Total : 3081
En attente : 9

Sexe
Soumis
Mature


Histoires par auteur

Hetero (881)
Entre hommes (244)
Entre femmes (74)
Transexuelle (73)
Premiere fois (261)
A plusieurs (849)
Jeune adulte (140)
Mature (123)
Soumis,soumise (286)
Inclassable (159)

Souvenirs du temps passé VIII
Femme de chambre dans un Love Hôtel (4)
Sodomme et Gomorre dans le cinéma
Rio de Janeiro
Métamorphose Ambulante






suite première expérience

Ecrit par james
Parue le 10 octobre 2013
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 6139 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

Noter ce récit erotique !


Jennyfer est bien née, effectivement. J'en tremble encore, ma première vraie fellation s'est passé beaucoup mieux que je n'osai l'imaginer. Cela me faisait vraiment peur, plus encore que de me faire prendre. Surtout le fait d'avaler, j'avais déjà eu l'occasion de gouter mon propre sperme lors de mes expériences passées mais l'idée que ce soit celui d'un autre me repugnait au début. Mais vu l'excitation que mon Maître m'a apporté, à m'obliger de le sucer ainsi menottée à la chaise alors qu'il savait très bien que ce serait pour moi une première, cela m'a procuré énormement de plaisir.
J'ai adoré sentir sa semence chaude couler dans ma gorge et j'ai hate de recommencer! Je me suis réellement senti chienne à ce moment là, quel bonheur m'envahissait de me dire que ce n'était qu'un début...

Après m'avoir liberé puis posé ma cage de chasteté, il accrocha une laisse à l'anneau du collier et me tira jusqu'au canapé de cuir rouge. Il me fit asseoir:

-assieds toi Jennyfer, tu as mérité une petite pause.
Il se rend dans la cuisine et en ressort avec une bouteille de champagne et deux verres.
- on va boire une coupe pour fêter ta première pipe, qui était absolument divine, on voit que ça fait des années que tu t'entraînes!
- effectivement Maître, j'ai essayé d'y mettre toute mon application. Et je dois dire que c'est divin pour moi aussi
- j'en suis content ma chienne! tiens, voici ton verre, à ta santé
- à votre santé Maître

Nous trinquons donc à ma première pipe, nous discutons une bonne heure, jusqu'a finir la bouteille. Moi qui n'ai pas trop l'habitude des bulles, je me sent plus que détendu, vraiment bien dans ce nouveau rôle de Jennyfer, j'arrive à être de plus en plus naturelle, le stress du début de soirée ayant totalement disparu.
A un moment, en regardant ma montre, je m'aperçois qu'il est plus de minuit. Je n'ai absolument pas vu le temps passer! Quelle soirée riche en émotions, mais est-elle déjà finie? Vu les regards qu'il me lance ça m'étonnerait, j'en suis même gênée d'être regardée ainsi avec insistance. Il m'offre une cigarette et nous discutons de choses et d'autres et puis il me demande comment je vois la suite:

- alors ma petite chienne soumise, que comptes tu faire? rentrer chez toi ou passer la nuit ici? à moins que tu ne veuilles rester tout le week end ici, mais sache que si tu restes, tu m'obéis au doigt et a l'oeil et crois moi que toi qui aime le sm tu vas être servie. Je suis libre jusqu'à lundi matin si tu veux, ensuite je pars en déplacement jusqu'à samedi
- je n'ai absolument pas envie de partir Maître, en quelques heures je me sent déjà chienne, même si ce n'est qu'un début. je suis d'accord pour rester jusqu'à votre départ lundi matin
- bien, donc je t'enleverai ton collier lundi matin, à chaque fois que tu seras avec moi tu devras le porter, moi seul en aura la clé, tout comme ta cage de chasteté
- oui Maître, mais le soucis est qu'a part ma trousse de maquillage je n'ai pensé à prendre aucunes affaires de rechange
- et alors? ce n'est pas un soucis. je te donnerai de quoi faire ta toilette et te laver. ne t'inquiète pas pour les vêtements, j'ai une armoire complète de fringues que je faisais porter à mes anciennes soumises
- alors tout va bien Maître
- bien sur que tout va bien, d'ailleurs on va pas se coucher tout de suite, maintenant qu'on est lancés!
- que me reservez vous Maître?
- je vais tester un peu des résistances a la douleur, car tu seras souvent punie puisque tu aimes cela non?
- oui Maître, j'aime ça
- ok, ben commence par enlever tous tes bracelets et ta montre, ce sera plus facile pour te ligotter les mains, ensuite tu viendras te mettre à quatre pattes sur le lit, je vais préparer les cordes
- tout de suite Maître

Je me dépêche d'enlever tout mes bijoux et file me mettre en position sur le lit. Position plus qu'excitante pour moi, mais par contre je vais devoir canaliser mes émotions car à présent j'ai cette cage qui me serrera à la moindre erection.
Maître commence par attacher mes deux poignets ensemble, puis les relie fermement à un des montants du lit. Il me lie ensuite chaque cheville aux coins du lit ce qui m'oblige à prendre une posture extrènement cambrée. Me voici solidement attachée, les fesses offertes à mon Maître.

