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Première pipe ( ou comment je suis devenue salope)
Ce soir, je vais faire la salope. C’est Luc, mon mari, qui me l’a dit. Luc aime beaucoup quand je fais la salope. Il apprécie quand je m’amuse avec lui, mais aussi quand je peux distraire ses amis. Et moi, ça ne me déplaît pas. Il faut dire que ça nous rappelle la façon dont on s’est connu.
C’était il y a cinq ans. J’avais dix-neuf ans et j’avais été invitée à la fête anniversaire d’une copine qui habitait en pleine campagne, une belle maisonnette au milieu d’une petite propriété close par des haies vives. Ma mère m’y avait déposée le samedi en début d’après-midi et devait venir me rechercher le lendemain en fin de journée. Il faisait beau, et notre petite fête devait se dérouler en plein air. Les parents s’étaient absentés et avaient laissé carte blanche à leur fille, ils avaient seulement interdit de faire un barbecue, pour éviter toute imprudence. Mais pour que la fête soit réussie, il y avait de la nourriture en abondance, de quoi se goinfrer, des toasts, des viandes froides, des salades, des pâtisseries, salade de fruits, et j’en passe.
Nous étions une quinzaine de jeunes, garçons et filles, à écouter de la musique en buvant des sodas. Il faut dire qu’à cette époque-là, faire la fête ne voulait pas dire se saouler la gueule. Des bâches et des couvertures étaient étalées sur l’herbe, à l’ombre de quelques grands arbres. Certains d’entre nous se prélassaient dessus alors que d’autres partageaient des jeux, p r groupes deux ou trois. Quelques-uns se bécotaient. L’ambiance était au beau fixe, et notre hôtesse était heureuse au milieu de ses amis.
Malheureusement, en moins d’une heure, le temps s’était couvert, nous apportant la pluie. Il a donc fallu se mettre à l’intérieur pour continuer la fête. Musique, danse, petits jeux par groupes de trois ou quatre, tout va bien pendant quelques temps. Malgré tout l’ambiance commence à retomber. Quelqu’un propose des jeux avec des gages, et ça marche ! On y trouve de tout : Reconnaître quelqu’un les yeux bandés, marcher à quatre pattes, danser un slow avec son voisin ou sa voisine, imiter une personne ou le cri d’un animal. Et puis, quelqu’un propose de jouer à « Cap’ ou pas cap’ ». Tout le monde s’assied en rond sur le sol, et on fait tourner une bouteille. Le goulot désignera celui qui sera mis à l’épreuve. Et chaque fois, ce sera un groupe qui décidera de l’action à accomplir.
Le jeu devient d’autant plus amusant que les actions demandées sont de caractère sexuel. Ce qui, au début, était juste un peu excitant devient peu à peu osé et grivois, de quoi faire rougir une vierge : rouler une pelle à quelqu’un, se faire peloter les miches par plusieurs, filles et garçons, un garçon doit se mettre torse nu, une fille doit enlever sa culotte, ou chanter une chanson cochonne. Et les défis se corsent encore. On demande à une fille de se frotter sur la cuisse d’un mec, puis à un garçon de mimer l’acte sexuel sur une fille. Un autre doit baisser le pantalon et se masturber. Il y a aussi une fille qui a dû se faire sucer les tétons par tous les autres participants, et qui, maintenant,reste avec les seins à l’air. Quand, pour la troisième fois, le sort me désigne, il y a une longue concertation, et le couperet tombe : « Tu choisis un mec, et tu lui tailles une pipe jusqu’à ce qu’il te dise d’arrêter ».
Je suis interloquée. D’abord, je n’ai encore jamais taillé une pipe, même si secrètement j’en ai déjà eu envie, et surtout pas en public. Mais voilà, on est en train de jouer, et si je refuse, je risque de casser l’ambiance. Je serais plutôt mal vue. Alors je dis d’accord. Maintenant il me faut choisir l’heureux bénéficiaire de ma prestation. Je regarde tout à tour les six ou sept jeunes mâles présents qui aimeraient faire connaissance avec ma bouche. Mon choix s’arrête sur Luc. C’est un joli garçon, deux ou trois ans de plus que moi, bien bâti. De tout l’après-midi, je ne l’ai pas une seule fois dire quelque chose de déplacé à propos des filles. Il me semble correct Et puis il doit être le plus âgé de tous. Donc, ce sera Luc.
