge de sang.
Ta vulve s'émeut, s'humidifie, se souvient, s'ouvre, s'humecte. Même ton anus entre en scène et s'ouvre. Le grand corps de l'autre c'est allongé. Tu suces le gourdin redevenu ton géant. Tu enfonces ce pieu en écartant tes cuisses sur tes jambes repliées le long du corps immobile comme inerte. Tu le laisse te transpercer, comme clouée. Tes fesses sont devant moi ouvertes. Ta vulve occupée, ton anus s'ouvre comme un autre passage possible. Je force la serrure qui hurle et gémit comme lorsque l'on pénétré un endroit inconnu par effraction.




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