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Il y avait longtemps que je voulais franchir le grand pas mais j'avais toujours reculé au moment opportun. Ce jour là, invitée par des amis je m'étais rendu à une soirée. Quand je suis arrivée il y avait beaucoup de monde et ce soir là j'étais radieuse et les mâles qui présents me mataient et j'en avais conscience. J'en jouais d'ailleurs et ma démarche, mes sourires, mes regards étaient provocateurs. Au repas, mon voisin commença à me draguer. Un homme bien élevé, bien habillé et très entreprenant. Il me raconta sa vie, qui ne manquait pas de sel. Il me remplissait mon verre régulièrement pour me griser. Je me prêtais au jeu et trinquait à chaque gorgée. Malgré mon état, j'ai senti sa main sur ma cuisse. Elle était posée assez haut. J'ai voulu la repousser mais elle revenait sans cesse. J'ai fini par céder et le laisser faire. Cette caresse m'avait beaucoup excitée et j'ai senti ma culotte se mouiller.
Avec discrétion, malgré le monde qui trônait autour de la table, il passa sa main derrière l'élastique de ma culotte et après avoir caresser mes poils pubiens il descendit sur mes petites lèvres. J'étais médusée et paralysée. Son doigt glissait entre entre mes lèvres pleines de cyprine. je faisais des efforts insurmontables pour ne rien paraître et ne pas dénoncer cette caresse à tout le monde. Je serrais soudain les cuisses et priais mon voisin d'arrêter. Il se pencha vers moi et me demanda de le suivre dans les deux minutes de sa lever de table. Ce que je fis.
Il m'attendait dans le couloir et dès que j'eus refermer la porte, il me prit par un poignet et me traîna jusqu'à l'étage. Nous montions les marches et arrivés dans le couloir, il ouvrit une porte et il m'attira contre lui pour pénétrer dans une chambre. Debout derrière la porte, il déboutonna mon chemisier, dégrafa ma jupe et avec précision et précipitation me déshabilla complètement. Il resta vêtu et profitant que j'étais nue devant lui il me caressa et m'embrassa fougueusement sur tout le corps, insistant sur la pointe de mes seins. En deux minutes il avait jeté ses vêtements dans les quatre coins de la pièce. Son sexe énorme était dressé devant moi. Il appuya sur mes épaules pour me faire comprendre de me mettre à genoux. La pression me fit plier les jambes et je me retrouvais face à son sexe au gland énorme sur mon visage. Je commençais à donner quelques bisous sur la pointe puis ma langue le lécha pour enfin le prendre en bouche. J'ouvrais grand mes lèvres et son gland pénétra mon palais. Je découvrais cette matière un peu caoutchouteuse. Il gémissait alors que je l'aspirais lentement. Avec une main je maintenais sa verge tendue et le branlais. Cette pipe improvisée me donnais du plaisir. J'avais entre mes lèvres le membre d'un homme que je ne connaissais pas ou peu. Ce membre chaud glissait en allant et venant. Pendant cette succion je caressais ses boules lisses. Son corps s'est mis à se raidir et à s'arcbouter et je reçus plusieurs saccades de sperme dans le fond de ma gorge. j'en découvrais le goût, la consistance mais j'avalais tout ce jus que je finis par aimer. Il a maintenu mon crâne pour que je ne m'échappe pas et me lâcha quand son membre commença à ramollir.
Il recula, fit quelques pas en arrière puis revenant vers moi, il me prit dans ses bras et me porta jusqu'au lit. Il écarta largement mes jambes et plongea entre mes cuisses, léchant, aspirant et dégustant ma chatte inondée. Il se remit debout et me glissa jusqu'au bord du lit. Sa queue avait repris de la dureté et s'aidant de sa main il la dirigea dans mon vagin. Il me pénétra lentement. Il s'arrêta un court instant, franchit le fond. Il imprima un va et vient régulier. Je sentais ses boules frapper mon anus à chaque fois. Il m'embrassait, me léchait, j'étais aux anges. Le plaisir montait de plis en plus et ce fut l'apothéose. Une jouissance énorme comme je n'avais jamais ressenti; un orgasme à me faire évanouir. Il déchargea sa semence dans le fond de mon ventre. J'enserrais son corps de mes bras pour qu'il reste en moi. Nous sommes restés longtemps dans cette position, puis il s'affala sur moi. Il glissa sur le côté pour s'étendre contre moi et il s'endormit. Une heure après nous avons rejoint les invités qui nous accueillirent avec un petit sourire qui en disait long.
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Ecrit par Edith
Parue le 14 novembre 2017