- tu as de sacrées jolies fesses Jennyfer, hate d'y planter ma queue
- merci Maître, prenez moi tout de suite si vous voulez
- haha mais dis moi tu es bien impatiente ma salope, il va falloir le mériter si tu veux te faire défoncer cette nuit encore
- bien Maître, j'en ai très envie en tout cas
- je vois cela et j'aprécie ton entrain, mais tu n'as pas à me demander ce genre de choses. c'est moi qui commande ici. je te baise si je veux, ou je veux et comment je veux! c'est compris sale chienne?
- c'est compris Maître, je vous demande pardon, lui répondis je un peu gênée
- excuses acceptées, mais punition quand même. 50 coups de cravache sur tes fesses, ensuite 50 coups de fouet sur tes fesses et je finirai par une bonne fessée à la main, 50 coups aussi

Avais je le choix? Non. Il commença donc par la cravache, au début les coups étaient légers, mais passé le vingtième, car il me faisait compter à voix haute, les coups se faisaient de plus en plus forts et les dix derniers furent durs à encaisser. Sans transition il prit le fouet. Là pareil, au début c'était supportable mes au fur et à mesure la douleur se faisait de plus en plus vive. Mes fesses me brulaient déjà bien quand il me mit enfin le dernier coup de fouet. J'encaissais mais mes gémissement se faisaient à chaque fois plus entendre. Il menaca de me baillonner si je ne me taisais pas et je dois dire que vu ma machoire encore endolorie par la pipe d'enfer que je lui ai fait me faisait mal, je me concentrais pour ne pas crier et surtout pour tenir.
Quand il commenca la série de fessées à la main, j'avais déjà très chaud aux fesses et j'esperait pouvoir aller au bout pour ne pas decevoir mon Maître. Entre chaque claque, il exigea que je lui dise merci Maître. A peu près à la moitié, je sentis que mon cul était bien marqué et les coups devenaient à présent insupportable

- 42, merci Maître. dis je avec déjà des premières larmes à l'oeil
- allez plus que 8, tiens le coup!
- 43, merci Maître
- parle plus fort! j'entends rien du tout! la il me flanque une claque magistrale qui à du résonner dans toute la rue!
J'éclate en sanglots, il m'a fait très mal sur ce coup
- 44, merci Maître
- tu pleures? tu veux arrêter? une autre grosse claque sur mes fesses meurtries
- 45, merci Maître, non je dois tenir jusqu'au bout
- alors arrête de chialer salope!

Il continua jusqu'au 50e et denier coup, j'étais en pleurs mais j'avais tenu le coup. Il devint ensuite un peu plus doux, me caressant longuement mes fesses rouges, ce qui me soulagea un peu.

- ca va jennyfer? calmes toi c'est fini maintenant, tu as été top, car j'ai vraiment insisté pour voir comment tu résiste et tu m'as bien bluffé, je ne t'attendais pas à ce niveau, encore bravo!

Ces paroles réconfortantes ont brusquement effacé ma peine des dernières minutes, cette douceur qu'il peut avoir envers moi alors qu'il y à quelques instants il me battait littéralement. Sentiment bizarre. Jamais je n'avais pris une telle dérouillée de toute ma vie, et j'ai une dizaine d'années d'expérience!
IL faut dire qu'il m'avait prévenu que j'en baverais, mais si à chaque fois c'est comme ça, si après la punition il arrive à trouver les mots comme il vient de le faire, je suis prête à subir n'importe quoi...

- merci Maître, je suis contente d'avoir pu aller au bout de ma punition.

