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LES FANTASMES D ISABELLE N°10
NOTRE SEJOUR AU CHÂTEAU DE LORD SIMPSON 1ERE PARTIE
Nous étions partis depuis plus de 3 heures et nous venions de passer Sarlat. Jessey conduisait et je m'étais
assoupie bien calée dans les sièges confortables de la Jaguar. Il faisait très beau. Jessey écoutait un cd de Joe. Il aimait
beaucoup ce chanteur dont il avait fait connaissance au Carlton de Cannes. J'aimais aussi ces rythmes particuliers.
En me réveillant je demandais à Jessey combien de temps il nous restait avant d'arriver à destination. Il me répondit qu'il
nous restait environ une cinquantaine de kilomètres avant d'arriver au château de Lord Simpson…Richard Simpson.
Nous avions fait la connaissance de Richard il y a 8 mois. Richard Simpson était un riche milliardaire anglais
de Southampton à la retraite qui avait jeté son dévolu sur cette région de la Dordogne qu'il affectionnait particulièrement
Il avait fait il y a six ans, après le décès de son épouse, l'acquisition d'un château presque en ruine occupé jadis par une
confrérie des Prémontrés. Il avait fait des travaux somptueux afin de le remettre en état et le remeubler dans son
style du XVIII siècle.
Richard était un homme qui avait dépassé la soixantaine, très classe, très british, parlant la langue de Molière
remarquablement. Libertin à ses heures, nous avions eu l'occasion de le rencontrer lors d'une soirée parisienne de notre
amie Sabine.
"je suis un homme dont l'essence même de son existence se passe entre les douces cuisses d'une femme"
nous avait il sorti après quelques verres de son inséparable whisky, un Talisker double maturation de 20 ans d'âge, qu'il
rapportait de ses séjours à Edimbourg.
J'avais été très attirée par cet homme dont l'élégance était traditionnellement de mise et par son parfum dont
les effluves de bois de santal avaient la primeur. Jessey avait très bien sympathisé avec lui. Ils aimaient parler politique
et affaires. D'ailleurs Jessey lors d'une négociation bien menée lui avait fait faire une très bonne affaire quelques semaines
après en lui vendant un superbe immeuble avenue de Wagram à Paris.
Depuis les deux amis se téléphonaient régulièrement et se retrouvaient parfois dans un restaurant des Champs Elysées.
Richard était ce que l’on appelle, un homme à femmes, toujours entouré par une cour impressionnante de belles femmes. Il avait
un faible pour les russes, en particulier pour Tatiana qui depuis quelque temps le suivait un peu partout dans ses nombreux
déplacements.
Je trouvais la route un peu longue, mais j'étais à la fois curieuse de découvrir la demeure de notre ami, et
surtout très curieuse de l'hospitalité qu'il nous accordait pour ce week-end .Richard à plusieurs reprises avait dit que le mo
ment venu il nous réserverait un week-end torride. Que voulait il dire par torride? J'interrogeais Jessey mon compagnon
pour savoir ce qu'il pouvait mijoter? Il me répondait à chaque fois qu'il n'en savait pas plus que moi et qu'il convenait de ne pas
se formaliser par l'humour si britannique de notre ami et ses coquineries s'échappant des effluves de son whisky .
J'appréciais au travers de mes lunettes de soleil, le paysage magnifique de la Dordogne. Nous avions déjà
Jessey et moi l'occasion de venir une paire de fois à Sarlat. Cette ville était magnifique. Nous descendions toujours au même
petit hôtel " La Salamandrière" non loin de la place du marché. Mon plaisir était de vaguer entre les étales des vendeurs
de fruits et légumes. Ce marché était d'une beauté extraordinaire.
Jessey était très sérieux au volant de la Jaguar. Je m'inquiétais de ce silence, il me répondit qu'il avait peur
de se perdre dans tous ces chemins. De temps en temps il jetait un coup d'œil au plan qu'il avait imprimé via internet. Le
château de notre ami était à priori très retiré de toutes les grandes villes de la région.
