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Ma tante maternelle.
par Trezelien
Texte complet
Toute la famille était invitée pour célébrer le mariage de ma cousine Jamila. Après la cérémonie, le cortège et les danses nous nous retrouvâmes, les invités et la famille, pour le diner. Tout cela est normal pour un mariage.
La villa qui nous abritait était juste pour les invités donc les chambres était toutes occupées. Pour la famille il fallait se débrouiller pour trouver une place où dormir. Chacun se hâtait pour trouver un matelas. Je me suis trouvé un semblant de lit sur la terrasse car il faisait assez chaud. Il était plus de deux heures du matin. Vue la fatigue, je tombai comme une masse dans un sommeil profond. Soudain je sentis dans mon dos une chaleur bizarre, alors tout doucement, je me suis retourné et, surprise, c'était la plus jeune de mes tantes maternelles. Elle avait à cette époque plus de trente ans. Bien conservée car elle n'a jamais eu d'enfant, elle avait une taille magnifique, de gros seins et surtout des fesses qui font bander un curé.
Depuis mes quinze ans je fantasmais sur elle. De son côté elle ne faisait rien pour ne pas me faire bander encore plus. Elle portait des tenues moulantes qui faisait ressortir ses seins et son cul. Un jour de printemps nous étions à la campagne en famille pour une journée de promenade. Nous avions mangé sur l'herbe puis nous nous sommes allongés pour une petite sieste. Une envie me pressa donc je cherchai un buisson pour me soulager quand soudain j'entendis un bruit de pas féminins. Je me suis caché pour ne pas gêner la personne. Et pour ma chance c'était ma jeune tante qui venait chercher un abri loin des yeux pour pisser. Caché par les buissons elle ne pouvait pas me voir. Je profitai pour mieux me cacher et l'espionnai. Après avoir jeté des regards à droite et à gauche, elle souleva sa robe et me faisant face abaissa sa culotte st s'accroupit. Sa chatte rasée s'ouvrit et un filet d'urine sortit d'entre les lèvres de sa chatte joufflue.
Je sentis mon sexe gonfler et mon cœur qui battait comme un tambour de troubadour. Le jet doré tarissait petit à petit et s'arrêta en gouttes qui glissèrent plus bas. Elle prit un papier et se frotta le minet pour s'essuyer. Elle se releva, remonta sa culotte et disparut.
Avec stupeur à mon tour je me suis relevé avec une trique d'enfer et une envie de me masturber. C'était si rapide qu'à peine un premier va-et-vient, je lachai tout mon sperme sur sa pisse. Depuis ce jour je la regardait non comme une tante mais comme une femme avec tous ce que cela comporte comme rêves érotiques.
Dans mes rêves les plus fous, je ne pensais pas avoir la chance de la sentir si proche que cette nuit. Elle dormait déjà car sa respiration me le prouvait. Le sommeil me quitta et je me suis rapproché encor plus, jusqu'à la sentir. Elle me tournait le dos pour ma chance. Dans son sommeil, elle se blottit contre mon corps, ses fesses épousèrent mon bas ventre. Sa chaleur me fit bander et doucement je poussai ma queue entre ses fesses. Et feignant le sommeil je jetai ma main sur sa cuisse. Devant son inertie je poussai encore plus haut ma main qui cette fois couvrait son ventre rond.
Mes doigts se firent curieux et cherchèrent encore plus. Je touchai sa grosse chatte qui débordait entre ses cuisses, et d'un doigt je le glissai doucement entre ses lèvres par-dessus sa culotte. Je remontai sa robe et je sentis ses fesses. Puis d'un doigt agile je poussai sa culotte de côté et libérai sa chatte qui sortait par derrière. J'attendis mais aucune réaction, alors je poussai encore plus ma bite entre ses fesses et là je sentis les lèvres de sa chatte sur mon gland. Elle était mouillée. D'un mouvement lent et furtif je coulissai vers l'entrée de sa chatte. J'étais en nage car j'avais peur qu'elle ne se réveille et là , la honte. Quand tout à coup elle soupira et ouvrit ses jambes pour faciliter la rentrée de ma bite dans son trou. Surpris je ne pouvais plus bouger alors à son tour elle poussa ses fesses et enfourcha mon pieu jusqu'à la garde et commença à bouger et soupirer. Je poussai à mon tour ma bite bien profond et entamai des va-et-vient quand je sentis des doigts qui me caressaient les couilles. A ce moment je m'aperçus qu'elle était éveillée, alors elle me chuchota "continue mon chéri, fais moi jouir, ha... elle est bonne ta queue... elle est grosse et large... vas plus profond... elle plus grosse que celle de mon mari... elle va plus profond... pousse chéri, encore plus... fais moi jouir. "
Ne tenant plus je me déversai dans ses entrailles. Elle se tourna et m'embrassa et dit "merci je n'ai jamais jouie comme cela". La honte se dissipa et j'oubliai complétement que j'avais fait l'amour à ma tante. Encouragé et ayant toujours envie je commençai à la peloter et la doigter, elle avait la chatte encore humide. Cette fois-ci je lui ai demandé de me suivre dans le cagibi de la terrasse. Elle me suivit et dans l'obscurité je la fis retourner, lui levé la robe, abaissé sa culotte et en levrette lui enfourchai ma queue dans sa chatte, et d'un doigt je lui caressai le trou du cul. D'abord surprise elle me laissa faire alors je l'enfonçai dans son fion, il glissa facilement alors elle me demanda de la sodomiser. Je n'attendis que cela pour sortir de sa chatte pour plonger dans son cul après l'avoir bien salivé. Après un court moment elle commença à gémir avec des bruits sourds et à cet instant j'ai compris qu'elle aimait se faire enculer car elle jouissait et ne sentait aucune douleur car son trou était très large et pouvait prendre des queues encore plus grosses. Ayant fini notre affaire nous regagnâmes notre couche et dormîmes jusqu'au matin. Depuis ce jour à chaque occasion nous prenons du bon temps. Mais je n'oublierai jamais cette nuit.
Je vous souhaite une bonne lecture.
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