Ses caresses se font de plus en plus pressantes, il me malaxe un peu les fesses, ce qui me fait un bien fou après tous ces coups. Puis sa main glisse dans mon entre jambe, il s'amuse un peu avec la cage qui enferme mon sexe puis remonte vers mon anus. Il commence à le carresser et y introduit rapidement un puis deux doigts. De petits gémissements de plaisir lui font comprendre que j'aprécie. Je le sens ensuite se coller à moi, il se frotte et je peux sentir sa queue bien raide. La mienne aussi se réveille, mais ne pas oublier la cage... Puis il se décide à venir me prendre lentement, par de petits vas et viens. Ca y est, Jennyfer vient officielement de se faire dépuceler par une vraie queue. Incomparable à côté des godes ou plugs que j'ai pu utiliser. Une belle queue raide d'une vingtaine de cm, plutot grosse de diamètre, parfaite pour moi.
Maître me baisa ainsi attachée sur le lit pendant de longues minutes, passant rapidement la vitesse supérieure, vu que comme il me l'a dit, j'ai un trou bien accueillant qui se dilate bien. Il fini par donner de gros coups de chibre, allant au plus profond de moi, me défonçant comme la chienne que je suis devenue en si peu de temps. Je me lachais totalement, m'empalant comme je pouvais sur sa queue pour donner plus d'impulsion malgré les liens qui me serraient.
Je finis par jouir dans ma cage, première fois que je jouis comme ça, sans pénetration ni masturbation et c'est une révélation extraordinaire! Jamais ma jouissance n'avait été aussi forte jusqu'à présent. Il retire sa queue de mon trou, je tremble comme une feuille, je suis en transe. Si je n'étais pas attachée je m'écroulerai sur le lit, épuisée. Le Maître vient se poster devant mon visage et commence à se branler. J'ai compris donc j'ouvre de suite la bouche afin de tout recueilir. Il ne tarde pas à jouir lui aussi, un jet aussi puissant que le premier, mais la il m'en met partout sur le visage, je sent le sperme couler, j'essaye de l'attrapper avec ma langue. Mais c'est mon Maître, qui avec son doigt me met bien tout en bouche et je n'en perd pas une goutte. Je lui suce ensuite un peu la queue pour tout bien nettoyer.

- eh bien ma salope! tu es décidement pleine de surprises! c'etait trop bon de te baiser
- merci Maître, c'était excellent pour moi aussi
- je vais te détacher, il va être temps de te reposer un peu, moi aussi d'ailleurs!

C'est vrai qu'il est plus de 3h du matin, je suis à bout de forces, mal aux genoux, aux bras, aux fesses surtout. Je colle de partout, mon maquillage a coulé suite à mes larmes et le jus du Maître.
Me voici libérée de mes liens, ça fait du bien de pouvoir bouger et se dégourdir un peu les jambes.Pendant que mon maître range toutes les cordes, je demande l'autorisation de sortir prendre l'air un peu car je sent toujours aussi tremblente. Il m'ouvre la porte vitrée du salon, donnant sur une petite terrasse:

- sors prendre un peu le frais, vas fumer une cigarette tu l'as bien mérité ma soumise
- merci beaucoup Maître, c'était tellement bon que j'ai du mal à reprendre mes esprits, je suis épuisée
- on va aller dormir bientôt, tu vas pouvoir prendre une douche aussi, je te préparerai des affaires pour la nuit.
- vous êtes trop bon avec moi Maître, merci
- tu n'as encore rien vu ma jolie, vas vite fumer et rejoins moi ici.

Je m'empresse de sortir, enfilant quand même une robe de chambre prêtée par Maître vu le froid. En fumant ma cigarette, je reprend peu à peu mes esprits. Je réalise ce qu'il vient de se passer, je suis vraiment aux anges, heureuse. Je me sens bien dans ma tête, cela fait très longtemps que ce n'était pas arrivé. Cet homme est en train de me faire découvrir qui je suis vraiment, une petite salope soumise, une chienne juste bonne à sucer des bites. Suis cela? J'en sais trop rien si ça va durer mais à cet instant précis, je n'ai aucune envie que ça s'arrête, au contraire.
Je rentre à nouveau dans le salon pour rejoindre mon Maître, qui bois un dernier whisky avant de se coucher.

- tu veux boire quelque chose Jennyfer?
- non merci Maître, peut être juste un verre d'eau
- pas de soucis, assieds toi 5min je te cherche ça
- merci beaucoup Maître
- voila ma belle, bois ton verre, ensuite nous allons rentrer dans la maison. comme c'est ta première nuit ici, tu vas dormir avec moi
- j'en suis ravie Maître

Mon verre d'eau vite avalé, Maître prit la laisse et me tira derrière lui, fermant à clé le donjon, je le suis jusque dans la maison. Nous passâmes directement à l'étage, à la salle de bains. Là il enleva la laisse du collier.