"J'aime beaucoup la solitude, si celle-ci est partagée par une belle femme" disait Richard. Il avait été en son
Temps un riche propriétaire terrien au Kenya. Puis après avoir vendu son entreprise de coton à l'un de ses associés, il s'é
tait lancé dans le commerce du Thé. Il avait ouvert plusieurs centres de dégustation à Londres, Boston, New York, Tokyo
et Paris faisait partie de ses prochains objectifs. Son affaire marchait très bien. Homme politique il avait arpenté avant de
prendre sa retraite les couloirs et les sièges de la Chambre des Lords à Londres. Anobli par la reine mère d'Angleterre
suite à la campagne contre l'Argentine, il avait conservé dans ses agendas des contacts très importants et se vantait même
connaître intimement le premier ministre de sa royale majesté.
Richard était aussi devenu un atout précieux pour Jessey, qui de part ses activités dans l'immobilier dévelop
pait entre autres une clientèle britannique en France. C'est ainsi qu'est né entre nous une amitié singulière et souvent
mouvementée. A plusieurs reprises Richard avait jeté des regards chauds sur moi. Il avait même félicité Jessey
d'avoir une compagne comme moi. Il savait que nous étions un couple disons parfois un peu libertin, que nous aimions le
piment et les saveurs du sexe. Mais nous ne lui avions jamais raconté nos aventures, dont les tournures érotiques étaient
parfois très savoureuses. Je me pris en train de fantasmer et à avoir en cet instant un grand désir de câlin. Je poussais
un soupire de frustration, que Jessey interpréta comme un soupire d'exaspération.
"On arrive bientôt mon cœur! Ne désespère pas, je sais que tu es un peu fatiguée. Veux-tu que l'on s'arrête
prendre un café quelque part?
"Non j'ai une envie de faire pipi, mais cela peut attendre et trouver un café dans ce coin perdu…mission impos
sible… Nous arrivons bientôt m'as tu dit?
Jessey me regarda en coin avec un air moqueur. J'aimais quant il prenait ces airs là. Il avait un charme
craquant. J'étais dans l'impossibilité de lui donner un age…pas une ride, pas un cheveu blanc, un visage d'une douceur
qui lui collait à sa personnalité. Jessey était un homme qui avait vécu. Baroudeur, homme des mers, aventurier il avait
sillonné le monde entier. C'est un homme cultivé, prévenant, amoureux de moi autant que je l'étais de lui, respectueux de
ma vie, de ma liberté, ce qui est rare chez un homme. Il était mon ami amoureux amant !Je l'écoutais avec émerveillement lorsqu'il racontait ses aventures.
Au décès de sa femme dans un accident d'avion, il avait tout abandonné pour aller vivre presque deux ans dans une tribu
zoulou. Depuis que nous nous connaissons, je l'accompagne dans tous ses voyages à l'étranger. Nous sommes devenus
des inséparables. Nous avons vécu des histoires érotiques chacun de notre côté parfois, cela fait partie de notre règle du
jeu…mais nous nous racontons tout sans oublier le moindre souffle, la moindre émotion issue de la luxure. Je l'aime comme
la prunelle de mes yeux, je bénis les Dieux d'avoir favorisé le croisement de nos routes. Je sais d'expérience que peu de
femmes peuvent se vanter d'avoir un compagnon dont la largesse d'esprit, n'entache rien au profond amour que nous nous
portons
Je fus tirée de mes pensées lorsque Jessey annonça que nous arrivions. Je redressais mon siège et observais
avec plus d'attention la route que nous prenions, dont les virages succédaient aux virages. L'endroit était verdoyant
parsemé de collines aux flancs abrupts et de rochers en suspension, parfois périlleuse, au dessus de nos têtes. Quelques ruines
de ci de là laissaient imaginer que jadis beaucoup de châtelains peuplaient cette vallée. Cette région avait une histoire qui
remontait bien au delà de la préhistoire. Difficile de ne pas imaginer cette ambiance particulière qui s'échappait de chaque
recoin, de chaque tas de cailloux, de ces cavernes à peine dissimulées par la végétation. Allait on au devant de l'homme
des cavernes. Je souris à l'idée de voir notre cher Richard en homme de Néandertal, avec comme simple vêtement une
peau d'ours sur les épaules…et rien en dessous!
