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Au fil des années de mariage, des aléas de la vie, de plus en plus je laissais, mon mari, tout faire, tout organiser, au point de devenir une épouse quelques peu « docile et soumise », sans que cela ne me traquasse, trouble, et me sentais de plus en plus protégée, de plus en plus amoureuse, de plus en plus disponible à ces désirs…. ! En parfaite harmonie on vivait, faisant même pas mal d’envieux !
Nos ébats amoureux, étaient de plus en plus polissons…, coquins, sulfureux, dans des endroits-même des plus insolites. Chaque fois je m’en régalais, et le lui prouvais. Je me dénudais de plus en plus à la maison, sur les plages…, et avec des dessous des plus aguichants je m’habituais vite à porter, et à sortir en toutes circonstances entièrement nues sous mes vêtements ! Un ardent plaisir m’envahissait, à chaque « exhibition » discrète que j’osais, offrais à mon chéri.
Un jour lors d’un repas familiale des plus animé, au bout de table on se trouvait et tandis que dans la pénombre défilait sur le mur des diapos de vacances, mon chéri sous la table discrètement devinait mon trouble, mon excitation, nue que j’étais sous ma robe… Certainement que le rosé bu était pour quelques chose dans mon excitation, car discrètement dans l’oreille, je me suis mise à lui susurrer toutes mes envies de sexes…, que j’étais enflammée…, prête à toutes les folies…, ouvrant largement mes cuisses, pour qu’il effleure ma vulve qui perlait, sans que personne ne se doute de quoi que se soit !!!
Ne fumant jamais devant ma famille, après le dessert, on allait dans la campagne environnante faire tous une ballade, et quittant un chemin, on allait seul, mon chéri et moi, jusqu’à la vieille bâtisse de ma grand-mère, quelques peu délabrée, pour « enfin » fumer une cigarette… Ma veste tailleur, qui couvrait ma courte robe, tombait sous les câlins de mon mari, et sans le retenir je le laissais même délicatement m’ôter ma robe pour être entièrement nue ne portant que mes hautes sandales, des plus échauffés, animés de mille envies étions. Cachés qu’on était, nous laissions libre nos câlins, et de sulfureux ébats amoureux entamions, jusqu’à répéter, insister sincèrement, sur mes dires quand nous étions à tables !!!
- prête à toutes les folies mon amour… ? lesquelles… ? se mit mon chéri à me demander, et serrant son sexe dans ma main, je lui chuchotais que j’avais de plus en plus envie d’être aimée…, baisée…, prise…., indécemment que je me sentais d’humeur polissonne… !
Et dans notre délire amoureux, là en pleine nature, je me laissais aller à lui concéder, reconnaitre que dans mon état, que même plusieurs queues me plairaient !!!!
- Tu te ferais partouzer mon amour…. ?
- Avec toi…, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
- Et qui d’autres… ?
- Je ne sais pas…. mais que des inconnus, sans retenues je lui suggérais !
Me distillant mots doux et crus à la fois, je ne pouvais qu’acquiescer, souscrire à ces dires et je l’encourageais-même à me soumettre à des ébats des plus dépravés…, que comme lui j’en avais envies, car depuis pas mal de temps, on « fantasmait » à l’idée d’être « partagée », les draps de notre chambre peuvent en témoigner...
Me faisant lever de terre, à chaque coup de son sexe, râlant de plaisirs pris, j’insistais à encore et encore d’être plus fortement prises…, d’être plus loin pénétrée…, que j’aimais, que c’était bon…. !!!
Portée et assise sur une petite murette couverte de mousse légèrement humide, jambes bien ouvertes, j’appréciais, jouissais de cette « évasion » sexuelle et entre deux voraces baisers, amoureusement mon chéri me traitait de « Salope…, chienne…. cochonne… » Et ne me retenais pas de l’encourager encore et encore, que pour lui j’étais prête à tout et tous, l’incitant à persévérer, car je me sentais absolument, totalement « immorale, chienne, dépravée, vicieuse-même », comme jamais et m’en régalais !!!
Complètement anéantie, je restais jambes ouvertes, dans le vide, et tombée en arrière j’étais, tandis que s’écoulait de mon intimité quelques gouttes de nos excentricités, et laissais mon chéri avec des kleenex me nettoyer. Je me redressais, finissais, et me rhabillais, en me faisais une petite beauté, et lui marmonnant que j’avais adoré, et le vénérais, chérissais.
Tout en marchant amoureusement enlacés jusqu’à la maison, rejoindre la famille, on se jurait notre amour, et d’une manière des plus passionnée, on se promettait de franchir le pas, et d’oser réellement organiser et participer à notre premier gang bang…. !
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Ecrit par harroferrari
Parue le 16 février 2018