- voila, tu vas prendre une douche, t'inquiètes pas le collier et la cage sont en inox, tu peux les mouiller sans crainte ça ne rouillera pas! Je vais te ramener de quoi te changer, tu laisseras tes habits ici. Apres la douche tu remettras ta perruque et tu te referas un maquillage pour la nuit, car tu dois toujours être présentable pour ton Maître quand tu es ici
- c'est entendu Maître, je me dépêche

Après une bonne douche chaude, très apréciable après cette soirée inoubliable, je me hate à refaire mon maquillage et à réajuster ma perruque. Maître m'a préparé une nuisette, hyper sexy en voile et dentelles rouge et noir, avec une paire de bas couture. Me voila prête pour aller au lit, un peu intimidée par l'idée de passer la nuit avec lui, je toque timidement à la porte de sa chambre:

- entre Jennyfer, je sors tout juste de la douche moi aussi. cette nuisette te vas à ravir, magnifique
- merci Maître, elle me plait bien
- tu verras, dans quelques mois tu auras ta garde robe rien qu'à toi ma chienne
- ce serait vraiment génial Maître, j'aime tellement être habillé en fille
- plus on se verra, plus tu auras l'occasion d'être une fille. Même, quand tu seras seule chez toi, je veux que tu sois Jennyfer en permanence. juste pour le travail ou ta vie sociale tu pourras redevenir un homme, c'est clair?
- c'est très clair Maître


Sachant qu'en ce moment je ne travaille pas et que ma vie sociale est plus que calme, Jennyfer allait prendre le dessus sur James mais cela ne me dérangeait absolument pas, du moins à ce moment là.

- alors, pour dormir je t'explique. je vais te remettre la laisse et l'attacher au coin du lit. je vais aussi te menotter les chevilles et les mains dans le dos. tu dormiras comme ça à mes côtés. vu?
- bien Maître, je pense que je vais adorer dormir comme ça.
- je n'en doute pas une seconde! allez mets toi au lit

Je me couche sur le lit, mon Maître s'exécute et me voici enchaînée à côté de lui. Je bouge un peu pour trouver la meilleure posture possible et une fois trouvée, j'essaye de ne plus bouger mais pas évident avec les mains attachées dans le dos. La laisse aussi, me donne juste assez de mout pour me tourner. Ca y est je suis bien posée, j'aprécie beaucoup cette nouvelle situation. Il est près de 5h du matin, après avoir discuté quelques instants avec mon Maître, je m'endors paisiblement près de lui.


Samedi, 9h. J'ouvre les yeux. J'ai super bien dormi mais malheureusement pas assez. Je tente de me rendormir mais je sent que Maître aussi se réveille.

- bonjour, bien dormi?
- oh oui Maître, très bien et vous?
- pas assez, d'ailleurs je vais rester au lit ce matin. toi par contre, t'as du boulot.

Ne comprenant pas ou il voulait en venir, je ne dis rien.

- avant tout, tu vas commencer par soulager ma raideur matinale, à croire que j'ai rêver de toi cette nuit pour bander si fort...

Il detacha la laisse du lit et la tira vers sa queue conflée. Je ne m'attendais pas à commencer ma journée comme ça, par une pipe en étant enchaîné depuis plusieurs heures. Mais je m'applique comme j'ai su le faire la veille et Maître fini par jouir dans ma bouche. Après avoir avalé, il me détache:

- bon, comme je t'ai dis, j'ai encore besoin de dormir. Va faire ta toilette, il y a une tenue préparée pour toi dans la salle de bains, ensuite tu vas descendre faire la vaisselle d'hier soir, tout ranger, passer l'aspi, la serpillère, la poussière. tout doit être nikel! je vais descendre vers 13h, nous passerons à table car tu vas également faire la cuisine. le frigo est plein, débrouilles toi et que ce soit mangeable sinon tu vas recevoir une correction que tu ne seras pas prête d'oublier. c'est compris?
- oui Maître... dis je vraiment surprise par sa fermeté
- alors file et que je ne t'entendes pas salope!

Je sort de la chambre sans plus rien dire, choquée par ce réveil si brutal. Lui qui a été si doux et si gentil il y a quelques heures serait il autrement que ce qu'il m'a laissé entrevoir hier soir?
J'essaye de ne pas y penser et file à la salle de bain pour la toilette et le maquillage. Maître à préparé une tenue de soubrette, avec jupe et haut noir, tablier blanc. Comme dessous soutif et string en dentelles, porte jaretelles et bas nylon. Avec mes escarpins enfilés me voici prête!
Je descend donc effectuer les tâches qu'il m'a confier, ne voulant pas le decevoir je passe consciencieusement partout, la matinée passe assez vite et je trouve de quoi faire un excellent repas grace à mes connaissances culinaires de haut niveau.
13h15, mon Maître descend enfin. Tout est fait, le ménage, la vaisselle, le repas, la table est mise il n'a plus qu'à s'asseoir.