"Pourquoi souries tu, mon cœur? Demanda intrigué Jessey…tu vas pouvoir enfin faire ton petit pipi?
"-Non! Une simple image! M'esclaffais je.
"-Voilà le chemin qui conduit au château!
Au fond de moi même, je poussais un grand soupire de soulagement. J'étais quelque peu fatiguée par la route
qui me semblait interminablement longue. La Jaguar emprunta une allée bordée de grands chênes. Au fond dans le contre
bas, on apercevait la grande grille en fer forgé encadrée par deux immenses colonnes en pierre du pays. Enfin!
Quelques instants après nous étions devant cette grille qui donnait sur une grande place bordée d'un plan d'eau
absolument magnifique. Jessey donna deux coups de klaxon et la grille mue par un automatisme discret s'ouvrit devant
nous libérant l'entrée de la propriété quelque peu cachée par deux grands cèdres du Liban dont les branches lourdes
retombaient sur une pelouse méticuleusement bien taillée. Un labrador vint à notre rencontre tournoyant autour de la voiture.
Jessey eut peur que celui-ci ne s'appuie sur l'une des portières au risque de rayer la peinture. Nous avançâmes lentement
sur le gravier crissant sous nos roues jusqu'à la magnifique demeure en pierres de taille ornée de 6 tourelles
"-Somptueux remarqua Jessey en coupant le contact.
"-Dis donc il ne manque de rien notre ami Richard! Absolument splendide ce coin!
Sur le grand perron un majordome en tenue avança vers nous. Très style anglais. Le labrador fit fête à Jessey
qui eut du mal à s'en débarrasser jusqu'à ce que le majordome en livrée, lui donne l'ordre de s'éloigner. Ce que fit le chien
quelque peu vexé, la queue presque entre les pattes. Richard sortit à son tour tirant sur une pipe. Il nous fit un geste de
bienvenue de sa main, alors que Jessey laissait libre le coffre de la Jaguar au Majordome afin de charger sur un chariot nos
bagages.
"Je m'appelle Fabien…pour vous servir madame monsieur…bienvenue au château. Notre maître vous attend.
si vous voulez bien me suivre.
Nous allâmes à la rencontre de notre ami qui nous accueillit en nous serrant fortement dans ses bras. Je reconnus en passant son éternel parfum qui me faisait craquer.
« Entrez, entrez, venez vous détendre un peu dans le salon après on vous fera faire le tour du propriétaire.
-C’est immense ! s’esclaffa Jessey en regardant les tableaux magnifiques accrochés dans le hall d’accueil.
-Je vous présente ici mon grand père qui a combattu avec Lord Mountbatten. Je lui dois il est vrai une partie de ma fortune personnelle. !
Richard me tenait par le bras en nous présentant ses aïeux.
-Pas trop fatiguée ma chère Isa ?
-Un peu si, j’ai hâte d’aller me rafraîchir quelque peu…Puis je aller tout de suite dans la chambre que vous nous avez attribuée ?
-Mais bien sûr ma chérie, Allen va prendre tes bagages et te conduire dans tes appartements. C’est au premier côté jardin.
Puis Richard héla Allen qui sortit d’un vestibule. C’était un jeune homme quelque peu handicapé qui vint prendre ma valise. Il me fit un grand sourire et balbutia quelques mots incompréhensibles en saisissant la poignée de ma valise. Je le suivis bien volontiers pressé d’aller satisfaire un besoin qui devenait urgent et me passer un coup d’eau sur la figure.
