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Les randonneurs
Ce jour là, le soleil de juin éclairait le chemin qui traçait ses lacets entre les chênes le long des gorges de la rivière. Un couple de randonneur allait gaillardement. Elle était rousse de grande taille ses long cheveux épais libérés en toison flottaient autour de sa tête. Elle portait des collants de jogging noir et un débardeur de fitness .Sa tenue mettait en valeur son corps musclé et ses formes très féminines, hanches larges et seins en poire de belle taille.
Son compagnon athlétique plus âgé qu’elle avait l’assurance de la maturité.
Au cours du trajet encombré, la fille dû grimper sur un bouquet d’arbres tombés, son compagnon lui tendit la main alors qu’il restait sous elle pour lui servir d escabeau, son autre main remontât sous la cuisse en frôlant la chatte.
Arrivé en haut du plus haut tronc penché ils s’assirent à cheval, la fille s’adossa au tronc les jambes de part et d’autre, l’homme en face d’elle vit le collant mouler son sexe féminin aux formes généreuses .Il posa ses mains sur les cuisses de la fille et posa un baiser sur le coussin rebondi du pubis. La rousse fit glisser sa main dans son collant et il vit les doigts effleurer la fente et même pénétrer la place.
Il passa ses mains sous les fesses et fit glisser le collant découvrant le buisson roux et la peau blanche. La main de la fille ouvrit le sexe corail bordé de lèvres pulpeuses.
L’homme posa sa bouche dessus et fit entrer sa langue très loin.
Elle releva ses cuisses et posa ses pieds sur des branches sorties des troncs et placées là fort à propos. Elle se trouvait ainsi en position gynécologique .Le garçon en la léchant fit pénétrer deux doigts et commença à masser l’intérieur du vagin liquéfié. Il utilisait l’index et le majeur pour masser le point G et avec le pouce il écrasait doucement le clitoris en le contournant. Contemplant le spectacle il fit entrer son autre pouce dans le bas du vagin pour rechercher le second point G et allonger cette très jolie vulve. Elle semblait pouvoir se distendre avec les soins prodigués aussi l’homme allât introduire le bout de l’index dans l’anus pour saisir la cloison du périnée entre son pouce dans le vagin et son index .Il trouva une zone très érogène à en voir les résultats immédiats. Un deuxième doigt dans le cul entrât sans mal tant elle était mouillée et offerte. Ses deux mains s’occupaient à lui pétrir le clito la vulve et le trou du cul. Ses trois points sensibles stimulés en même temps la belle rallait de plaisir.
Un bruit de moteur, puis un autre, des motos enduro arrivaient. Il retira ses mains, elle remonta son juste au corps et ils attendirent les motards en haut de leur embâcle, en buvant du thé au miel tiré de leurs petits thermos en alu.
Ils reprirent leur marche, le juste au corps était bien collé par l’humidité et ne cachait rien des détails de ce sexe sublime. Ils s’arrêtèrent pour casser la croûte au pré d’une source aménagée aux fins de dévotions païennes. Un petit tuyau sortait du rocher et l’eau se distribuait dans une suite de vasques naturelles en granit. Ils se lavèrent les mains et le visage, la belle alla dans un buisson et revint soulagée. Elle fit rouler en boule ses collants sur ses chevilles et s’assit dans la plus haute vasque pour rafraîchir son intimité. Le joli spectacle qu’elle donna à son ami, elle le fit durer un bon moment. Ils reprirent leur route de plus en plus escarpée vers un amas rocheux au sommet d’une colline.
Le site était imprenable, les pierres vouées à quelques rites druidiques et sanguinaires offraient des loges à cupules. Leurs tailles allant de la marmite jusqu'à la baignoire, parfois remplies d’eau de pluie entretenant l’érosion, parfois vide si leur rebord était usé et permettait qu’il se vide naturellement.
L’une d’elle était réputée pour avoir servie de trône à quelque roi antique il en avait la forme.
La reine du jour s’y installa majestueusement et elle retira tous ses vêtements, son regard englobait la totalité du paysage sur des kilomètres de vue imprenable. L’homme se plaça debout en face d’elle sur un bloc, elle écarta ses cuisses. Le sexe dressé sortit du short, il la pénétra leurs deux bassins étaient à la même hauteur, lui debout elle assise s’était laissée glisser. La place était humide et il disparut entièrement en elle. Une sensation rare pour lui, ce sexe si facile à distendre était onctueux, capitonné, et au lieu de s’ouvrir passivement il aspirait et comprimait sa verge comme l’aurait fait une bouche. Ils bougeaient tous les deux et la lenteur de la sortie de la verge alternait avec des entrées puissantes.
Il fit sortir sa queue et la prenant en main il en frotta le gland sur le clitoris, le long des lèvres, sur le périnée et a l’entrée de l’anus. La dame se tenait les cuisses ouvertes .il appuya la caresse et le gland disparu dans la vulve puis plus bas dans le petit trou qui céda le passage après une poussée plus forte. Ils décida de rester planté là et s’enfonça progressivement et complètement en contemplant la chatte ouverte. Il pris la main de la dame et la plaça dessus afin qu’elle se branle sous ses yeux, chose qu’elle fit. Elle se laissa aller et fit entrer en elle ses quatre doigts. La tension était trop forte, l’homme jouit dans le cul, il restât un moment jusqu'à ce que sa queue diminue de tonus et se retira en contemplant l’anneau qui suivait son sexe comme une succion. Le sperme sortait du trou.
La rousse restait là en ondulant du bassin, elle en demandait encore. Elle tendit sa main vers le sac à dos et pris le petit thermos .Le sommet dévissable et le corps du flacon était sans aspérité .Elle le plaça à l’entrée de la vulve ouverte et demanda à son partenaire
Du faire entrer doucement. Il avança prudemment en le faisant tourner sur lui même pour bien répartir les secrétions. En peu de temps il arriva au fond du vagin et put contempler le sexe tendu qui faisait une couronne de chaire rose corail autour de lui .Il le fit aller et venir pour tirer des râles de plaisir de la belle. Au cours d’un soubresaut elle éjecta l’objet, et réclama la main de l’homme. Bien préparé la vulve reçu les doigts placé en forme de bec de canard le pouce en opposition au majeur, les phalanges disparurent, il les replia pour entrer plus loin et bientôt en forçant un peu et en se plaçant en diagonale par rapport à la fente, il fit entrer sa main jusqu’au poignet. Au bout d’un moment et après avoir déclenché un orgasme, il retira sa main en laissant son poing à demi fermé, ce qui attira une partie du vagin vers l’extérieur et fit encore une fois jouir sa partenaire.
Une vasque remplie d’eau très claire permit déteindre le feu déclenché, et de raffermir la chaire malmenée.
La fin de la ballade fut sans histoire, mais ralentie par la faiblesse des jambes éprouvées par tant d’ébats.
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