- je vois que tu n'as pas chômer, c'est bien Jennyfer je suis content de toi
- merci Maître

Pas un mot sur ce matin, pas une excuse. Je me dis que finalement c'est pas grave, je dois m'habituer à ce qu'on me parle ainsi, vu ma position de soumise. Nous passons à table, Maître à l'air d'aprécier le repas, il ne manque d'ailleurs pas de me complimenter pour mon menu, nous discutons longuement de tout et de rien pendant un long moment. Il me parle de son boulot, ses ambitions, sa vie passée, je l'écoute touts yeux équarquillés, je bois ses paroles, il à un charisme impressionnant, un côté protecteur que je sent depuis le début de notre histoire. Après lui avoir servi un café et fait la vaisselle, il me laisse une heure de repos car il doit voir sur les traits de mon visage que je suis assez fatiguée, j'ai eu pas mal d'emotions ces derniers jours, surtout hier soir et je commence à faiblir. Il n'est pourtant que 16h.

- tu devrais aller faire un petit somme Jennyfer, je te sens usée.
- c'est vrai Maître, je suis vraiment épuisée, mais si heureuse!
- je le vois à ton sourire ma belle, allez, monte t'allonger, sans chaînes ni menottes et va dormir un peu, je te reveillerai tout a l'heure
- merci pour votre bienveillance Maître, à tout à l'heure

Je montais donc dans la chambre pour m'allonger. Je ne mis pas longtemps à m'endormir.

18h30, c'est mon Maître qui me réveille:

- coucou, ca va mieux? t'as récupéré un peu?
- oui Maître, je me sent mieux, ça fait du bien
- j'ai vu ça, je voulais déjà te réveiller il y a une heure mais tu dormais si bien que je t'ai laissé encore un peu. Par contre, il va falloir qu on commence à se préparer pour ce soir.
- pour ce soir?
- oui, je reçois un couple d'amis. Madame est dominatrice, monsieur est soumis cocu. ils vont venir faire une séance dans le donjon et nous allons passer la soirée en leur compagnie.
- bien Maître
- j'ai pour habitude de les voir une ou deux fois par mois, surtout pour baiser Madame, devant monsieur. et ce soir elle veut le voir baiser avec une trav...

Je compris immédiatement ses intentions de me faire prendre par cet homme cocu et je pris un peu peur.

- ne fais pas cette tête Jennyfer, je serais là ça se passera bien. ce sont des gens très sympas, très ouverts et je suis sur qu'en te voyant, Madame sera impressionnée et voudra à coup sur s'amuser aussi avec toi. tu reste ma chienne mais j'ai loisir de te prêter a qui je veux, c'est clair?
- c'est très clair Maître, je vous donne toute ma confiance
- bien donc vas te préparer, je te veux exactement comme hier, même tenue, même maquillage, tout pareil.
- bien Maître
- évite juste de remettre ta montre et tous tes bracelets, ce sera plus pratique pour te mettre les menottes bracelets en cuir que tu devras porter, et aux chevilles également.
- c'est compris Maître.
- tu as une heure, on se retrouve au donjon, ils seront déjà là puisque je les attend d'un instant à l'autre.

J'obéis donc machinalement et me pressa jusqu'à la salle de bains. Au bout d'une petite heure, me voici prête, parfaite dans ma tenue en vinyl que je suis heureuse de retrouver. Mon maquillage est impéccable, résultat de mon entraînement intensif de ces derniers jours. Le Maître sera content, je me trouve encore plus jolie qu'hier soir. Ces deux heures de sieste m'ont requinqué, je suis parée pour ma seconde soirée de chienne car quelquechose me dit que je vais encore plus en baver que le premier soir, mais que paralellement, je prendrais aussi plus mon pied, enfin je l'espère!
Cependant, je reconnais que de rencontrer des étrangers ne me plait pas plus que ça, malgré les mots rassurant du Maître. Apres tout je ne le connais que depuis 24h, pourquoi lui fais je confiance à ce point? C'est incroyable le pouvoir que cet homme à pris sur moi en si peu de temps, le pire est que tout ça me plaît de plus en plus. Voilà, je suis à présent devant la porte du donjon. J'entends du bruit, des verres qui claquent, des rires, de la musique. Ils sont bel et bien là! Allez courage, après tout jusqu'à présent je n'ai pas été déçue d'être venue et je veux savoir ce qu'on me reserve ce soir. Je tape à la porte, mon Maître vient m'ouvrir. Voilà donc ce fameux couple très libre, installés sur le canapé. Madame est très belle, la quarantaine, très bien physiquement avec de magnifiques yeux bleus, ornés de lunettes à monture noire assez épaisse qui lui donne un air sévère. Elle porte un corset en cuir, des cuissardes à talons aiguilles et tient une laisse. Au bout de cette laisse, son mari. La cinquantaine, un peu grassouillet, dégarni. Pas très beau mais un air plutot sympa, accueillant. Il porte un collier de cuir, une chemise et un pantalon en cuir. Mon Maître me remet la laisse et me tire jusqu'au canapé.