L’escalier en chêne était d’une beauté à couper le souffle, tout en montant on pouvait découvrir de magnifiques peintures de l’école flamande et des tapisseries d’Aubusson en parfait état de conservation. Richard était un homme raffiné qui aimait les belles choses et savait les mettre en valeur. Sur le palier un grand bureau ministre trônait au milieu d’un tapis iranien. C’était là que Richard devait travailler, vu l’épaisseur des dossiers disposés sur le plateau. Je suivis Allen, qui était en short et en tongs. Il s’arrêta devant une porte en chêne sculpté, sur laquelle était écrit « Lady for ever ». Surprise je me dis que j’allais en demander la signification à notre hôte. La chambre était immense avec un superbe lit à baldaquin au milieu. Par la petite porte sur la gauche on accédait à une grande salle de bains, équipée d’une baignoire sabot et d’une cabine de douche. Le carrelage était de bon goût. Je m’approchais de la fenêtre principale qui donnait sur un grand balcon clôt par des balustres à double corps. De là j’avais une vue sur le par cet sur la contre allée. Je remarquais des écuries vers le fond de l’allée. Dans un pré on pouvait très nettement distinguer plusieurs chevaux, une dizaine comptais je.
Je me retournais et croisais du regard Allen, mains croisées devant lui. Il attendait à priori un ordre.
-Dis moi Allen tu pourras me conduire aux chevaux tout à l’heure.
Allen me répondit par un grand sourire. Je pus m’apercevoir qu’il avait un sérieux problème de dentition.
-Tu peux me laisser à présent, je vais descendre.
Allen à regret s’en alla en reculons. J’attendis que la porte fut fermée pour me précipiter aux toilettes. Puis je descendis après mettre soulagée et rafraîchie, rejoindre Jessey et Richard restés dans le grand salon.
-Alors ma chérie, tu as pu te refaire une santé ? demanda Richard en soufflant une importante bouffée de tabac.
J’aimais l’odeur de la pipe et tout particulièrement de ce clan, que Richard préparait avec du miel et du whisky !
-Justement nous t’attendions pour te parler de l’organisation de votre séjour !
Je m’installais dans un fauteuil Louis XV face à la table basse où trônait déjà, du thé, des jus de fruit et des gâteaux anglais dont je raffolais particulièrement.
-Veux tu du thé ? Oui ? Fabien va te servir…
-Ton tabac sent merveilleusement bon Richard !
-je te remercie. Bon alors ce soir vous ne dormez pas ensemble, chacun à sa chambre, Jessey est au deuxième et toi tu es au premier…
-Ah ? Tu nous sépare comme ça ! Au fait pourquoi sur ma porte il y a d’écrit « Lady for ever » ?
-C’est une longue histoire ! promis je te la raconterai.
-pourquoi nous sépares tu ?
-Cela fait partie des surprises du séjour ma chérie. Nous souperons vers 19 heures dans la grande salle que tu peux voir sur ta droite. Demain nous avons une réception très britannique, nous serons demain soir une vingtaine de participants. Après demain c’est la super surprise…mais je n’en parle pas pour l’instant !
-Le Prince Charles vient nous voir ?
- Tutut tu ne le sauras pas !
-Richard j’ai vu que tu avais une écurie, je me suis permise de demander à Allen de m’y conduire tout à l’heure…Tu veux bien ?
-Tu es ici chez toi ma chérie, une belle femme comme toi on ne peut rien lui refuser !
Je bus mon thé,je n’avais qu’une hâte me dégourdir les jambes et faire un tour aux écuries. Richard et Jessey étaient déjà plongés dans une conversation sur la situation immobilière en France, programme qui ne m’intéressait nullement.
-Bon les garçons je vous quitte je vais faire un tour dans le parc et aux écuries !
Richard appela en anglais Allen qui ressortit de l’antichambre dans laquelle il regardait la télévision.
-Al ! tu fais visiter à cette belle blonde le par cet tu la conduit aux écuries. D’accord ?
Allen grommela quelques mots toujours incompréhensibles et me fit signe de le suivre. Il était déjà sur le grand perron, dont les escaliers gigantesques, bordés de balustres s’ouvraient vers l’allée centrale. Je constatais que la Jaguar avait quitté sa place et que quelqu’un l’avait mise sur un parking derrière une haie de lauriers.
-On commence par où demandais je à Allen. J’aimerais que l’on aille aux écuries tu veux bien.
-Ouiii madame.
-Appelle moi Isa !
-Ouiii madame Isa !
-Tu as quel âge Allen ? Il y a longtemps que tu travailles ici ?
-J’ai bientôt 17 ans, je suis né au village là-bas, je travaille ici depuis que ma mère est morte il y a 4 ans !
