Parue le 27 mai 2017

Il y a 1 commentaire pour cette histoire

---

Noter ce récit erotique !

---

Je suis arrivé dans ma belle famille un dimanche. Présenté par celle qui allait devenir ma femme, je fus surpris par l'accueil et reçu avec beaucoup d'égard. Ma femme a trois sœurs que rapidement j'ai apprécié. pourtant l'une d'elle attirait mon attention. Plus jeune que ma femme de quelques années, en couple elle aussi. Elle respirait le sexe et dansait merveilleusement sur Madona. Pendant des années je fantasmait sur elle au point de ne penser qu'à elle en baisant ma femme, sa sœur. Puis un jour se produisit le miracle, alors qu'elle avait besoin de gagner Paris pour rejoindre son future mari. Je lui proposais de l'accompagner, nous avions quelques centaines de kilomètres à parcourir sur une autoroute. Nous sommes parti un samedi matin, il faisait chaud. Elle était vêtue d'une robe légère et quelque peu transparente au soleil se qui devait me ravir car je voyais sa lingerie fine. De belles et rondes fesses me laissant rêver et m'excitais. Ses jambes fines aux pieds chaussés à petits talons, me laissaient deviner la douceur de sa peau. Après quelques kilomètres sur l'autoroute, je n'avais de cesse de contempler cette jeune beauté et je lui proposais de profiter d'une aire de repos pour prendre un verre. Nous nous sommes arrêté pour nous allonger sur l'herbe, prendre un peu d'eau et tant mieux car allongé sur le ventre elle ne pouvait voire la bosse qui me torturait. Nous avons parlé de choses et d'autres jusqu'au moment ou elle devait de mettre sur le côté appuyé sur un coude. Sa poitrine était plaqué par se doux tissus de mousseline et je perdais peu à peu mes moyens. très vite elle le remarquait et souriait. là dans cette position sexy, elle me regardait droit dans les yeux et continuait la conversation en devenant plus précise. Nous avons fini par nous avouer quelques secrets. Nous avons joué au jeux de la vérité, et très franchement c'était excitant. C'est fou se que l'on apprends en de pareils moments ! Elle me confiait écouter aux portes pour savoir si je baisais sa sœur et profitait du petit matin pour piquer la culotte humide de ma femme pour le frotter le minou avec et étaler mon sperme sur sa chatte. Quelques fois elle portait les culottes de ma femme toute la journée histoire de baiser mentalement avec moi. je lui avouais que je spermai sa sœur en pensant à elle et que je rêvais de rendez vous secret. J'étais un peu jaloux qu'elle ailles habiter sur paris car elle serait loin de moi et de nos rendez vous. Nos mains sont devenu vicieuses et tout en parlant je caressai sa peau sous cette robe légère, ses lèvres gonflaient et devenaient rouge de désir. Sa main touchait ma bosse à la gonfler de douleur. Un moment, après nous être longuement regardé, nous nous sommes embrassés doucement, paisiblement j'étais aux anges. Ma main passait sous sa culotte et je pouvais sentir sa jeune peau douce et parfumé. Elle sans gène, malgré le passage commençait une fellation digne de mes plus beaux rêves et très vite elle devait se régaler de mon sperme qu'elle devait étaler sur sa chatte. Se fut notre premier rapport ! Après nous n'avons jamais pu nous empêcher de vivre nos fantasmes. le premier d'entre eux fut de la prendre dans sa robe de mariée, ensuite de faire connaissance d'amis pour des jeux coquins. Elle avait envie que je la regarde se faire prendre et être pénétré par plusieurs hommes. Je suis toujours avec sa sœur qui ne soupçonne rien et a chaque réunions de famille nous prétextons des courses à faire pour aller dans les rayons de lingeries. Là dans les cabine d'essayage je l'habille de belles culottes pour lui bouffer la chatte. Bientôt je lui parlerai de l'envie de sauter sa meilleure amie pendant qu'elle se tapera son mec. Avec elle je suis heureux !

---

Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net

---

Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:

Pseudo (*):


       Votre commentaire sur cette histoire(*):

Les champs marqués d'une étoile (*) sont indispensables.