Dans quoi je me suis fourrée ? Je n’ai jamais eu de relations avec un garçon, et tout d’un coup, je dois faire une pipe, et en public, s’il vous plaît.
Luc se met debout et s’avance au centre du cercle. Je fais de même, mais je demande comment m’y prendre.
• C’est simple, tu te mets à genoux devant lui, et tu lui descends son short et son caleçon.
Je n’ai pas le choix. Je m’agenouille, défais sa ceinture, et tire le short vers le bas, jusqu’à ses chevilles. J’ai devant les yeux, un caleçon contenant un gros paquet. Tout le monde m’encourage à continuer. Je place une main sur chacune de ses hanches, et je descends le caleçon. Son service trois-pièces est au repos, la queue molle pend au-dessus des bourses. Le tout est entouré d’une légère fourrure toute noire ; Et maintenant ? Je lève les yeux vers Luc. « Allez ! Continue ! »
J’ai déjà vu des bites sur internet. Celle de Luc semble être dans la moyenne, environ 16 ou 17 centimètres de long, mais plutôt grosse. Comment je vais faire avec un engin comme ça en bouche ?
Timidement, j’empoigne le sexe de Luc. « Décalotte-le ! » Ce que je fais, plutôt maladroite-ment, mais légèrement aidé en ce sens que la queue commence à se raidir. Le gland apparaît, rose violacé, tel un champignon. « Ta bouche ! » J’approche ma bouche et, avec une grimace de dégoût, je touche le gland avec ma langue. Mais, surprise, pas de mauvais goût. Je m’enhardis et recommence. « Allez, maintenant, prends-le en bouche ! ». Sur cette injonction, j’ouvre la bouche pour laisser entrer la queue. « Suce ! ». Je suce un petit bout de queue, pas mauvais finalement. Je m’enhardis et le prends davantage en bouche, ce qui est facile, vu que le membre s’est raidi. Pour m’aider, Luc fait de petits mouvements d’avant en arrière. Je comprends qu’il se branle dans ma bouche.
• « Allez, fais-le jouir ! ».
Heureusement que j’ai déjà visionné des films porno. Même si je suis encore vierge, que je n’ai jamais fricoté avec un mec, je ne suis pas tout à fait une oie blanche. Et j’ai ben compris ce qu’on attend de moi. Il faut que je suce ce beau mâle, que je le branle avec ma bouche, jusqu’à ce qu’il jouisse, ça veut dire que je vais recevoir du sperme dans la bouche et sur le visage. Je n’en ai pas tellement envie. Mais j’ai dit d’accord, j’ai commencé, il faut continuer.
Avec la bouche pleine de sperme, je ne vais plus respirer. Mais il ne faut surtout pas que je bave, ça fait trop cochon. Je vais devoir tout avaler, et proprement.
Maintenant déterminée, je prends ses bourses en mains. Ce sont des grosses couilles et quand je les tiens fermement, je sens la queue qui se raidit dans ma bouche. Je me recule un peu, sortant le membre presque entièrement, je place mes lèvres en cul de poule, et me balance d’avant en arrière pour masser la queue. J'engouffre sa queue en m'écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Sur le coup, je n'en avale que la moitié. Puis je parviens à emboucher la presque totalité de la longueur, ça ne me fais plus peur maintenant, et j’accélère le rythme, serrant le membre au maximum avec mes lèvres. Luc a posé ses mains sur ma tête, comme pour m’encourager. Je lève les yeux vers lui, il me fait un sourire pour m’inciter à continuer.
Maintenant je fonce, j’ai hâte d’avoir terminé. Je sors la bite de ma bouche, et la caresse sur toute la longueur avec ma langue. Je titille aussi le gland pendant que je le branle. Alors, je me mets à le branler doucement. Quelques gouttes suintent du gland. Je le lèche avec application. Sa mouille est bonne, elle est onctueuse et salée. J’ai envie qu'il me gicle dans la bouche.
« Encore un effort, tu vas y arriver ».
C’est facile à dire. Je n’ai encore jamais sucé de bite, moi. Je voudrais bien les y voir, je suis sûre que je me marrerais doucement.
Je sens la queue se raidir dans ma bouche. Luc met ses mains sur ma tête, sans doute pour m’empêcher de me retirer au moment crucial. Mais je n’ai pas envie de me retirer, j’ai envie d’aller jusqu’au bout de mon aventure, pour vivre ce que je vois sur internet. Je veux savoir quel goût a le jus de couilles, et si je suis capable de faire comme toutes les filles que je vois dans les pornos. Le vin est tiré, il faut le boire.