- Il y a beaucoup de personnel au château ?
- On est 9 en tout dont 3 femmes de ménage et 1 intendante !
-Il est magnifique ce château !
-Ouiii
Je suivis Allen, je m’amusais à regarder ses jambes frêles et son immense short. Nous arrivâmes devant un grand bâtiment principal qui était certainement réservé aux boxes à chevaux. L’odeur de paille et de fumier m’envahit dès que je franchis la porte principale.
Je fus surpris de la propreté de cette écurie, dans les boxes, les chevaux magnifiques se mirent à me regarder. J’étais émerveillée. Je m’approchais d’une barrière et me mis à caresser le museau d’un magnifique Alezan.
-Il s’appelle Janus…dit une voix venant du fond à droite.
Je tendis la tête pour voir qui m’apportait cette précision. Dans la pénombre je vis un homme de dos en train de nettoyer la litière d’un cheval. Je m’approchais de lui, suivi par Allen qui en profitait pour verser quelques seaux d’avoine dans les boxes. A la hauteur de la barrière, je vis un magnifique cheval tout noir, que l’homme brossait à présent. Il devait avoir la quarantaine, le béret sur la tête, le visage buriné du lad.
-Comment s’appelle t’il ? demandais je en caressant la tête du pur sang !
- Bel Horizon !
-Il est beau…c’est un pur sang ?
-Un vrai de vrai…vous êtes les amis de Sir Richard ?
- Oui on vient d’arriver. Vous êtes le responsable de cette écurie ?
-le Palefrenier…Oui je m’appelle Jo…Jonathan pour les non intimes !
- moi c’est Isa !
- Je sais Lord Richard m’a parlé de vous :
-Ah, En bien, bien sûr !
-Bien entendu !
-J’aimerais bien entrer le caresser…je peux ?
-Soulever le loquet et tirez le vers vous…
J’entrais quelque peu impressionnée de me trouver à côté d’un magnifique pur sang arabe. Il pencha sa tête vers moi tout en mâchouillant quelques brins de paille. Je tendis la main vers Jo qui continuait à brosser le torse du cheval.
-Ne soyez pas surpris ce beau mâle est toujours très sensible quand il voit une femme me dit il en me montrant le ventre du cheval. En effet son sexe énorme s’étirait laissant apparaître un gland impressionnant et rose.
-Je lui fais cet effet !
-Vous comprenez petite madame pourquoi les femmes fantasmes sur les chevaux ?
J’étais comme tétanisée par ce sexe qui s’érigeait devant moi. Je sentais mon ventre se crisper et une chaleur m’envahir le visage.
-Baissez vous vous verrez mieux. J’appuyais mes deux mains sur le flanc du pur sang et me baissa.
- Vous savez qu’il y a des femmes qui font l’amour avec des chevaux ?
-Non je ne crois pas !
L’homme sentait mon émotion et compris mon excitation à la vue de ce mandrin qui sortait du ventre de Bel Horizon.
Une envie folle de saisir dans ma main ce sexe me traversa l’esprit.
-Vous pouvez le caresser si vous le souhaitez…je vous garantie qu’il aime cela !
Je me retins de tendre la main…c’est alors que je sentis l’homme me prendre ma main et la guider vers le sexe tendu d’où je pouvais voir s’écouler un liquide. Le cheval esquiva un pas sur le côté comme si il comprenait ce qui allait se passer. Ma main étai minuscule dans la large main du palefrenier.
-Non c’est idiot ! je ne peux pas !
-Allez vous en avez envie et personne ne le saura… Quelle femme n’a pas rêve caresser le sexe d’un cheval..Laissez vous faire ! Je sentis sa main se poser sur mon épaule et j’abandonnais ma main à l’homme qui la posa sur le membre impressionnant du cheval. Au contact je sentis que je me liquéfiais littéralement, mon sexe devenait eau, ma respiration se saccada…C’était impressionnant.