- laissez moi vous présenter ma nouvelle chienne soumise. Jennyfer, voici Claudia et cocu Paul. (Maître Peter)
- eh bien, ça par exemple! tu nous avais dit qu'elle était jolie mais pas à ce point Peter! (Claudia)

Terrorisée, je ne dis rien et me contente de baisser la tête en rougissant.

- c'est vrai que je la trouve de plus en plus belle, regarde moi ce maquillage, ce petit cul, ces belles jambes... une belle petite chienne (Maître Peter)
- bonsoir Jennyfer, ravie de faire ta connaissance (Claudia)
- bonsoir Madame, enchantée de même (moi)
- bonsoir vous êtes charmante Mademoiselle (Paul)
- bonsoir Monsieur... merci (moi)
Je rêve ou je me fais draguer là?! Dire que je vais devoir baiser avec lui, ça m'emballe pas vraiment mais bon...

- Jennyfer, vas ouvrir une nouvelle bouteille de champagne et ressert nous tous (Maître Peter)
- bien Maître (moi)
- mais dis moi Peter, elle est vraiment très polie et très docile ta petite soumise! (Claudia)
- une perle rare je te dis! je la connais pas encore très bien mais jusqu'à présent elle répond largement à mes attentes, à voir sur la durée... (Maître Peter)

La discussion se poursuivait pendant que je faisais le service, j'étais très flattée d'entendre ces compliments de mon Maître à mon égard, voir touchée.

- j'ai hate de la voir à l'oeuvre, hein lopette (son mari), tu vas enfin pouvoir te vider les couilles ce soir. Après ces longues semaines d'abstinence je suis sur que Jennyfer adorera se prendre de bonnes giclées sur sa figure de salope

Je ne dis rien, lançant des regards de détresse à mon Maître, dans l'espoir qu'il me sorte de cette galère...

- oh oui t'inquiètes pas Claudia, je la soupçonne d'être un vraie pompe à foutre, sinon elle va de toute manière le devenir (Maître Peter)

Et ben c'est raté! Je suis donc condamnée à me faire baiser par ce type. On fera avec, je n'aurais pas le choix.

- J'ai hate de voir ça, ma lopette et ta chienne en train de faire des saletés sous nos ordres, ça m'excite déjà! (Claudia)
- j'ai hate aussi, et ne me deçois pas Jennyfer, sinon tu risques de passer un très mauvais quart d'heure (Maître Peter)
- je serais obéissante Maître (moi)

Nous finissons nos verres, Paul me dévisage du regard, ce qui me met mal à l'aise. J'essaye de détourner le regard, essayant de me fondre dans la conversation de Claudia et du Maître, mais rien à faire, donc autant faire avec! je lui lance des regards provocateurs, essayant de rentrer dans son jeu puisque de toute façon je n'y couperai pas, autant y mettre de la bonne volonté. Mais Claudia me surprend à ce moment la:

- regardez moi cette salope! déjà toute chaleur à ce que je constate! tu veux jouer les allumeuses? d'accord. Je peux Peter? (Claudia)
- mais je t'en prie Claudia, puisqu'elle est chaude (Maître Peter)

Claudia se lève, viens vers moi et prend ma laisse. Elle m'attire vers Paul, qui vient de recevoir l'ordre de se mettre nu.

- puisque tu sembles pressée de faire ta chienne, on va y aller tout de suite. fais moi bander cette lopette

Elle me fait mettre à genoux, devant la queue encore molle de Paul. Je commence à la prendre en main pour la caresser un peu mais je reçois à ce moment là une énorme gifle de la part de Claudia.

- tu vas prendre cette queue en bouche oui ou non? dépêches toi!

Je m'exécute, je prend cette queue flasque et commence des petits vas et viens. Le chibre grossi très rapidement, je ressent bien que cet homme n'a pas fait l'amour depuis longtemps, vu les gloussements qu'il pousse. Au bout de 5min, il est déjà à la limite de la jouissance, quand Claudia m'interrompt:

- arrête, ça suffit sinon il va déjà jouir ce gros porc. C'est pas le moment encore, je veux qu'il en bave un peu d'abord. (Claudia)
- bien Madame (moi)
Finalement ce n'était pas si terrible que ça, sa queue est bien plus petite que celle du Maître, au moins il me fera pas mal et mon Maître finira bien par me baiser encore ce soir...
Claudia et Paul venaient de temps en temps profiter du studio de mon Maître, de tout ce matériel dont il disposait. C'est vrai que moi même je n'avais jamais vu de tels aménagement chez des particuliers, du beau travail. J'appris que le couple passerait la nuit dans le studio et repartirai demain en fin de matinée. Ce qui me laissa penser que je passerai une nouvelle nuit dans le lit de mon maître et qui me mis plutot en joie.