La bite, très raide, tressaute dans ma bouche. Je comprends qu’elle va bientôt lâcher son jus. Je me prépare en me reculant un peu. Je ne conserve que le gland. Et puis, ça y est. Je sens une giclée qui vient buter au fond de ma gorge, et puis encore une autre. Je garde bien mes lèvres serrées pour ne pas baver, et doucement, je commence à ingurgiter le jus de couilles. A part le fait que c’est chaud et gluant, je ne sais même pas quel goût ça a. Je lève les yeux vers Luc qui me sourit et m’enfonce à nouveau sa queue dans la bouche. Alors, pour recueillir un supplément de sperme, je le suce activement sur toute la longueur de la queue, le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je veux connaître le goût de son jus.
Cette fois, ma salope, tu as sauté le pas, tu as bu du jus de couilles, et ça a l’air de te plaire. Alors pompe, salope, laisse-le te remplir la gueule encore une fois.
Luc a compris que je veux aller jusqu’au bout. Il me laisse faire. Je m’active tant et plus sur la queue, je la gobe, la suce, la laisse presque sortir entièrement, je la reprends avec un grand bruit de succion. Et pour accélérer l’éjaculation, je prends les bourses en main, je les caresse, je les triture, je vais jusqu’à enfoncer mes ongles pour les griffer.
Et puis, une giclée. J’en pleure de joie. Mon gosier est rempli de ce liquide gluant qu’on appelle du sperme. Mais c’est du sirop de mâle, du vrai jus de couilles. La giclée est toutefois moins forte que les précédentes. Je lâche les couilles, prends la bite en main, et sans l’enlever complètement, je mâche ce jus gluant, je m’en gargarise pour enfin en connaître le goût. Ma bouche est maintenant pleine de ce liquide chaud et gluant, un peu salé, un peu âcre, mais finalement pas désagréable. Je lève les yeux vers Luc, puis je jette un regard aux spectateurs qui sont aux anges.
« Allez, maintenant avale bien et nettoie-le ! ».
Ben tiens ! Je vais me gêner. Maintenant que j’ai fait le premier pas, je vais leur montrer de quoi je suis capable.
Je sors la queue presque entièrement, laissant juste le gland sur le bout de ma langue et, doucement, je commence à avaler en regardant les autres. Quand ma bouche est vide, je m’applique à lécher la queue et je bois la dernière goutte de jus qui se pointe.
Voilà, j’ai fini ma prestation. J’espère bien que ça a plu à tout le monde. En tout cas j’ai aimé, beaucoup plus que je ne pensais. Et je pense que s’il fallait le refaire, je me porterais volontaire, comme la salope que je suis devenue.
Après ma petite séance de salope, il y en d’autres bien sûr, comme cette fille qui se couche sur le dos, enlève sa culotte, et attend jambes écartées que les mâles viennent lui lécher la moule.
Quand finalement, on décide d’arrêter, tout le monde a eu son compte de sensations. Il est bientôt vingt heures, c’est l’heure du buffet. Ensuite, rangement, et place à la danse. Luc vient m’inviter. Je ne peux lui refuser. Il me parle d’abord de choses et d’autres. Le courant passe. Alors il s’enhardit et me demande tout de go :
• Je suis désolé pour tout-à-l’heure. Je ne pensais pas que le jeu allait déraper. Je ne suis pas tellement habitué à pratiquer ce genre de distraction. Et aussi j’ai été surpris que tu me choisisses.
• Tu n’as pas à t’excuser. Pour moi, c’était la toute première fois, je suis encore vierge. Mais c’était le jeu, et j’ai dû choisir. Je ne regrette pas.
• Maintenant que tu sais ce que c’est, si on te le demandait à nouveau, tu le referais ?
• Hum, peut-être oui. Mais seulement avec toi, et en privé, rien que nous deux.
• -On verra ça plus tard. Pour l’instant dansons.
Nous avons par la suite continué à nous voir, puis nous nous sommes mariés. Quand Luc a envie que le suce, il me demande de faire la salope. Ce que je fais avec grand plaisir.
Et c’est pour ça que ce soir, je vais faire la salope. Luc me l’a demandé. Il a insisté en disant que devait être une salope très particulière. Je crois qu’il mijote quelque chose. Et je m’en réjouis d’avance. Mais ceci est une autre histoire.
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