Alors que j’enserrai à moitié ma main sur le sexe du cheval, je sentis la main du palefrenier descendre dans mon dos et se poser sur ma hanche. Je ne pouvais plus réagir, comme sur une autre planète, ma main glissa jusque vers le gland du cheval. La pression de la main de l’homme sur ma hanche se fit plus marquée. Je sentais dans mon cou son souffle chaud. Je ne résistais pas lorsqu’il s’attaqua à la fermeture de mon jean. Quasiment baissée une main sur le flanc dont je sentais sous mes doigts les veines gonflées du pur sang, l’autre caressant sur toute la longueur l’énorme verge noire, je sentis que l’homme baissait à présent mon jean sur mes jambes, libérant à ses yeux mes fesses blanches et menues.
J’étais dans une phase d’excitation totale, avec une envie indescriptible de me faire prendre là, comme cela par cet homme que je ne connaissais pas.
Jo s’accroupit derrière moi afin de baisser mon jean sur mes chevilles. Il posa ses deux énormes mains calleuses sur mes fesses, les prenant ensuite. Je mouillais comme une fontaine, enivrée par cette odeur de foin, de transpiration des chevaux, par ce sexe dont je sentais les palpitations sous ma main. L’homme pris les rebords de ma petite culotte en coton que je portais souvent avant mes règles, puis doucement il fit descendre celle-ci dénudant à ses yeux mes fesses et mon sexe luisant de désir.
-Tu es vraiment belle, j’aime les femmes au sexe rasé.
Puis sans attendre je sentis qu’il écartait mes fesses, mettant à sa vue, mon petit trou et les premiers abords de ma vulve.
Sa langue se posa sur mon anus, le léchant , l’embrassant. J’aimais qu’un homme me lèche ainsi. Je ne pus retenir un premier orgasme, je l’avais sentis me crisper le ventre dans des pulsions terribles, il me coupa en deux au moment où sa langue descendit vers ma petite chatte à la recherche de mon petit clito tout tendu. Jessey aimait mon sexe parcequ’il ressemblait à celui d’une adolescente, mes lèvres sont comme des pétales de fleur. J’aime me les regarder souvent dans une glace, surtout lorsque je m’épile ; la langue du palefrenier fouillait à présent mon sexe, suçant toute la cyprine qui s’en écoulait abondamment. J’aime qu’un homme m’honore de cette façon
-Tu mouilles super bien, pour un petit cul comme le tien…
A cet instant présent alors que ma main s’était crispée sur le sexe du cheval, j’avais envie d’une pénétration…mon sexe était littéralement en feu, la situation présente m’avait excitée au plus haut point. L’homme après m’avoir sucé une nouvelle fois se releva. J’entendis le cliquetis de son ceinturon qu’il dégrafait ,puis le zip de sa braguette. J’allais être prise comme cela, par cet inconnu. J’avais envie de remonter ma culotte et me sauver, mais il fallait que l’on éteigne le feu allumé dans mon ventre. Je sentis se présenter entre mes fesses, un sexe que j’estimais impressionnant aussi. Son gland butait contre mon périnée détrempé…Je lâchais le sexe du cheval pour glisser ma main entre mes jambes emprisonnées par mon jean et ma culotte abaissées à mes chevilles. Si je ne le guidais pas il allait me déchirer. Son souffle court et saccadé résonnait dans le boxe. Je saisis son membre hors norme et le présentait à l’entrée de ma vulve. Puis des deux mains à présent j’écartais mes deux joues de fesse afin de favoriser sa pénétration. Il me remplit totalement me pénétrant lentement. Malgré que mon vagin soit abondamment lubrifié par mon excitation, je le sentais comme un bâton s’enfoncer jusqu’au fond de moi. Je poussais un cri lorsqu’il butta contre le fond de mon vagin distendu.Il mit ses deux mains câleuses sur mes hanches et je sentis ses bourses gonflées contre mon sexe. Il était à présent entièrement enfoncé en moi. J’aimais. J’aimais cette prise de mon sexe. J’avais envie qu’il ressente combien j’avais à présent envie de jouir d’exploser sur ce membre planté de façon indécente en moi. Puis il se mit à me pilonner. Je sentais très distinctement son gland frotter contre la paroi excitée