- Jennyfer, viens ici, au pied (Maître Peter)
Je me rendis chez lui à quatre pattes, puisque j'étais encore à genoux devant Paul

- elle est bien ta chienne Peter, tu me la prêtes pour la nuit? (Claudia)
- on verra, je ne sais pas encore (Maître Peter)

Nouveau coup de panique. Par pitié Maître, ne me laissez pas seule avec ces deux là, Madame à vraiment l'air sadique.
Effectivement, je pus assister à une séance sm très extrème. Nous étions assis sur le canapé Le Maître et moi, il me tenais en laisse et nous comtemplions ce que Claudia faisait subir à Paul. Ce dernier est un maso très résistant, son corps est bardé de traces, de griffures, de bleus, de brulures, sa femme est vraiment violente avec lui. Elle le frappe, lui pose des pinces aux têtons, au couilles, sur la queue, elle lui fait couler de la cire sur le corps. Nous passons tous dans la pièce d'à coté ensuite, Paul est attaché au lit et moi à la croix de St André, d'ou les bracelets en cuir que mon maître me fait porter ce soir.
Claudia continue de maltraiter son mari, qui visiblement adore cela. Plus cela est violent, plus il semble prendre du plaisir. Mon Maître contemple la scène, tranquillement assis dans un fauteuil au coin de la pièce. Après plus d'une heure de sévices, Claudia en fini enfin. Il n'y a pas à dire, cette femme est folle! Pauvre Paul, j'ai de la compassion pour lui. Mais il semble être très excité, vu la taille de son sexe. Claudia se tourne vers moi et me dit:

- je crois que Paul a mérité sa vidange! à toi de jouer maintenant salope!

Elle me détache de la croix et me tire jusqu'au lit, ou Paul est toujours attaché.

- vas y, empale toi sur sa queue! (Claudia)
- comme ça? à sec? (moi)

Je recolte une nouvelle gifle, me laissant un peu pantoise.

- enfonce cette bite dans ton cul avant que je m'enerve! et baise ce gros cochon!

J'obéis et vient m'asseoir sur la queue de Paul et commence à me tortiller sur lui. Claudia, munie d'une cravache m'assène des grands coups sur les fesses pour que je m'agite plus vite. Au moment ou elle sent que Paul va jouir elle arrete tout:
- stop! je veux la voir avec la face pleine de sperme, ca me fera bien rire!

Sur ces mots, Claudia en tirant ma laisse me fait sucer la queue de Paul quelques secondes avant de le branler vers mon visage. Un jet de sperme chaud, épais et très odorant vient inonder mon visage, si bien maquillé.

- si c'est pas magnifique tout ça! (Claudia)
- en effet, très beau spectable (Maître Peter)
- ça m'a bien excité en tout cas, j'ai envie de toi Peter (Claudia)
- rattache Jennyfer à la croix et allonge toi sur Paul, j'arrive.

Claudia me rattache aussitôt à la croix, je n'ai même pas le temps de m'essuyer un peu le visage et je vois dans son regard que ça l'amuse beaucoup. Elle se précipite sur le lit, ne prêtant aucune attention à Paul, toujours fermement ligoté dessus.
Maître Peter la rejoint, ils commencent une longue étreinte amoureuse qui va durer quasiment deux heures. Ils font l'amour tendrement, comme si ils étaient un couple. Je vois donc un autre aspect de mon Maître, la douceur qu'il a envers elle et les regards qu'ils ont l'un pour l'autre, cela me rappelle mon histoire amoureuse la plus sérieuse, c'est beau. Je me demande à ce moment là si je décide de rester Jennyfer, je n'aurais peut être plus jamais l'occasion de revivre ce genre de moments, passionnels. Une fois leurs plaisirs partagés, Claudia va s'assoir sur le visage de Paul, qui va lui nettoyer la chatte avec la langue.
Pour ma part, je commence à avoir mal aux bras, à force de les laisser en l'air. Je sent le spreme seché coller à mon visage, pas très agréable. Mon Maître vint enfin me libérer, il était temps j'en pouvais plus! Et maintenant, on fait quoi? Il est à peine minuit passé, on va surement pas se coucher tout de suite...

- Jennyfer, vas faire un tour à la salle de bains te remaquiller, essaye aussi d'enlever les taches de sperme sur ta tenue, avec un peu d'eau et du savon ça partira. ensuite tu nous rejoins ici. (Maître Peter)
- tout de suite Maître


Quel soulagement de pouvoir me laver le visage, cette odeur forte de sperme commençait à me donner des nausées. Une fois seule, je peux enfin me détendre un peu, juste quelques minutes mais ca fait du bien après avoir été attachée deux heure à cette croix.
Lorsque je revins au salon, l'ambiance était très calme. Claudia avait libéré Paul et l'envoyait à la douche une fois la salle de bain disponible.
Maître me servit à boire, champagne comme d'habitude et nous repartions dans une discussion quelconque, jusqu'au retour de Paul, une bonne demi heure après.