de mon vagin. Alors qu’il me secouait littéralement dans cette saillie , je pouvais apercevoir entre mes longs cheveux retournés devant mon visage, l’énorme sexe du cheval en érection. L’image intermitente, du sexe à ma vue et des poussées extraordinaires de l’homme déclancha un nouvel orgasme, terrible dont je ne pus retenir un cri aigu. L’homme me besognait, frappant son ventre contre mes fesses, je sentais entre mes jambes battre ses bourses pendantes…j’avais envie de le sentir exploser en moi…il accéléra le rythme me faisant comprendre qu’il était au bord d’une jouissance spectaculaire. Mes fesses menues étaient défoncées par ce membre que je sentais prendre des proportions incroyables. Puis il me plaqua en poussant un cri rauque contre son ventre enfonçant au plus profond de mes entrailles, je sentis un soubresaut et il éjacula au fond de mon vagin avec une puissance que j’avais peu connue chez un homme. Il n’arrêta pas de me combler de son sperme qui tapissait avec une infinie douceur mon sexe enflammé. J’éclatais dans un nouvel orgasme qui me coupa le souffle. Les deux mains appuyées sur le flanc frissonnant du pur sang lui-même excité par cette saillie sous ses yeux, je dégustais cette explosion. C’était un pied incroyable que je venais de prendre alors que j’étais loin d’imaginer que cette situation particulière pouvait arriver. Je sentis le palefrenier se retirer de moi. Je me redressais et je sentis son sperme couler en longues dégoulinades de mon sexe et s’écraser sur ma petite culotte. Je mis ma main sous mon sexe afin de retenir le liquide qui à présent était de plus en plus abondant. Je lui demandais s’il n’avait pas un mouchoir avec lui afin que je puisse m’essuyer les fesses. Il me tendit alors qu’il avait déjà rajusté son pantalon de velours , un morceau de papier toilette. J’essuyais ce que je pouvais. L’odeur du sperme remontait jusqu’à mes narines. Je fis comme une couche avec un grand morceau de papier et je replaçais ma culotte . A cet instant j’entendis comme un ahanement venir de la porte du boxe et levant les yeux médusés je vis Allen, le sexe à la main, l’agitant dans une branlette me fixant de ses yeux exorbités. L’homme et moi nous avions oublié la présence d’Allen à nos côtés…Il se branlait de plus en plus vite dégageant parfois un jeune sexe d’une grandeur très moyenne…Allen avait regardé notre saillie et voulait s’apaiser. Avant de refermer mon Jean, je l’entrouvris en le regardant, puis j’abaissais ma culotte blanche dévoilant mon pubis où seuls quelques poils blonds l’ornait. Il me fixait avec frénésie, agitant sa main .Je savais que cela allait l’exciter et le faire jouir…ce qui arriva, je vis un jet blanchâtre exploser de son gland et atterrir devant lui sur la paille. Il expulsait en trois jets une dose que j’estimais impressionnante de sperme. Lui aussi avait droit de prendre son pied.
Je m’approchais de lui alors qu’il remettait son sexe dans son short.
-Promets moi Allen que tu ne diras à personne ce que tu as vu…promis
-Ouiii madame.
Je me retournais vers l’homme qui avait repris son brossage de Bel Horizon.
-Je compte également sur votre discrétion Jp ?
-Vous pouvez compter sur moi et vous pouvez revenir quand vous voulez !
-Peut être :
Je demandais à Allen de me faire à présent visiter le parc. L’odeur du sperme qui se séchait dans ma culotte pouvait trahir mon faux pas. Il fallait que je puisse rejoindre ma chambre sans que Richard ou Jessey me croise. Allen me fit comprendre qu’il y avait une entrée latérale qui menait au premier.
-Tu as déjà vu des gens faire l’amour comme cela Allen ?
-Non Madame, mais vous êtes vraiment très belle
-Tu te caresses souvent comme tu l’as fait devant moi ?
-Quand je suis seul dans ma chambre
-Tu as de quoi à présent meubler tes fantasmes…
-j’aimerais bien vous revoir faire l’amour comme ça !
-peut être…mais à présent montre moi le parc s’il te plait.
Suite dans LES FANTASMES D’ISABELLE N°11
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