- Paul, il est tard, l'heure est venue pour toi d'aller dormir (Claudia)
- oui Maîtresse (Paul)
- et toi Peter? tu as des projets? (Claudia)

A cet instant, je suis suspendue aux lèvres de mon Maître. J'attends une réponse du genre oui je vais m'occuper de ma chienne, mais mon coeur se soulève quand j'entends sa réponse:

- non, je suis un peu fatigué, je pense rentrer me coucher et faire une bonne nuit de sommeil, n'oubliez pas que demain matin j'ai ma course à pieds. mais si tu veux, je te prête Jennyfer pour la nuit, je te la laisse. (Maître Peter)

Je suis dévastée, il me confie à cette dingue, cette sado extrême. Je lance bien plusieurs regards tristes et apeurés vers mon Maître, mais rien n'y change. Néanmoins, avant de quitter le donjon il ajoute:

- je vous voit tous demain matin avant de partir courir, amusez vous bien et Claudia, ne me l'abîme pas trop tu veux bien? j'y tiens à ma soumise.

Me faisant un clin d'oeil et un dernier sourire, la porte se referme sur mon Maître. Claudia installe Paul au sous sol, dans une sorte de cachot équipé juste d'un matelas, à même le sol. Pièce que je ne connaissais pas jusque la. Une fois la lourde porte fermée à clé, nous remontons au salon du donjon. Me voila seule avec elle, cette femme si sévère et qui me fait si peur.

- alors, je te fais peur on dirait?
- oui Madame, je le reconnais
- mais voyons, il ne faut pas!
- je ne sais pas...
- c'est le traitement que j'inflige à mon mari qui te fais peur?
- oui un peu Madame
- rassures toi, il est consentent, c'est même lui qui me demande d'être comme ça.
- c'est vrai que lorsque je vous ai vu faire l'amour avec Maître Peter, je vous ai trouvé très douce.
- donc tu vois que je peux être gentille aussi.

La tension baisse d'un coup, me voila déjà plus détendue, nous discutons tranquillement sur le canapé.

- je vois ça Madame
- oublie les madames pour ce soir, appelle moi Claudia.
- bien Claudia
- alors, comment trouves tu ta nouvelle situation?
- c'est difficile à décrire, je me sent mieux que toutes ces dernières années réunies, ça fait bizarre l'effet que cet homme me fait, il a une sacrée emprise sur moi mais j'admet que ça me plait pour le moment.
- je connais bien Peter, c'est un homme formidable et tu peux lui faire confiance, il saura te guider dans ta vraie voie
- ma vraie voie??
- oui Jennyfer, celle de devenir une fille
- vous croyez que c'est ma voie?
- je ne me trompe que très rarement, mais là je suis sure de moi, je le sent, t'as une ame de soumise
- c'est ce que Maître m'a dit aussi...
- ah tu vois! lui aussi l'a remarqué... donc fais lui confiance, tu seras heureuse et épanouie
- vous le connaissez bien?
- oui, avant j'étais sa soumise, c'est lui qui m'a formé a la domination quand j'ai su que mon mari s'y interessait. cela fait une dizaine d'années que nous le fréquentons
- d'accord, c'est vrai qu'il est bien, il me met en confiance
- pour ça il a toujours su s'y prendre. sinon, tu as aimé que je t'attache ce soir?
- oui, le bondage est une chose que j'adore
- moi aussi, et je connais plein de techniques, tu veux que je te montre?
- oui pourquoi pas, avec plaisir

Et voilà qu'en fait celle que je prenais pour une dingue, était finalement une femme très douce, sympa, souriante mais qui jouait son role de domonatrice à fond pour l'amour de son mari, personnellement je trouve cela magnifique, une belle preuve d'amour.
Nous passâmes quelques heures à discuter de bondage, liens, menottes, comme deux amies parlant mode, fringues ou chiffons. Elle m'attacha plusieurs fois, me montrant différentes positions jusqu'au petit matin. Je lui demanda gentillement de me ligoter pour dormir, ce qu'elle fit avec grand plaisir. Je m'endormais dans les bras de ma nouvelle amie, Claudia.






a suivre

























































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net

Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:


Pseudo (*):


       Votre commentaire sur cette histoire(*):




Les champs marqués d'une étoile (*) sont indispensables.



Envie de voir vos écrits publiés?


Histoire-erotique.net vous donne la possibilité de les faire partager !

Pour cela, rien de plus simple : rendez-vous sur le formulaire pour envoyer votre histoire érotique!

A vos plumes !


Envie de laisser un commentaire sur le site? Une idée d'amélioration?

Faites le sur notre livre d'or !